En entendant ce bruit, tout le monde a été choqué. Jean était le seul à rester calme.« Que se passait-il ? » Tout le monde pensait à cette même question.À ce moment-là, une dizaine de combattants spéciaux sont rapidement descendus des hélicoptères et sont entrés dans le bar.Derrière ces combattants, un général qui portait un uniforme militaire avec beaucoup d’insignes d’honneur dessus est aussi entré.Tout le monde dans le bar a été choqué par l’équipe de combattants spéciaux. Ils ne savaient pas pourquoi les militaires étaient venus.Les combattants ont rapidement entouré tout le monde. Après avoir contrôlé toute la situation, le général s’est lentement dirigé vers eux.Avec sa présence, l’atmosphère était tendue, personne n’osait prononcer un seul mot.Il a regardé autour et a dit : « Bureau de combattants spéciaux de la province Q, personne ne bouge, on va confirmer vos identités ! »Marvis avait une mauvaise intuition, il a rassemblé son courage et a demandé : « Vous êtes des mi
Jean a souri et a dit à Céline : « Tu peux les commander maintenant. »C'est à ce moment-là que Céline a repris ses esprits. Elle s’est calmée et a dit en regardant son chef : « Chef, vous pouvez rentrer avec vos hommes, vous serez soumis à une enquête. »Le chef était finalement soulagé, et il a dit à Céline : « Tu es plus résistante que moi, félicitations, tu seras un membre important du bureau des combattants spéciaux dans l’avenir, tandis que moi… »Cela dit, il a affiché un sourire d'autodérision, puis, il a dit à ses subordonnés : « On rentre ! »Ses subordonnés se sont dirigés vers lui. Même les deux hommes dans la cave ont été convoqués.Le chef a donné un regard d’encouragement à Céline avant de partir avec ses hommes.Céline a compris beaucoup de choses dans son regard.Il se sentait impuissante à cause de sa position. Il voulait l’encourager, et il se sentait un peu triste.Pourtant, elle n’avait pas le temps de réfléchir, et elle a dit à Néo : « Contrôlez tout le monde au b
L’interrogation de Jean a donné des frissons à Luc.Luc savait très bien que Jean était très fort.Il était un être humain mais était comme un dieu, parce qu’il dépassait le monde des êtres humains. S’il voulait le tuer, ce serait aussi facile que d'écraser une fourmi. Devant lui, les trois grandes familles n’étaient rien.Il ne s’attendait pas à ce que Jean soit là.Face à son interrogation, il n’osait rien lui cacher. Il a immédiatement répondu : « Monsieur Claudel, un membre d'une des branches de la famille m’a demandé de l'aide. Il a dit qu’il avait été blessé par quelqu’un, je suis donc venu voir. »« Un membre d'une des branches de la famille a pu vous mobiliser ? » a dit Jean en lui jetant un coup d’œil.Luc avait des sueurs froides sur le dos en entendant ses mots, et il a précipitamment dit : « Monsieur Claudel, je suis venu parce qu’il m’a dit que c’était lié à un membre important de la famille, je ne savais vraiment pas ce qui s’était exactement passé. »« Ah bon ? C’est qui
« Emmenez tout le monde au commissariat pour les enquêtes. Contrôlez le bar, personne ne pourra y entrer », a ordonné Céline.« Oui ! » a répondu Néo. Puis, il a immédiatement commencé à donner des ordres à ses subordonnés.En même temps, Marvis est tombé dans le coma sous le coup du choc.…Jean est rentré chez lui lorsque Luna s’apprêtait à descendre pour aller travailler. En voyant Jean, Luna lui a demandé : « Pourquoi êtes-vous rentré aussi tard ? »« Je me suis fait impliquer dans des troubles, j’ai passé toute la nuit à m’en occuper », a dit Jean d’un air impuissant.Luna a dit d’un ton léger : « Vous vous êtes fatigué alors, reposez-vous bien. »Jean a hoché la tête, Luna a affiché un sourire et a quitté la villa à grands pas.Jean est resté assis dans le salon pendant un moment pour réfléchir sur quelque chose avant d’aller dans sa chambre pour dormir.Il s’est réveillé à quinze heures dans l’après-midi.Il s’est levé, a fait ses toilettes, et il est allé au salon pour pratique
« Explique-moi. »En entendant ses mots, le visage de Jean s’est immédiatement rembruni.C’était normal qu’il y ait des concurrences dans le secteur des affaires, pourtant, son ennemi a commis une grande erreur en lui portant atteintes.Luna a dit en fronçant les sourcils : « Nous l’avons appris grâce à Méline, elle en avait parlé à Stéphanie. Le Groupe Jonathan a envoyé quelqu’un pour lui demander de leur donner des informations et des données sur le Groupe Legrand, tout en lui promettant une grande somme d’argent. Il voulait lui faire d'elle une espionne à leur service. Il lui a demandé de diffuser des nouvelles au sein du Groupe Legrand : le groupe fera bientôt faillite à cause de la pressions des dettes. Il lui a promis le poste de PDG du Groupe Legrand après qu’il aura reussi à le racheter. »Après avoir entendu ses mots, Jean avait l’air pensif.Leurs concurrences n’étaient pas morales, mais ce groupe n’était pas le premier à faire ça en ignorant les règles du marché et de morale
« Boss, êtes-vous sûr qu’on va faire ainsi ? » a confirmé Luna en fronçant les sourcils.« Oui, y-a-t-il des problèmes ? » a demandé Jean.« Ça prend du temps, et beaucoup de financements », a dit Luna.Jean a dit d’une voix grave : « Ne t’empresse pas, prends ton temps. Demande l'aide du siège général si le financement te manque. Si le Groupe Jonathan ose mettre la main sur Finance KP, je lui donnerai un peu de souffrance. »« D’accord. Maintenant que vous avez émis cet ordre, je ferai de mon mieux pour gagner cette bataille », a dit Luna en affichant un sourire confiant.Avec l’ordre et l’autorisation de Jean, bien que le Groupe Étoile soit impliqué, elle avait assez de confiance pour faire face à cette bataille.À ce moment-là, Jean s’est levé et a dit en regardant Stéphanie : « Je crois que vous avez des choses à discuter entre vous, je vous laisse. »Cela dit, il s’est retourné et est parti.Après avoir quitté le bureau, Stéphanie a dit en secouant la tête : « Oh là là, il n’est r
Jean a précipitamment tendu la main vers le responsable pour le saluer : « Monsieur Véran, enchanté ! »Il était bien le premier responsable de la province Q, Frédéric Véran. »Il avait l’air d'avoir la cinquantaine. Il était jeune et en forme. S’il était capable de prendre ce poste important à un si jeune âge, il avait un avenir encore plus prometteur.Frédéric s'est montré aussi très respectueux et il a précipitamment serré la main de Jean et lui a dit : « Monsieur Guillaume a fait beaucoup de compliments à votre égard, j’avais donc très envie de vous rencontrer, du coup, je lui ai demandé de vous contacter, j’espère ne pas vous avoir dérangé. »En tant que premier responsable de la province, Frédéric lui a montré beaucoup de respect.Il fallait savoir qu’étant donné de son statut, partout où il allait, il était suivi par beaucoup de gardes du corps et de subordonnés. En dehors de la capitale, il était respectueusement accueilli partout dans le pays.Jean était donc surpris de le voi
Jean a souri. À ce moment-là, Emmanuel a allumé la cigarette de Jean.« Merci », a dit Jean en hochant la tête.Emmanuel n’a pas fumé, il a rangé le paquet de cigarettes dans sa poche et a dit : « Ce n’est pas grave, Jean, prends-moi comme ton pote. »« Monsieur Véran, je me sens un peu flatté », a dit Jean. Il ne savait pas quoi faire, il ne s’attendait pas à ce qu’Emmanuel ait un tel caractère.Normalement, il aurait dû ressembler à son père et être un homme sérieux et prudent, pourtant, il ne se faisait pas différencier avec les jeunes dans les rues.Emmanuel semblait s’en moquer, il a dit en riant : « Monsieur Guillaume m’a dit que tu es en fait très fort. Jean, prends-moi pour élève, n’hésite pas à me dire si tu as besoin de mon aide. Pourtant… »« Pourtant quoi ? » a demandé Jean.Emmanuel a dit d’un air mystérieux : « Tu dois m’apprendre quelque chose. »« T’apprendre quoi ? »« N’importe quoi », a dit Emmanuel, « des arts martiaux, de la magie, etc.. »Jean n’a pu s’empêcher d’
Voyant que Méline était si surprise, sa deuxième tante Adeline Honneur a tapoté son épaule et a dit d’un air mécontent : « Pourquoi tu cries ? Quel âge as-tu déjà ? Tu n’as même pas de petit ami jusqu’à maintenant ! Celui que je te présente aujourd’hui, est un jeune entrepreneur de notre bourg, il a une usine alimentaire, et il a des dizaines de millions d’euros. N’est-il pas digne d’être ton époux ? »« Oui, Méline. » La mère de Méline, Mélisa Honneur, a également dit : « Il a une famille riche, il est beau, nous l’avons déjà tous vu. »Le père de Méline, François Morrice, avait l’air plus humble, il n’a rien dit.Mais comment Méline pouvait-elle être d’accord avec eux ? Elle a dit précipitamment : « Je n’ai pas encore envie de chercher un petit ami, Jean, arrête, je n’y vais plus. »Méline ne savait pas que ce repas était en effet une rencontre matrimoniale pour elle. Elle n’avait pas eu cette idée du tout. D’ailleurs, Jean était à ses côtés à ce moment-là, elle avait hâte d’avoir un
Quant à Jean, il ne voulait plus continuer sur ce sujet.Après tout, ils avaient déjà divorcé. Elle avait le droit de faire ce qu’elle voulait.Il a réconforté Stéphanie avec quelques mots. Il est parti après avoir demandé l’état d’avancement de la fusion de la Société Legrand Flottant avec le KP Fiance.De retour sur l’île de Mer, Jean s’est enfermé dans sa chambre pour méditerr pendant un jour et une nuit, jusqu’au lendemain matin quand Méline l’a appelé.« Et bien, Jean, tu as dit de retourner dans notre ville natale, est-ce que tu y vas toujours ? »La voix faible de Méline a retenti au téléphone.Jean a immédiatement dit : « Oui, où es-tu ? Attends-moi, j’arrive tout de suite. »Ensuite, Méline lui donné une adresse, et Jean est immédiatement parti pour s’y rendre.Quand il est arrivé sur le lieu, Méline l’attendait déjà sur le bord de la route.Ce jour-là, Méline portait une chemise blanche et un jean skinny, ce qui lui donnait l’allure d’une élite sur le lieu de travail.Jean a
« Non, non », a dit Méline en agitant la main.Après avoir réfléchi, Jean a pensé que ce n’était pas possible, parce que Méline était la directrice générale de cet immeuble commercial à ce moment-là, et Stéphanie la protègeait, qui osait lui faire du mal ?« Alors, qu’est-ce qui se passe ? » a demandé Jean. Il ne savait pas ce qui lui était arrivé.Voyant cela, Méline a jeté un coup d’œil à Jean, et les deux se sont retirés dans un coin éloigné.Méline a dit avec embarras : « Depuis que je suis devenue la directrice générale, il y a eu beaucoup de rumeurs dans le centre commercial, ce qui n’est pas très gentil, donc je suis un peu gênée de te voir. »Après avoir réfléchi un moment, Jean a enfin compris ce que Méline voulait dire.Globalement, il avait aidé Méline à devenir la directrice générale, et les rumeurs entre eux deux s’étaient répandues dans le centre commercial. Il se racontait que Méline avait dragué un homme riche, ce qui était normal sur le lieu de travail.Après avoir
Hélène s’est assise dans le bureau de la directrice. Pendant un moment, elle n’arrivait pas à croire que c’était vrai.Elle a caressé le grand bureau, un sourire s’étalant lentement sur son visage.Tout ce qu’elle avait fait en valait la peine.Mais quelques instants plus tard, elle s’est calmée et a commencé à analyser le tout attentivement.En fin de compte, son attention était sur la vidéo envoyée par Suzanne. Qui était l’homme qui l’avait codée.L’identité de cette personne n’était certainement pas simple. Même dans le KP Fiannce, il devrait être un directeur de haut niveau, parce que cet incident était arrivé à Emmanuel. Il pouvait être lié à Emmanuel. Pouvait-il être un homme ordinaire ?Après y avoir réfléchi, elle a immédiatement commencé un plan pour organiser une interview pour le KP Finance, et dont l’animateur devrait être Jeanne.Après avoir fait le plan, Hélène était très fière.Jeanne et elle étaient toutes les deux bénéficiaires de cette affaire, alors elle devait profi
« Ah non. » Jean n’a pas pu s’empêcher de laisser échapper un soupir. Quelque chose est arrivé ?« Entrez. »Julien est entrée.Jean a froncé les sourcils et a regardé Julien. Au bout d’un moment, il a dit : « Dois-je faire quelque chose tout de suite ? »« Selon les règles, veuillez vous rendre au bureau maintenant et définir votre mot de passe ». a dit Julien.Jean a soudainement poussé un soupir de soulagement et a dit : « Je me suis demandé ce qui se passait, vous m’avez fait peur. »Ensuite, Jean a demandé à Luna et aux autres de l’attendre, et il est allé au bureau avec Julien.À ce moment-là, les collègues sont partis après l’installation et l’ajustement des équipements. Seuls les deux sont restés dans la pièce.Julien a d’abord appris à Jean comment utiliser ces équipements, puis lui a demandé de définir divers mots de passe.Il devait définir les mots de passe pour se connecter aux satellites, les mots de passe de démarrage d’ordinateur, les mots de passe de niveau deux d’opér
À ce moment-là, les quatre collègues avaient déjà commencé l’installation des équipements.Tout d’abord, ils ont installé un radar circulaire sur le toit, puis divers instruments ont été déployés dans la chambre.« Qu’est-ce que c’est ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « C’est un récepteur de signal satellite, le système d’accès au réseau T, un superordinateur pour le bureau de la Défense. »« Ah ! » a dit Jean, en montrant que c’était clair.Le récepteur de signal satellite, bien sûr que c’était pour se connecter au signal satellite. Cela était plus stable que la ligne dédiée.Jean connaissait également le réseau T qui s’agissait d’un projet de sécurité nationale, qui pouvait être connecté à toutes les caméras publiques du pays et on pouvait y regarder des vidéos à tout moment.Quant à ce superordinateur, Jean n’en savait pas grand-chose, pourtant il savait bien que c’était certainement un ordinateurs doté d’une super puissance de calcul et d’un fonctionnement extrêmement rapide.
Avec une valise dans la main droite et un bandage sur le bras gauche, cet homme-là se tenait debout comme une lance.En le voyant, Jean a demandé avec surprise : « Julien Ferrand ? »Il a rapidement traversé le pont couvert, s’approchant de Julien. Après avoir regardé son bras, Jean a demandé : « Pourquoi êtes-vous venu si vite ? »« Julien Ferrand, combattant de première classe du bureau de la Défense, à vos ordres, Monsieur Claudel », a dit Julien avec un salut militaire standard.Jean a regardé le véhicule derrière lui et a demandé en fronçant les sourcils : « Qu’est-ce que ça veut dire ? »« C’est les équipements de notre poste, et plusieurs collègues », a dit Julien.« Comment savez-vous que j’habite ici ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « Notre chef a déjà donné un ordre aux départements concernés dans la province Q, donc je l’ai appris. »En entendant ces mots, Jean était impuissant.Ce devrait être Frédéric. Mais en même temps, il craignait que le pouvoir du bureau de la D
S’il était un proche de la famille Véran, il était fini ! Sa carrière serait foutue !Il s’est relevé malgré la douleur qui se faisait sentir partout et s’est mis à genoux devant Emmanuel et les autres, il a dit d’un air pitoyable : « Mesdames, messieurs, j’ai tort, j’ai tort, je n’aurais pas dû être aussi grossier, je vous présente mes excuses, pouvez-vous m’épargner ? Je vous prie la grâce ! »« Dégage ! Ne dérange pas notre dîner ! », a froidement dit Emmanuel.À ce moment-là, Guillaume a compris qu’il ne servait plus à rien de crier grâce, s’il restait toujours devant eux, il risquait d’avoir plus de conséquences que de perdre son emploi. Malgré la douleur physique, il s’est respectueusement penché sur Emmanuel et a présenté ses excuses, puis, il est parti d’un air angoissé avec ses amis.Cette scène choqué tout le monde dans le restaurant.Cette femme était une excellente combattante, et par quelques mots, ce jeune homme a fait son adversaire crier grâce en s’agenouillant. Qui ét
Jean a secoué la tête, cet homme avait évidemment trop bu et était pris par son désir, c’était vraiment un type chiant.Emmanuel a froncé les sourcils, il était déjà très mécontent.Céline a grondé : « Si tu as trop bu, rentre et repose-toi, ne te cherche pas de problèmes. »Luna s’est penchée sur Jean et a affiché un rire en couvrant sa bouche.L’homme portant un costume se sentait humilié, il était donc un peu en colère. Pourtant, avant qu’il ne finisse ses mots, deux hommes derrière lui se sont avancés et ont dit à Céline : « Montre un peu de respect, sais-tu qui il est ? »« Je m’en moque complètement. Peu importe qui il est, dégage immédiatement ! », a froidement dit Céline.Un homme a furieusement dit : « Merde, Guillaume travaille dans le département des commerces, et nous, beaucoup de personnes dans le quartier ont entendu parler de notre nom, comment oses-tu parler avec Guillaume d’un tel ton ? »« Ah bon ? Alors ? »Céline semblait avoir du mal à réprimer sa colère.Ces homme