Un soir, je la raccompagnais chez elle après une sortie pour le restaurant, lorsque nous étions arrivés devant la porte de sa chambre, je lui ai dit :
—J’ai passé une très belle soirée avec toi Anaïs ! merci d’avoir accepté mon invitation.
—Tu n’as pas à me remercier Florent tu sais bien que c’est un plaisir pour moi de sortir avec toi !
J’avais souris et je lui avais dit :
—J’en suis flatté !... Bon tu passes une bonne nuit
—Florent ?
—Ça Fait combien de temps qu’on se voient ?
—Hum…à peu près deux mois
—Et depuis près de deux mois, chaque jours tu me ramène chez moi et tu t’en vas…
—Euh… Oui !
—Dis-moi tu n’as pas envie de m’embrasser ?
—Je me suis mis à paniquer, comment lui expliquer que je mourais d’envie de l’embrasser, mais le seul problème était qu’en réalité je ne savais pas comment m’y prendre ? je me suis mis à bégayer
—Je… en fait… c’est que…
Elle s’était rapprochée de moi avant de se hisser sur la pointe des pieds et ensuite, elle a délicatement posé ses lèvres sur les miennes, j’étais tout émoustiller, je ne savais pas comment répondre, j’étais complètement perdu, au bout de quelques secondes, ayant sans doute sentie mon gène, elle s’est délicatement éloignée de mes lèvres et a dit :
—Arrête de réfléchir, suis juste ton instinct.
Cette fois, je l’avais prise par la taille et je l’ai plaqué contre moi, ensuite je l’ai embrassé, passionnément et aussi adroitement que je pouvais. Je pourrais affirmer que c’est exactement ce jour que ma relation avait officiellement débuté avec Anaïs.
—A la rentrée, j’étais aller m’inscrire comme prévus en master professionnel et Anaïs avait commencer les cours au niveau un.
L’arrivée d’Anaïs Avait vraiment constitué une sorte de booste dans ma vie, j’étais fou amoureux d’elle et j’étais près a tout pour lui offrir la vie qu’elle méritait. Elle était comme le rayon de soleil que je n’avais jamais eu dans le passé
Trois années c’était déjà écoulées et rien dans ma vie n’avais changé à mon plus grand damne ! J’avais certes arrêté les cours et je vivais plus dans la même chambre avec Henry, mais en dehors de ça, J’étais toujours avec Anaïs, et surtout, j’entrais toujours sans emplois contrairement à henry qui lui, dès la fin de ses études, il avait été recruté dans une grande société grâce aux nombreux contacts de ses parents tandis moi je devais me battre comme un malade pour avoir juste un entretien, entretien quoi d’ailleurs n’aboutissait jamais. Je regardais, mon amis et la jalousie que j’avais enfouis dans un coin de mon cœur depuis des Années refaisait surface.
Je me sentais inferieur a lui, j’avais l’impression qu’il réussissait tout sans toutes fois fournir le moindre effort, alors que moi je bataillais comme un fou mais le résultat n’était jamais satisfaisant je rentrais toujours de mes entretiens d’humeur maussade grincheuse. Anaïs avait beau me consoler comme elle pouvait cependant, mon amertume grandissait de jours en jours. Notre relation avait tellement progressé que Anaïs vivait déjà presque avec moi, elle passait plus de temps chez moi qu’elle ne n’en passait chez elle. Si elle n’était pas aux cours à l’université ou en train d’étudier, elle était chez moi. Nous vivions presque comme un couple de jeunes mariés.
J'étais rentré un jour abattu comme d'habitude, je suis entré chez moi et je me suis affalé sur le lit. Soucieuse, Anaïs avait accouru vers moi elle s'est assise à mes côtés avant de dire :
—Bonne arrivé mon cœur.
—Merci princesse
—Alors dit moi. Comment s'était ?
J'avais levé les yeux au ciel en signe d’exaspération, je trouvais sa question tellement déplacée, normalement à la seule expression que j'affichais depuis que j'étais entré dans la chambre devait lui permettre de comprendre que ça avait été un désastre. J'ai juste répondu :
—À ton avis ?
—Oh ! C'était si mauvais que ça ?
—Plus que tu ne pourrais l'imaginer.
—Oh là mon cœur je suis vraiment désolé qu'est ce qui s'est passé ?
—Tu te rends compte qu'on me propose un poste de courtier ?
—Ah ! Euh…et ?? Je ne comprends pas exactement ou...
—Tu ne comprends pas quoi ? Avec un bac plus cinq ? Moi courtier ? Pendant que mon ami est PDG avec le même niveau que moi ?
—Humm ... Ton ami et toi vous n'avez pas la même formation !
—Oui peut être mais moi j'étais parmi les majors de ma promotion tandis que lui, il s'en ait juste sorti avec des 10 et des 11 de moyenne.
—Florent… tu commences sérieusement à m’énerver !
—Je t'énerve parce que je pense à notre avenir ?
—Non tu m'énerve parce que tu es toujours en train de te comparer à Henry.
—Je ne me compare pas à lui !
—Tu fais juste quoi ? Parce que j'aimerais comprendre ...
—Je suis juste en train de t'expliquer pourquoi je ne peux pas être juste coutier.
—Ok ! Tu préfères être un sans-emplois c'est ça ? Tu oublies que c'est pratiquement Henry qui fait tout pour toi ? Il t'aide et t'a toujours aidé depuis des années, même lorsqu'il est allé vivre dans une autre chambre il continue de payer la moitié du loyer et de temps en temps il te donne des sous. Sans oublier ta mère qui te donne de temps en temps des vivres et un peu d'argent. C'est ce genre de vie que tu veux mener ?
—Non mais si je dois aller dans une structure aujourd'hui ce ne seras pas pour être juste un sou employé.
—Ohpeutah ! Je vais tout voire ! Toi tu vois même le travail jusqu'à trier tu connais combien de jeunes aujourd'hui accepteraient ce poste les bras grands ouverts ?
—Ce sont eux ce n'est pas moi !
—Ok ! Mieux de toi qui est suprême.
Elle avait piaffé et avait ensuite prit son sac à main et à commencer à porter ses chaussures, je me suis levé et j'ai dit :—Mais qu'est-ce que tu fais ?
—Je m'en vais !
—Comment ça ?
—Comment ça quoi ? Je rentre chez moi…
—Mais pourquoi ?
—Tu m'énerve ! Voilà pourquoi...
Elle avait porté ses chaussures et était sortie de la maison en vitesse. Le blog d’une jeune inconnue
Elle était vraiment très en colère mais moi je n'arrivais pas à la comprendre, qu'est-ce qu'il y avait de mal à vouloir avoir un poste qui lui méritait ? je ne pouvais pas accepter d’être un sous homme tandis que mon ami est un grand PDG !
Pendant 5 jours, Anaïs et moi nous ne nous étions plus adressé la parole. Ces cinq jours avaient été les plus longs de toute ma vie, je n'arrivais plus à faire un seul geste sans penser à elle, depuis le jour où elle était sortie de chez moi en trombes, je ne lui avais pas fait signe de vie. Certes, je me sentais mal de l'avoir blessé mais, mon égo était plus fort que tout je me disais que j'étais l'homme et en tant que tel je ne pouvais pas me mettre à supplier ma copine juste parce qu'elle fait des petites crises de circonstances. J'étais ferme dans ma décision c'est elle qui devait venir vers moi et pas le contraire.Je savais que Anaïs était folle de moi et donc, elle ne pouvait pas faire plus de deux jours sans m'écrire ou mieux sans me voir. J'étais donc confiant je savais qu'au bout de deux jours, elle allait se pointer c
- mais Florent qu'est ce qui t'arrive ? Pourquoi tu refuses mon aide ? -je ne veux pas dépendre entièrement de toi ! -ekier ! Qu'est ce qui te fait croire que tu vas dépendre de moi ? Au contraire c'est maintenant que tu dépends de moi puisque je fais presque tout pour toi. Tu es mon ami et on dit au lieu de donné du poisson a une personne il vaut mieux apprendre à cette personne comment on pêche. -tu veut donc dire que moi je ne peux pas pêcher ? -ce n'est pas ce que j'ai dit ! Mon frère l'orgueil ne paye pas ! Viens avec ton dossier et on voie ce qu'on peut faire pour toi ! Tu veux passer ta vie au chômage ? -qu'est-ce que tu sais du futur ? Qu'est te qui te fait croire que demain par exemple on ne va pas m'appeler pour un poste. ? -humm ...Florent nul ne connais le futur mais depuis deux ans que tu as arrê
-je ...je te le promets.-merci...-attend dit moi depuis combien de temps sais-tu que tu es enceinte ?-il y a deux jours.-tu es aller à l’hôpital ? comment as-tu eu l’argent pour les examens ?-non ekier que j’ai pris l’argent où ? je me sentais bizarre j’ai donc acheté 3 test de grossesse au marché.-attend ! les tests qu’on vends à cent, cent franc là ?-oui et les 3 étaient positifs donc conclusion…-donc c’est sur ça que tu te base ?-bien sûr ! trois test ne peuvent pas se trompés et les symptômes aussi ne mentent pas. J’en suis sur je suis enceinte !-tes…tes parents sont au courant ?-non pas encore mais bientôt j’en parlerais à ma mère. Et tu sais qu’ils voudront certainement te voir !-oui je sais.
#AVEUGLE_PAR_MA_CONVOITISE.#Épisode_7Ne dit-on pas que la jalousie vers un très vilain défaut ? Eh bien rassurer vous ce dicton n'est que pure vérité car c'est cette même jalousie qui allait me pousser dans des désirs obscurs.Déjà cinq mois que Anaïs vivait avec moi et tout se passais vraiment bien, jamais je ne regretterais d'avoir fait la connaissance d'Anaïs ! Elle était vraiment une personne exceptionnelle, dure de caractère mais très douce et aimante. En plus de cela, la grossesse la rendait encore plus belle. J'avais tellement envie de lui mettre la bague au doigts je voulais que tout le monde sache quelle était la prunelle de mes yeux mais hélas ma situation financière ne le permettait pas encore. Certes je l'avais déjà présenté à mes parents et presque toute ma famille la connaissait mais ce n'étai
#AVEUGLER_PAR_MA_CONVOITISE#Episode_8-pourquoi tu dis cela ?-depuis que je travaille dans cette structure on raconte toujours des trucs sur lui…il est très bizarre je t’assure fait attention à lui il n’est pas clair comme toi et moi…-tu parles on dirait Anaïs… tu t’inquiètes pour rien il m’a juste déposé et nous avons un peu parler c’est tout !-bon d’accord puisque tu le dis.Il était monté dans sa voiture dans laquelle Pamela était déjà assise ils nous ont fait un signe de la main et ils sont partis. J’ai pris la main d’Anaïs et nous sommes rentrées chez nous.Le lendemain, vers la fin de la journée j’étais dans mon bureau lorsque j’ai reçu un appel de Mr Simo qui demandais à me voire dans son bureau. J’ai arrêté mon
#AVEUGLER_PAR_MA_CONVOITISE#Episode_9-je n’imagine rien Florent ! vous vous connaissez depuis quand pour qu’il t’aime tellement au point de te donner cette somme d’argent et en plus assurer la charge de la layette de notre bébé ? vous êtes amis ?-euh… pas vraiment mais … il…- Henry travaille dans cette même société depuis plus d’un an et il ne nous a jamais parler d’une quelconque réunion pourquoi ce Mr Simo s’intéresse tellement à toi ?-Henry n’est pas de la même classe sociale que nous… pourquoi aurait-il besoin de l’aide du grand maitre ? veux-tu donc que nous passions notre vie derrière ? tu ne veux pas que nous soyons un jour riche voire même plus que Henry ?-si mon cœur… mais cet homme ne m’inspire rien de bon… toi-même pense y séri
#AVEUGLER_PAR_MA_CONVOITISE#Episode_10J’étais devenus plus proche de Mr Simo et je m’éloignais plus de mon ami Henry j’avais presque couper les ponts avec lui il commençait déjà à me poser trop de question par rapport à ma voiture… je lui avais dit que j’avais fait un prêt à la banque mais lui ne semblais pas vraiment me croire, il commençait sérieusement à m’énerver.Le temps passait et chaque semaine j’inventais missions de service pour pouvoir dormir dehors et assister aux réunions de l’association. Je n’avais pas été dupe au bout de la deuxième réunion j’avais compris que ma femme avait raison et qu’il s’agissait réellement d’une secte mais, cela ne m’avait pas gêné le moins du monde j’étais conscient de faire partis
#AVEUGLER_PAR_MA_CONVOITISE #Episode_11 -oui… mais rien de bien grave il y a certain rituel et incantation et après on décideras de ton premier sacrifice -comment ça mon premier sacrifice ? -oh là là pourquoi tu panique ? ce n’est rien de bien grave le maitre t’expliquera tout lors de la réunion je voulais juste en tant que ton parrain te mettre la puce à l’oreille. -oh ! merci Franck ! -oh mais de rien ! Dès que nous avons fini notre conversation, le grand maitre à convoquer la réunion et nous avons pris place autour d’une immense table ronde. Le grand maitre a ensuite pris la parole : -très chers membres bonsoir je suis heureux de vous avoir tous autour de cette table. Comme vous le savez certainement, la séance d’aujourd’hui est assez particulière Tous les membres avaient hocher la tête en signe d’approbation et le grands maitre a poursuivi son discours : -nous avons vous le savez accueill