La dernière fois que j'avais rassembler mon courage pour parler à une fille qui me plaisait elle s'était chargée de me ridiculisé de la pire des façons
--- Annie ? S'il te plaît, j'aimerais te dire quelques chose.--- euh... Oui je t'écoute...--- en fait... De... Depuis que nous avons commencé à étudier ensemble, je... Je ressens des choses pour toi. Tu es vraiment une fille très gentille, douce, intelligente et altruiste et en fait... Je pense que, non je suis certain que je suis ... Tombé amoureux de toi.J'attendais sa réponse avec appréhension. Elle m'as regardé sans mots dire pendant quelques minutes puis elle à éclater d'un rire moqueur avant de dire:-- dis moi tu n'est pas sérieux n'est ce pas ? --- je suis très sérieux, crois moi...--- tu penses vraiment qu'une fille comme moi peux avoir une relation amoureuse avec un garçon comme toi? Je ne veux pas être méchante mais dis moi un peu t'es regardé ? Nous ne sommes même pas de la même classe sociale ! Je suis vraiment désolée mais il n'y a aucune relation possible entre nous et il n'y en n'aura jamais.Ça réponse m'avait briser le cœur en mille morceaux. Elle ne m'avais pas giflé mais c'était tout comme, peut être aurais je même souhaiter qu'elle le fasse plutôt que de me répondre avec cet air méprisant et moqueur. comme si ça ne suffisait pas, elle m'avait laissé planté là été était partie sans plus m'accorder un seul regard. Le lendemain toute ma salle de classe se moquais de moi j'ai compris qu'elle avait tout raconter à ses copines et que celles si s'étaient chargées de transporter la nouvelle dans toute la classe. J'étais ridicule toute la journée. Je me sentais idiot, inutile et tellement inférieur que dès ce jour j'ai décidé de ne plus faire la cours aux filles.Aujourd'hui j'étais toujours célibataire mais cette fois ci ,ce n’étais plus pour les mêmes raisons qu’avant ! cette fois j’étais étudiant, je n’étais plus dans un collège huppé ou tout le monde regardait les autres de hauts, je n’étais plus aussi frustrer qu’avant. Mon style était beaucoup plus soigner qu’avant et j’avais gagné un peu plus de confiance en moi. En fait, mon réel problème était que je croyais plus vraiment en l’amour, tellement mes avances avaient été repoussée de manière humiliantes que j’en avait conclu que je n’étais pas fait pour l’amour, ou que l'amour n'existait tout simplement pas. J’y croyais dur comme faire jusqu’au jour où j’ai rencontré Anaïs.J’ai rencontré Anaïs lors d’une petite fête, ou henry m’avait entrainé. Je ne voulais pas sortir mais henry n’avait cessé d’insister !
--Tu es jeune hein ! pense même souvent à t’amuser hein ! c’est bien pour la santé
J’avais éclaté de rire avant de dire :---Fou le camp ! tu es médecin depuis quand ?---Ekiée est ce que j’ai besoin d’être médecin ? je connais norr ! were viens on sort…tu peux même trouver la femme de ta vie— C’est moi qui t’ai dit que je cherchais l’amour de ma vie ?—Tu es trop seul dis donc ! tu dois avoir quelqu’un dans ta vie… Quelqu’un pour t’aider, donc….—Pardon gar ça va on sort ! si je m’amuse ici on ne va jamais s’en sortir.Henry adorait me charrier à propos de mon célibat prolongé, raison pour laquelle je préférais clore le sujet. Je suis allé me préparer et nous sommes sortis.J’étais aller me doucher, et je m’étais habiller pour la fête, j’avais porté une un jean moulant avec une chemise carrelée, j’avais complété le tout avec un tennis simple et j’avais retrouvé henry qui s’impatientait déjà, dès qu’il m’a aperçu, il a dit d’un air moqueur :
—Mon frère tu dures aux toilettes comme une femme ?
—Dis donc laisse-moi tranquille ! tu parles même encore trop je ne sors même plus hein !
—Regarde-moi l’autre ! comme je t’ai flatté pour qu’on sorte ensemble là ! tu vas commencer à mimba (se vanter). Mouff passe ici on sort.
Une fois à la fête, Pamela la petite amie d’henry s’était rapproché de nous, elle semblait très surprise, elle a embrassé henry avant de se tourner vers moi en me tendant la main Puis, elle s’est tournée vers henry.
—Mais henry tu viens de faire un miracle ! comment as-tu fait pour faire sortir Florent de la maison ?
—Ça n’a pas été facile mais aujourd’hui j’ai enfin réussi !
— ah ça tu l’as dit. Puisque nous ne savons pas si cet exploit se reproduiras après un siècle ou deux, profitons s’en pour lui trouver une copine !
—Ma chérie tu as totalement raison, il faut vite trouver une fille pour le caser. Sinon il risque de mourir célibataire.
Ils parlaient de moi comme si je n’étais pas là, ça m’amusait tellement que j’ai fini par dire :
—He ho ! vous deux là je suis là hein ! je suis ici vous faites comme si je suis sourd
Nous nous sommes tous mis à rire ensuite, j’étais aller m’asseoir, dans un coin de la salle tandis que henry était déjà en train de se défouler sur la piste de danse en compagnie petite amie. Quant à moi, j'étais là à siroter une bière tout en surfant avec mon smartphone sur F******k.
Je naviguais sur la toile depuis déjà 30 minutes, et sérieusement je commençais déjà à m'ennuyer, avec la musique je ne pouvais pas me concentrer sur mon téléphone et je n'avais pas non plus envie d'aller sur la piste de danse, je regrettais déjà pourquoi j'avais mis les pieds à cette soirée, je n'aurais pas dû écouter Henry, j'aurais dû passer ma soirée à visionner et surfer dans notre chambre mais lui, il avait fallu qu'il m'entraine ici.J'étais encore là dans mes pensées lorsque quelqu'un a arraché mon téléphone d'entre mes mains, hébété et énervé à la fois, j'avais levé mon visage avec fureur, lorsque j'ai vu Henry placer devant moi les bras croisés, il était accompagné de Pamela et d'une autre jeune fille que je ne connaissais pas.
—Mais Florent tu fais quoi assis ici comme un enfant ?
- Aka moi je veux rentrer ! Je suis fatigué
—Tu es fatigué que tu as fait quoi ? Mais Florent toi même si pourquoi tu es comme ça ?
—Je suis comment ? Je ne connais personne ici !
—Tu ne me connais pas ? Tu ne connais Pamela ?
—Vous étiez occupés, je devais faire comment ?
—Comment ? Tu ne peux pas inviter une fille a danser ?
—Toi-même tu sais que je ne suis pas habitué aux trucs comme ça !
Pamela qui depuis le début de l'échange était resté muette, s'était avancé et avait dit :
—Florent, pourquoi tu fais comme si tu es malade comme ça ?
—Je ne suis juste pas à l'aise c'est tout ! Et je m'ennuis…
—C’est un problème d'ennuis n'est-ce pas ?
—Oui
—Ok voici mon amie Anaïs. Elle est nouvelle dans la ville et ne connais encore personne, je me suis dit que vous pourriez vous entendre au moins pour cette soirée.
J'ai regardé la dénommé Anaïs et dès que nos regards s'étaient croisés, elle avait directement baissé les yeux. Tout comme moi elle semblait ne pas être à l'aise dans ce milieu je me suis levé et je lui ai tendu la main. Elle l’a serré avec réserve.
—Bon maintenant que vous êtes présentés, mon chéri et moi nous allons vous laisser.
Pamela avait dit cela en entrainant henry vers la piste de danse. Au moment où nous nous étions retrouvés seuls, je m’étais tourné vers Anaïs et j’ai dit :
—Bon je suppose que toi non plus tu ne t’attendais pas à ce guet-apens !
—Elle avait souri avant de secouer la tête en signe de négation
—Je m’en doutais bien ! bref du moment que nous sommes là nous ne perdons rien à faire connaissance. Je me trompe ?
—Avec tout ce vacarme, je ne pense pas que ce soit l’endroit idéale pour ça !
J’ai souris, depuis qu’elle était arrivée avec Pamela et henry c’était la première fois qu’elle prenait la parole
—Enfin tu parles ! à un moment je me suis dit que tu étais muette !
Elle avait éclaté d’un fou rire, c’était la première fois que je la voyais rire mais déjà, j’adorais la voir rire. Je sentais que j’étais prêt à tout pour la voir rire ainsi.
—Je ne suis pas muette loin de la rassure toi ok ? c’est juste que je ne suis pas très à l’aise lorsque je suis avec un inconnu.
—Oui c’est normal. Et si on allait sur la terrasse pour discuter ! là-bas c’est beaucoup plus calme.
—Oui je préfère mieux ça !
—Nous étions allées nous asseoir sur la terrasse et nous avons à commencer à parler.
—Anaïs parle-moi de toi je t’en prie !
—Qu’est-ce que tu veux savoir concrètement ?
-Tout ! par exemple ce que tu viens faire dans cette ville.
—Bon tout d’abord hum…je m’appelle Anaïs j’ai 20 ans, et je viens d’obtenir mon baccalauréat, je suis ici pour m’inscrire à l’université
—Hum…c’est un bon résumer ! alors félicitation et bienvenue parmi nous.
—C’est tout ? tu ne vas pas aussi me parler de toi ?
—Ok ! ok ! moi je m’appelle Florent, j’ai 24 ans et je viens d’obtenir ma licence je vis avec henry le petit ami de ta copine, au fait comment as-tu connus Pamela ?
—Nous sommes amis depuis longtemps, juste qu’elle a eu le bac avant moi et elle s’est avancée.
—D’accord je vois
Nous avons passés le reste de la soirée à bavarder, se taquiner et rire… cette fille avait un charme fou ! c’était juste incroyable, en plus d’être belle, elle était intelligente, mature et ambitieuse.
Nous étions rentrés tous ensembles ce jours-là ! mais je ne gérais pas les autres, tellement j’étais captiver par Anaïs, je n’avais même pas eu besoin de lui demander son contact, elle me l’avait donné d’elle-même !
Henry et Pamela pouvaient être fières d’eux car lorsque j’entrais dans notre chambre avec henry, j’étais un autre homme ! une flamme c’était allumé en moi, une flamme magique et irremplaçable : la flamme de l’amour !
A suivre
Je ne saurais vous dire avec exactitude comment et quand ma relation avec Anaïs avait débuté vu que tout s’était passé d’une manière assez inhabituelle. Après la fameuse fête ou nous nous étions rencontrés, nous avons enchainé les petites rencontres, nous passions nos journées à nous envoyer des messages. Un soir, je la raccompagnais chez elle après une sortie pour le restaurant, lorsque nous étions arrivés devant la porte de sa chambre, je lui ai dit : —J’ai passé une très belle soirée avec toi Anaïs ! merci d’avoir accepté mon invitation. —Tu n’as pas à me remercier Florent tu sais bien que c’est un plaisir pour moi de sortir avec toi ! J’avais souris et je lui avais dit : —J’en suis flatté !... Bon tu passes une bonne nuit —Florent ? —Ça Fait combien de temps qu’on se voient ? —Hum…à peu près deux mois —Et depuis près de deux mois, chaque jours tu me r
Pendant 5 jours, Anaïs et moi nous ne nous étions plus adressé la parole. Ces cinq jours avaient été les plus longs de toute ma vie, je n'arrivais plus à faire un seul geste sans penser à elle, depuis le jour où elle était sortie de chez moi en trombes, je ne lui avais pas fait signe de vie. Certes, je me sentais mal de l'avoir blessé mais, mon égo était plus fort que tout je me disais que j'étais l'homme et en tant que tel je ne pouvais pas me mettre à supplier ma copine juste parce qu'elle fait des petites crises de circonstances. J'étais ferme dans ma décision c'est elle qui devait venir vers moi et pas le contraire.Je savais que Anaïs était folle de moi et donc, elle ne pouvait pas faire plus de deux jours sans m'écrire ou mieux sans me voir. J'étais donc confiant je savais qu'au bout de deux jours, elle allait se pointer c
- mais Florent qu'est ce qui t'arrive ? Pourquoi tu refuses mon aide ? -je ne veux pas dépendre entièrement de toi ! -ekier ! Qu'est ce qui te fait croire que tu vas dépendre de moi ? Au contraire c'est maintenant que tu dépends de moi puisque je fais presque tout pour toi. Tu es mon ami et on dit au lieu de donné du poisson a une personne il vaut mieux apprendre à cette personne comment on pêche. -tu veut donc dire que moi je ne peux pas pêcher ? -ce n'est pas ce que j'ai dit ! Mon frère l'orgueil ne paye pas ! Viens avec ton dossier et on voie ce qu'on peut faire pour toi ! Tu veux passer ta vie au chômage ? -qu'est-ce que tu sais du futur ? Qu'est te qui te fait croire que demain par exemple on ne va pas m'appeler pour un poste. ? -humm ...Florent nul ne connais le futur mais depuis deux ans que tu as arrê
-je ...je te le promets.-merci...-attend dit moi depuis combien de temps sais-tu que tu es enceinte ?-il y a deux jours.-tu es aller à l’hôpital ? comment as-tu eu l’argent pour les examens ?-non ekier que j’ai pris l’argent où ? je me sentais bizarre j’ai donc acheté 3 test de grossesse au marché.-attend ! les tests qu’on vends à cent, cent franc là ?-oui et les 3 étaient positifs donc conclusion…-donc c’est sur ça que tu te base ?-bien sûr ! trois test ne peuvent pas se trompés et les symptômes aussi ne mentent pas. J’en suis sur je suis enceinte !-tes…tes parents sont au courant ?-non pas encore mais bientôt j’en parlerais à ma mère. Et tu sais qu’ils voudront certainement te voir !-oui je sais.
#AVEUGLE_PAR_MA_CONVOITISE.#Épisode_7Ne dit-on pas que la jalousie vers un très vilain défaut ? Eh bien rassurer vous ce dicton n'est que pure vérité car c'est cette même jalousie qui allait me pousser dans des désirs obscurs.Déjà cinq mois que Anaïs vivait avec moi et tout se passais vraiment bien, jamais je ne regretterais d'avoir fait la connaissance d'Anaïs ! Elle était vraiment une personne exceptionnelle, dure de caractère mais très douce et aimante. En plus de cela, la grossesse la rendait encore plus belle. J'avais tellement envie de lui mettre la bague au doigts je voulais que tout le monde sache quelle était la prunelle de mes yeux mais hélas ma situation financière ne le permettait pas encore. Certes je l'avais déjà présenté à mes parents et presque toute ma famille la connaissait mais ce n'étai
#AVEUGLER_PAR_MA_CONVOITISE#Episode_8-pourquoi tu dis cela ?-depuis que je travaille dans cette structure on raconte toujours des trucs sur lui…il est très bizarre je t’assure fait attention à lui il n’est pas clair comme toi et moi…-tu parles on dirait Anaïs… tu t’inquiètes pour rien il m’a juste déposé et nous avons un peu parler c’est tout !-bon d’accord puisque tu le dis.Il était monté dans sa voiture dans laquelle Pamela était déjà assise ils nous ont fait un signe de la main et ils sont partis. J’ai pris la main d’Anaïs et nous sommes rentrées chez nous.Le lendemain, vers la fin de la journée j’étais dans mon bureau lorsque j’ai reçu un appel de Mr Simo qui demandais à me voire dans son bureau. J’ai arrêté mon
#AVEUGLER_PAR_MA_CONVOITISE#Episode_9-je n’imagine rien Florent ! vous vous connaissez depuis quand pour qu’il t’aime tellement au point de te donner cette somme d’argent et en plus assurer la charge de la layette de notre bébé ? vous êtes amis ?-euh… pas vraiment mais … il…- Henry travaille dans cette même société depuis plus d’un an et il ne nous a jamais parler d’une quelconque réunion pourquoi ce Mr Simo s’intéresse tellement à toi ?-Henry n’est pas de la même classe sociale que nous… pourquoi aurait-il besoin de l’aide du grand maitre ? veux-tu donc que nous passions notre vie derrière ? tu ne veux pas que nous soyons un jour riche voire même plus que Henry ?-si mon cœur… mais cet homme ne m’inspire rien de bon… toi-même pense y séri
#AVEUGLER_PAR_MA_CONVOITISE#Episode_10J’étais devenus plus proche de Mr Simo et je m’éloignais plus de mon ami Henry j’avais presque couper les ponts avec lui il commençait déjà à me poser trop de question par rapport à ma voiture… je lui avais dit que j’avais fait un prêt à la banque mais lui ne semblais pas vraiment me croire, il commençait sérieusement à m’énerver.Le temps passait et chaque semaine j’inventais missions de service pour pouvoir dormir dehors et assister aux réunions de l’association. Je n’avais pas été dupe au bout de la deuxième réunion j’avais compris que ma femme avait raison et qu’il s’agissait réellement d’une secte mais, cela ne m’avait pas gêné le moins du monde j’étais conscient de faire partis