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Le jour où mes beaux-parents ont été kidnappés, mon mari était en train de cuisiner pour Céline Laurent, son premier amour. Je ne l’ai pas empêché d’aller jouer les bons samaritains, mais j’ai pris la peine d’appeler la police. Parce que j’avais vécu cette scène une fois déjà. Dans ma vie précédente, j’avais empêché mon mari d’aller voir son amour de jeunesse. Il avait alors retenu mes beaux-parents sur le départ, évitant ainsi le drame de leur agression. Mais son premier amour, elle, s’était coupée la main. La plaie s’était infectée, et elle avait dû être amputée. À l’époque, mon mari ne m’avait pas reproché un seul mot. Jusqu’à un an plus tard. Alors que j’étais enceinte et sur le point d’accoucher, il m’a attirée sur une falaise isolée avant de me pousser dans le vide. « Si tu ne m’avais pas empêché d’aller voir Cécile cette nuit-là, rien de tout ça ne serait arrivé ! Tout est de ta faute ! » « Pourquoi est-ce Cécile qui a dû être amputée ? C’est toi qui aurais dû mourir ! Sale vipère ! » Je suis tombée dans le vide, emportant avec moi l’enfant que je portais, morte avec une haine inextinguible. Cette fois-ci, mon mari est parti comme il l’avait voulu, pour s’occuper de son premier amour. Mais à son retour, il s’est effondré à genoux, vieilli de dix ans en une nuit.

À la veille de notre mariage, Gabin Huet, mon fiancé, professeur d’histoire, s’est uni à Mila Breguet, son premier amour, atteint d’un cancer, lors d’une cérémonie traditionnelle à Gustokate, un village ancien au charme intemporel. Sous un ciel constellé d’étoiles, il lui a souri tendrement, la serrant dans ses bras : « Selon la tradition, seule la femme légitime peut avoir droit à la cérémonie de mariage avec son époux. Même si Jeanne et moi avons déjà officialisé notre union, elle ne demeure à mes yeux qu’une concubine. » Sous les acclamations bienveillantes de l’assemblée, ils ont échangé un baiser, aussi radieux qu’un prince et une princesse tout droit sortis d’un conte de fées. J’ai assisté à toute la scène en silence. Sans la moindre hésitation, ma décision était prise : j’ai pris rendez-vous pour un avortement. De mes quinze à mes trente ans, j’ai aimé Gabin avec une constance aveugle. Quinze années d’attente, de douleur, d’espoir ténu. Mais dans son cœur, il n’y avait de place que pour ma demi-sœur, Mila. Alors, j’ai renoncé. Peu après, je me suis jointe à une expédition géologique en Antarctique, un monde de glace et de silence, laissant à Gabin une convention de divorce et un ultime présent. Pourtant, cet homme qui ne m’avait jamais appréciée s’est effondré du jour au lendemain, comme si mon départ l’avait soudainement vidé de toute énergie.

« Papa, j'ai accepté l'alliance matrimoniale avec la meute du Boisnoir. » Un silence s'est étiré de son côté du lien avant qu'il ne réponde enfin : « Caterina, es-tu certaine ? » « Je le suis. » Je ne lui ai pas dit la vraie raison. La nuit dernière, une douleur déchirante m'a transpercée à travers notre lien de compagnons. À travers ce maudit lien, j'ai tout vu… Mon Alpha, Rocco, était dans la cabane de ses terrains de chasse privés, clouant Scarlett, son amie d'enfance, contre le mur et l'embrassant avec une frénésie désespérée. Je l'ai confrontée directement lors de la réunion de la meute. Un éclair de triomphe brillait dans ses yeux avant qu'elle ne feigne l'innocence. « Caterina, je n'ai aucune idée de ce dont tu parles. » À ce moment-là, la voix de Rocco a rugi à travers le lien mental ouvert, résonnant dans les esprits de tous les présents. « Caterina, en tant que Luna de la meute, tu ne devrais pas créer une scène comme celle-ci. Scarlett n'est qu'une amie. » À cet instant, mon cœur est mort complètement. Il était mon Alpha, mon mari – l'homme avec lequel j'avais passé des années à l'aider à gravir les échelons du pouvoir. J'ai rompu mon lien mental avec Rocco. La douleur de cette déconnexion forcée était tellement intense que j'avais du mal à tenir debout, mais j'ai redressé ma colonne vertébrale et ai envoyé ma réponse. « Je serai à la maison dans deux semaines. » Retourner à la maison et épouser l'Alpha le plus puissant en France. On dit qu'il est froid et impitoyable, indifférent à toute louve. Parfait. Je n'ai pas besoin d'amour. J'ai juste besoin d'un Alpha assez fort pour m'aider à sécuriser la meute de la Lune Argente. Et quant à Rocco ? La Déesse Lune nous a donné un destin, et c'est lui qui l'a brisé de ses propres mains. Maintenant, je vais saisir le mien.

À quatre mois de grossesse, mon mari, obstétricien, m'a accompagnée pour récupérer les résultats de l'examen prénatal. Son sourire s'est figé en voyant le rapport, et il m'a forcée à avorter. Je suis restée stupéfaite : le médecin traitant venait pourtant de dire que le bébé était en parfaite santé ! J'ai libéré mon bras et l'ai interrogé : « Pourquoi avorter ? » Il n'a pas répondu, mais a pris rendez-vous pour l'avortement. Voyant que je voulais m'enfuir, il m'a agrippé le bras : « C'est absolument impossible de garder cet enfant ! » Protégeant mon ventre, j'ai vite appelé mes parents, eux aussi obstétriciens. Mon père, qui m'a toujours chérie, a levé le poing pour frapper mon ventre. Ma mère, le visage terrifié, a secoué frénétiquement la tête : « Non, ça ne va pas. » « Enfermez Amélie avec quelques hommes. » Je ne comprenais pas pourquoi ils voulaient supprimer mon bébé ainsi. J'ai tenté de m'enfuir. Mais ils m'ont enfermée dans une pièce sombre. Voyant le sang couler, j'ai su que mon bébé était perdu. Ma mère est venue me chercher en souriant. Je l'ai suppliée de m'expliquer pourquoi ils m'avaient fait ça. Sans répondre, elle m'a envoyée dans un hôpital psychiatrique. Je suis morte après d'innombrables souffrances dans cet hôpital. En rouvrant les yeux, j'étais de retour au jour où nous devions récupérer le rapport prénatal. Mon mari m'a souri : « Chérie, c'est notre premier enfant. J'attends avec impatience le jour de sa naissance. »

Alors qu'on m'a tranchée morceau par morceau, j'ai trouvé la force d'appeler mon frère. Il a décroché quand ma conscience s'est brouillée, avec une voix pleine d'agacement. « Qu'est-ce que tu veux encore ? » « Alex, sauve-moi… » Je n'ai pas fini ma phrase qu'il m'a coupée net. « Comment se fait-il que tu aies toujours des histoires ? À la fin du mois c'est la fête d'Élise Dubois, si tu ne viens pas, je te fais la peau ! » Après ces mots, il a raccroché sans hésiter. La douleur m'a vaincue, j'ai fermé les yeux pour toujours, avec des larmes encore aux coins de mes yeux. « Alex, tu n'as pas besoin de me tuer, je suis déjà morte. »

The story you are about to read is inspired by a true story and refers to a time span of three years. During this time, various events take place. Love. Intrigue. Folly. Trips. Hopes. Vicissitudes. A love triangle will put a girl disputed between two important but profoundly different men at the center of attention. A princess. A commander. A sailor. A ship. Between one port to another, from one route to another, in an endless journey between sea and land , in different geographic locations around the world will happen à the unthinkable - in which the main protagonists of the story - it will help in moments of difficulty - but at the same time they will hate each other - struggling to re - establish their bonds and their role. At the seaside, life is different. You don't live by the hour but by the moment. We live by the currents, we adjust to the tides and follow the course of the sun. Cit. (Sandy Gingras) I want the sea to touch me, make me breathe the world and its whys, give me an eternal instant, which I will carry with me as an indelible memory. The sea is the mystery in which I immerse myself to rediscover my life. The sea. Cit. (Stephen Littleword) You can't be unhappy when you have this: the smell of the sea, the sand under your fingers, the air, the wind. Cit. (Irène Némirovsky) When love is true and sincere, it climbs over the mountains, the vastness of the sky and the sea. No human experience is greater than its strength. Cit.(Romano Battaglia)

He watched her in the distance, his mind clouded over in confusion. How could he, one of the coldest Alphas in the country, have a mate?The thought of having to take care of someone for the rest of his life haunted him. He always thought he was meant to run the most powerful pack that had no weaknesses; once his wolf becomes attached to hers, nothing can tear them apart. It is known to be the cause of the deaths of many great Alphas, and yet here he stood, unable to tear his eyes away from her.Her soft, shimmering lips stood out to him from across the clearing, occasionally being grazed by her soft, silky golden hair. Her delicate fingers brushed a strand from over her crystal blue eyes as they continued to gaze over the leather-covered book resting in the center of her lap.A soft breeze flowed over her bare shoulders, sending her scent right in his direction. A shiver traveled up his spine as his eyes rolled back into his head. A low growl erupted from his chest, wondering why she was all alone in an empty clearing. She seemed like a prize he had yet to win. (Complete

It has been 30 years since the Fated Plague has decimated werewolf packs all over the world and fated mates is a thing of fairy tales. For Diamond "Daya" and her 4 sisters, they lost everything- their parents, their pack, and their birthright. Years later, Daya returns to her original territory to claim back what is rightfully hers. What she wasn't expecting was to meet her fated mate- the first time anyone has had a fated mate in over 20 years- Alpha Darius. Will Daya stick to her plan, fulfill her lifelong mission, and reject a mate she never wanted? Find out in Fearing Fate!

Si Violet Andrada ay isang CEO ng sikat na cosmetic business company na Lavander Line, gayunpaman ay hindi niya malayang maipahayag ang boses dahil sa reputasyon ng kanilang pamilya na kailangan mapanatiling walang bahid. Unbeknownst to everybody, she was the woman behind the famous feminist leader and blogger Plum Villaverde who are the voice of the abused women. Nang pinagsamantalahan ang puri ng kanyang musmos na pinsan ay nagpagpasyahan ni Violet na siya mismo ang maghihiganti sa salarin. At iyon ay walang iba kundi si Mason Staurs, ang tanyag na CEO ng Staurs News Media. Violet’s plan was simple — bring Mason down. Yearning for his scorching touch and risking every secret she has just to be with him was definitely out of her league. With her growing attraction and fondness for Mason, will she waste her chance of getting revenge for her cousin? Or will she forgive and choose what her heart's desire?

Claire was KCPD homicide detective at Kibich central precinct. She was engaged to Adams, a mythology professor at Kibich University. Their life together was perfect until one fateful morning. Detective Claire woke to a phone call that notified her of her father’s mysterious death. She called her mother; they had separated with the father, to let her know of the news. In the confusion of her father’s death, across the street from the scene, she saw a man watching. She went to confront him but he was long gone when she got there. Before she could go back to the crime scene, she received a call from her mother with a question of whether ‘Vivienda de Vampiros’ meant anything to her. Without a clue, her mother apologized to her and promised to let her know more about her family history, who she really was and, BLOOD CITY. Later, her mother explained to her that she was born in a vampire hunter’s family. She was meant to be a vampire hunter. From that moment on, her life took a much-unexpected turn to the worst. She took her time to study more about vampires. As she was busy hunting her father’s killer, she crossed paths with Daniel, a vampire that, against all odds was protecting her and her family. The unfolding of events led to her having feelings for the Vampire. This became a wedge between her and Adams. Later Adams was manipulated by Catherine in the name of love to get close to Claire but was finally turned which led to his death. Later, she was able to defeat and kill Thomas and Catherine with the help of her mother and Daniel. In the end, Claire and Daniel married and lived happily ever after.