All Chapters of L'Amour Innocent du Parrain de la Mafia: Chapter 161 - Chapter 170

[REBECCA]Lynda et moi nous sommes retrouvées assises l’une à côté de l’autre, créant une atmosphère de camaraderie malgré nos activités divergentes. Alors que Lynda se concentrait sur le vernissage méticuleux de ses ongles de pieds d’une riche nuance de rouge profond, ma tentative de me plonger dans un livre s’est avérée un exercice futile. Les mots sur la page restaient distants et indistincts, éclipsés par une préoccupation persistante.Mes pensées revenaient sans cesse à Artemy.Alors que le trouble intérieur se peignait sur mon visage, la voix douce de Lynda intervint, brisant le silence comme un murmure fragile. « Rebecca, calme-toi », murmura-t-elle, son attention partagée entre sa tâche et mon malaise évident. « Je peux pratiquement sentir la tension qui émane de toi. Ce n'est pas bon pour le petit. »Ma réponse fut une confession empreinte d’inquiétude : « Je ne peux pas m’empêcher de m’inquiéter. »Lynda fronça les sourcils, signe évident de sa curiosité. « Inquiétude ? À pr

[REBECCA]Mes épaules s'affaissèrent, le regret emplissant ma voix. « Je sais. Je suis désolé, Lynda. Désolé qu'il se soit révélé être un traître. »Lynda secoua la tête, ses larmes coulant à flots. « Non. Je l'ai perdu. J'ai perdu... mon bébé. »Les mots étaient chargés d'émotion, murmurés mais d'une clarté perçante. Les genoux de Lynda fléchirent et elle s'effondra sur le sol en silence. Recroquevillée, elle se tenait le ventre, les sanglots secouant son corps.Le poids de sa confession planait dans l’air : « J’ai perdu… mon bébé. »Je regardais Lynda, ma voix rendue impuissante par la vague d’émotions qui m’envahissait. La cadence de mon cœur s’affaiblissait et un tremblement soudain affaiblissait mes genoux. D’un geste réflexe, ma main se posa sur mon ventre, berçant la délicate bosse où une vie nouvelle s’épanouissait.Lynda, enceinte ? La révélation flottait dans l'air, une question tacite lourde de sens.Les larmes brouillaient ma vue tandis que ses sanglots angoissés résonnaie

[REBECCA]Tandis que nous nous installions autour de la table, Artemy et moi occupions les places les plus en vue. Mon époque de femme de chambre était derrière moi – une tâche que je n'oserais pas évoquer avec Artemy pour éviter de déclencher sa colère.Assise à sa droite, je regardais les autres se rassembler autour de moi. Même Lynda, qui n'était plus une domestique. L'idée qu'elle me serve me semblait étrange, alors nous avons abandonné cette pratique. Elle était devenue plus une sœur qu'une servante. Le rôle de Lynda en tant que domestique n'était qu'un simple passe-temps, sa principale implication étant d'aider Nona dans la cuisine.Fidèle à son caractère, Artemy s'assurait que je sois servi en premier avant de s'occuper de son propre repas. C'était une habitude qu'il avait et que j'appréciais profondément.Tandis que les messieurs discutaient de leur repas, je me concentrais sur la dégustation du mien, reconnaissante de la nourriture qu'ils m'apportaient. Ma faim était indéniab

[REBECCA]Une semaine s’était écoulée et l’anticipation avait grandi jusqu’à ce moment.Un coup retentissant retentit à la porte tandis que l'impatience de Lynda prenait le dessus. « Tu as fini ? » cria-t-elle.Surpris, j'enroulai rapidement une serviette autour de moi, le cœur battant. La porte grinça et dévoila le visage plein d'espoir de Lynda. « Oui, j'ai fini », réussis-je à répondre.« As-tu réussi à te raser ? » intervint la voix de Camilla derrière Lynda.« Oui », répondis-je, mes joues rougissant légèrement.« Partout ? » La question de Lynda m’a pris au dépourvu.Je lui lançai un regard agacé. « Oui. Mais pourquoi est-ce important ? Je me dirige simplement vers le ruisseau. »Ignorant ma question, Lynda me fourra une robe dans les mains. « Tiens, change-toi. »Déconcertée, j'examinai la robe. Ce n'était pas celle que j'avais choisie plus tôt. Je tendis le cou, espérant repérer ma robe violette préférée, mais elle était introuvable.« Nous avons pensé que celui-ci te conviend

[REBECCA]Le contact d'Artemy, même à travers la fine barrière de ma lingerie, m'enflamma. Ses mouvements délibérés sur mes zones les plus sensibles me firent frissonner d'extase. La pression exercée sur mon clitoris me fit cambrer le dos, impuissante face aux vagues de plaisir qui déferlaient en moi.À chaque contact intentionnel, il repoussait les limites de ma retenue. Le tissu en dentelle cédait à son intention, et son doigt plongeait dans mon humidité, une taquinerie torturée qui me laissait gémissante et avide de plus.Sa voix, un mélange de désir et de satisfaction, résonna à mes oreilles. « Tu es déjà si mouillée pour moi, chaton », ronronna-t-il, ses mots étant un puissant aphrodisiaque qui intensifia mon besoin.Le doigt unique d'Artemy devint une source de tourment exquis, pompant en moi et en dehors à un rythme atrocement lent. Je me sentais vaciller au bord d'un abîme de plaisir, mon corps tremblant et mon esprit consumé par les sensations qu'il évoquait.Alors qu'il ajou