All Chapters of Les Héritiers des Milliardaires: Chapter 101 - Chapter 104

Tasmyn restait bouche bée face à Ashley, comme un poisson, complètement secouée par sa franchise et ses commentaires directs. Ashley ne pouvait qu’imaginer que cette femme avait été insultée auparavant, mais jamais à ce point. Elle se sentirait un peu mal si ce n’était pas Tasmyn qui recevait l’insulte.« Maintenant, Ashley, nous étions un jour amies », a tenté de se rapprocher Tasmyn, semblant enfin retrouver sa voix.« Non, Tasmyn. Soyons honnêtes, nous n’avons jamais été amies, car les amies ne courent pas après les maris de leurs amies. Si tu oses dire aux gens que nous étions amies, je le nierai. Et tu peux être sûre que si je meurs, tu seras la première que je hanterai, et je te ferai regretter d’être en vie. Oui, je suis sur mon lit de mort, et il n’y a rien qui me ferait plus plaisir que de te hanter dans l’au-delà, donc prépare-toi, car cette garce n’a pas fini avec ton sale cul. » Si c’était possible, la mâchoire de Tasmyn s’est ouverte encore plus en entendant ces mots. Elle

Point de vue à la troisième personneSes yeux lui semblaient lourds lorsqu'elle avait bougé et avait essayé de s'étirer et de décrisper son dos. La pièce était éblouissante, ce qui rendait encore plus difficile l'ouverture de ses yeux. Elle avait senti une petite main sur elle et avait entendu un cri aigu dans ses oreilles lorsqu'elle avait reconnu à qui elle appartenait. Elle avait forcé ses yeux à s'ouvrir pour regarder sa petite fille.« Maman, maman, Ashton, regarde, maman. » Le doux sourire de Bella avait empli le champ de vision d'Ashley. Ses deux dents de devant manquaient et ses cheveux étaient tressés avec soin. À côté de Bella, Ashton était assis, les cheveux bien en arrière, et comme Bella, il avait deux dents manquantes et était vêtu de son uniforme scolaire.« Oh, mon Dieu, merci. » Les mains de la mère d'Ashley s'étaient portées à sa bouche en voyant sa fille éveillée et elle avait appuyé rapidement sur le bouton d'appel infirmier à côté du lit.« Nous pensions que tu ne