Tous les chapitres de : Chapitre 91 - Chapitre 100

Pour la première fois depuis des années, j'étais nerveux.Ma fierté ne me permet pas vraiment de l'admettre, mais la peur était aussi quelque chose que je ressentais en franchissant la porte d'entrée de l'immeuble qui m'est devenu si familier au cours des 3 dernières années.L'Agence.Mes yeux ont balayé de ma gauche à ma droite, attirant les gens qui travaillaient aujourd'hui afin que mon esprit puisse déterminer à quelle vitesse cette nouvelle allait voyager, ou si j'avais même l'espoir de sortir du bâtiment vivant.J'ai souri à la réceptionniste familière comme je le fais normalement. Je voulais m'assurer que je n'avais pas l'air suspect. J'étais juste là comme je le ferais normalement, parcourant les dossiers sur la mission sur laquelle j'étais actuellement.Je me suis frayé un chemin à travers le hall principal et vers l'ascenseur, discutant avec quelques-uns des autres employés et agents qui étaient ici. Je l'ai gardé court et bref, et avant de m'en rendre compte, j'étais sorti

Je suis entré dans le bureau que je connaissais trop bien et j'ai fermé la porte derrière moi assez rapidement pour qu'Ed ne voie pas les deux cadavres qui puaient actuellement dans le couloir. Je me suis retourné pour le regarder juste à temps pour voir ses yeux se poser sur moi et un petit sourire apparaître sur son visage alors qu'il se penche en arrière sur la chaise et qu'il se met plus à l'aise."Foi, à quoi dois-je ce grand plaisir?"Ed demande, le petit sourire moqueur toujours sur ses lèvres alors qu'il croise ses bras sur son ventre. Cet homme m'a rendu malade."Je suis juste entré pour dire bonjour?"J'ai suggéré, en donnant au bâtard un avant-goût de sa propre médecine."Non, ce n'est pas ça parce que cela signifierait que tu m'aimes vraiment, et nous savons tous les deux que ce n'est pas le cas."Il rétorque, toujours souriant, ce qui m'a dit que l'idée que je le détestais ne l'offensait ni ne l'affectait du tout. Pourquoi le ferait-il, nous ne sommes que des pions remplaçab

J'ai levé les yeux et j'ai vu qu'ils se tenaient tous les deux au-dessus de la baignoire, me regardant avec leurs bras croisés sur la poitrine, l'air plutôt satisfaits d'eux-mêmes."Froid, n'est-ce pas? Demanda Connor avec un sourire narquois au visage, appréciant clairement la vue devant lui.Je lui ai lancé un regard que je souhaitais pouvoir tuer, parce que maintenant je voulais arracher ses poumons de son corps."Nous pensions qu'un bon bain froid vous rafraîchirait la Tête chaude, petite Miss."Chris m'a informé" Et je jure sur tout ce qui est saint, si jamais, et je veux dire JAMAIS, retourne derrière notre dos comme ça encore que le bain sera rempli de lave la prochaine fois.”J'ai fermé les yeux et j'ai pris une profonde inspiration, le froid n'étant pas aussi mauvais qu'il l'était au début maintenant que j'avais quelques secondes pour m'y habituer. J'ai réalisé que même si les connards venaient de me jeter dans un seau à glace grandeur nature, je n'avais vraiment pas le droit

Mes yeux ont commencé à s'ouvrir, la lumière vive qui était autour de moi me faisait plisser les yeux alors que je reprenais conscience.Quand j'ai finalement réussi à lever la tête et à faire en sorte que la pièce cesse de tourner, tout m'est revenu en hâte.Dire au revoir aux gars et marcher jusqu'à la voiture, puis se faire sauter par derrière et le chlorophore m'assomme…J'étais sur une chaise en acier, mes jambes étaient attachées à chaque pied de chaise et mes mains étaient attachées derrière moi. J'ai lutté aussi fort que possible contre les contraintes, mais j'ai réalisé que quiconque avait fait cela l'avait fait, donc je n'avais aucun espoir de sortir à moins d'avoir un petit couteau pratique pour me découper."Merde!” J'ai guéri bruyamment après environ 5 minutes à essayer de me libérer les mains sans succès.J'ai respiré abondamment, réalisant que j'étais fondamentalement foutu. Je savais que l'associé d'Ed viendrait après moi, mais je n'avais jamais prévu qu'il serait si t

La plupart du temps, je détestais les aéroports car au cours des 3 dernières années, chaque fois que j'en visitais un, je devais regarder les gens descendre des avions et être accueillis à bras ouverts par leurs petits amis, parents ou amis. Je devais traverser l'aéroport seul pendant que tout le monde autour de moi avait quelqu'un vers qui retourner quand ils descendaient de l'avion.Ce n'est jamais un sentiment agréable.J'ai pris une profonde inspiration en passant devant la fille qui étreignait la merde de qui, je suppose, était son petit ami, pleurant hystériquement et lui disant à quel point il lui manquait. Je l'ai ignorée du mieux que je pouvais, non seulement parce que j'étais seule et qu'elle avait clairement quelqu'un qui l'aimait, mais aussi parce qu'elle avait l'air un peu con vu la scène qu'elle faisait.Je ne suis pas un grand fan de l'affection du public, surtout quand ils ressemblent à une scène d'une comédie romantique cliché.Ouais, j'étais seul à la minute et un pe