Avant que je puisse aller très loin, il était à mes côtés et me prenait dans ses bras. J'ai laissé échapper un halètement surpris, puis j'ai levé les yeux dans ses yeux, “Tu n'arrêtes pas de me prendre...” lui dis-je. Il hausse les épaules en me portant vers le lit, “C'est comme regarder ma grand-mère marcher n'importe où. Ça vieillit vite—” Je renifle devant sa terrible tentative de blague et je vois sa lèvre se redresser d'un côté au début d'un sourire. Je détourne le regard de sa poitrine nue qui a de nouveau été pressée contre moi, " Sérieusement, tu es comme un cliché ambulant."Je marmonne. “C'était quoi ça?"Il me demande et je ne sais pas s'il m'a entendu ou non mais je ne suis pas sur le point de me répéter. Il me pose sur le lit, nos yeux se rencontrent alors qu'il commence à reculer. Il se fige et nous restons tous les deux là à nous regarder jusqu'à ce que je rompe enfin le silence en me sentant mal à l'aise, " Mikhail?"Je dis son nom comme une question. Il secoue la tête u
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