Tous les chapitres de : Chapitre 71 - Chapitre 80

Point de vue de NatalieTobias a grogné en me voyant tourner vers lui, et j’ai laissé échapper un soupir profond. Mes yeux étaient secs, et mon sourire s'est effacé dès que Killian est parti. Tout devenait clair : c'était pour ça que je me sentais si liée à lui... pourquoi j'avais l'impression qu'il me manquait quand il n'était pas là. Mais ce que je ressentais maintenant allait au-delà de l'absence de mon mate. Une douleur écrasante m'envahissait à cause de la nouvelle de mes parents.Ils ne m'avaient pas mise au monde, mais ils étaient mes parents. Je les aimais, et maintenant je les avais perdus. Je n'arrivais même pas à être en colère contre Killian pour avoir montré de la miséricorde à ma mère. Il avait bien agi en l'envoyant rejoindre mon père dans l'au-delà.Elle était déjà en train de mourir. Il l'avait simplement soulagée de ses souffrances.J’ai croisé le regard de Tobias, qui a incliné la tête vers le couloir. Il était temps pour moi d’agir comme la reine que j’étais et

Point de vue de KillianJ'étais aveuglé par la rage. Je voulais du sang plus que je ne voulais ma prochaine respiration. Puis j'entendis ces mots : « La reine a déjà donné l'ordre. Quiconque a été en contact est mis en quarantaine. » La reine. Ma reine. Elle n'avait pas encore reçu la couronne, mais elle agissait déjà comme telle. Elle était ma reine, ma femme. Je serais traîné en enfer avant de laisser quiconque poser les mains sur elle. Dès que j'appris qu'un de mes hommes l'avait menacée, je voulais le tuer. Mais Joselin avait raison. Elle avait besoin de lui. Elle devait l'utiliser pour tracer la magie et en apprendre davantage sur la malédiction qui semblait infecter mon peuple. Si je ne pouvais pas le tuer moi-même ou faire en sorte qu'il soit tué par ma garde, je voulais l’enfermer jusqu'à ce que je puisse le faire. Une fois que Joselin aurait obtenu les informations nécessaires, il mourrait par ma main. Mais Natalie, ma future reine, avait déjà ordonné que toute

Point de vue de NatalieLe château était étrangement vide, même pour un milieu de semaine. J'avais l'impression que des yeux me suivaient partout où j'allais, mais quand je me retournais, la pièce ou le couloir étaient vides, à part ma nouvelle collection de gardes.J'avais demandé un garde supplémentaire. Tobias en avait envoyé deux.Il n'y avait pas moyen de discuter avec un homme qui refusait de répondre. Il gagnait presque à chaque fois.La meute évitait les Lycans potentiellement infectieux, enchaînés et sédatés dans l'infirmerie. Je n'avais même pas vu Charlie depuis l'incident, mais je savais qu'elle n'était pas loin. De temps en temps, je voyais un de ses hommes sauvages dans le château ou sur le terrain d'entraînement.Pour l'instant, personne d'autre ne montrait de signes de malédiction ou de maladie, mais il était sage que notre peuple évite la zone pour l’instant.Ce qui n’était pas sage, c’était que j'essayais sans cesse de me rapprocher d'eux. J'arrivais au bout du

Point de vue de KillianElle a secoué la tête, et je sentais mon cœur se serrer. J'avais déjà commencé à faire des compromis pour elle. J'avais sacrifié un temps précieux de mes journées, alors que je devrais travailler, pour lui donner l'amour et l'attention dont notre relation avait besoin. C'était juste que, au moins, elle essaie de s'habituer à cette partie de moi.« Ce n'était pas ça. Je te jure ! » Elle a mordu sa lèvre, et je remontais ma main pour la libérer de son emprise. « En fait, je pensais à ce qui se passerait si on faisait des choses comme ça ensemble. Puis j'ai réalisé à quel point tes griffes étaient acérées, et ça m'a fichu la trouille. »Ses joues prenaient une teinte rouge éclatante, son front s'enflant également jusqu'à ce qu'elle brille comme une lumière.« Tu… tu étais toujours attirée par moi ? » Je n'arrivais pas à le croire. Le choc m'envahit, et je restais là, bouche bée.« Eh bien, tu es toujours toi ! Ce n'est pas comme si tu étais un loup ! » Elle a

« Oui », a-t-elle haleté, en s'éloignant du bureau et en se rapprochant. Je lui ai donné plus de pression en frottant ma langue sur son corps avant de le mordre doucement.Elle a haleté en prononçant mon nom et je me suis senti tressaillir de besoin. J'étais douloureusement dur, et tandis que je me levais et que je me débarrassais de mon pantalon avec ma main gauche, ma main droite est retournée vers ma femme, frottant son corps lentement et affectueusement tandis qu'elle redescendait de son point culminant.Le surplus d'humidité provoqué par son orgasme était trop fort pour que je puisse y résister. Alors que mon pantalon touchait le sol, deux de mes doigts s'enfonçaient dans sa chatte serrée. Sa tête s'est soulevée du bureau, faisant face à la porte, et elle a arqué le dos, essayant de se rapprocher et de bouger avec mes doigts.Elle a laissé échapper un souffle étranglé lorsque j'ai retiré mes doigts d'elle et les ai placés dans ma bouche, suçant son jus avant de glisser ma bite con