Tous les chapitres de : Chapitre 331 - Chapitre 340

Seulement quand son corps devient mou, son cœur battant fort et un regard de pur bonheur sur son visage, je retire mes doigts.« Tu es vraiment une vision de perfection », je murmure. Elle lève les yeux vers moi avant de me saisir, m'attirant près d'elle par l'arrière de ma tête, et m'embrasse passionnément. Le goût de son jus reste sur mes lèvres, et je plonge ma langue dans sa bouche, voulant qu'elle se goûte elle-même.Elle soupire doucement, ses mains glissant vers le bas alors qu'elle tire sur mon pantalon et mon boxer, enveloppant sa main autour de mon sexe. J'inspire brusquement à son toucher avant qu'elle ne commence à me caresser, et nous nous embrassons avec avidité. Ses mains tremblent encore, mais elles caressent mon sexe avec un rythme parfait, son pouce frottant de manière taquine sur le bout, envoyant un plaisir intense à travers moi.« Putain, tu es tellement dur pour moi, bébé », gémit-elle à travers notre lien.« Est-ce que tu peux m'en vouloir ? » je grogne d'une voi

ZAIA. « Est-ce que ça va ? » demande Sébastien alors que je m’assois doucement sur le canapé. Je hoche la tête pendant qu’il s’assoit à côté de moi, sa main glissant vers mon dos. Pendant un moment, je pense qu’il va m’embrasser, mais il se retient. Nous sommes dans le salon et les enfants préparent le jeu de Monopoly, adorables dans leurs pulls de Noël. Il est plus de trois heures de l’après-midi et après notre moment intime du matin, nous avons pris une douche avant que Sébastien ne change les draps pendant que je me suis habillée, essayant de couvrir les nombreuses marques qui n’ont pas disparu. Je ne peux pas m’empêcher de sourire, mes joues brûlant chaque fois que je repense à la nuit dernière. J’étouffe un bâillement, et Xander lève les yeux. « Maman, tu as trop dormi aujourd’hui. Pourquoi tu bâilles ? Tu ne veux pas jouer ? » « Bien sûr que je veux jouer », dis-je calmement. « C’est l’hiver, je suis un peu fatiguée », j’ajoute en regardant les pièces restantes et e

VALÉRIELa vie a beaucoup changé et, avec le temps, la douleur devient supportable. J'ai perdu l'homme que j'aimais, et pourtant, je suis toujours liée à l'homme qui l'a tué. Un homme qui, d'une manière ou d'une autre, suscite toujours ma curiosité quant à ce qui se passe dans son esprit. Cela fait cinq ans et il n'a pas prononcé un seul mot, comme s'il avait fait vœu de silence. Cara a été exilée de la meute à la fin de sa peine, comme Annalise, mais Zade ? Il est toujours en prison… Sa peine sera terminée lorsque je jugerai qu'elle l'est. Une décision que Sébastien avait décidé de me laisser prendre alors que lui-même voulait le déchiqueter. C’est dans mon esprit, mais malgré l’absence de pression de quiconque, je ne sais pas quoi faire… J'avais dit à Zaia de prendre la décision, ou même à Sébastien, mais tous deux ont dit que c'était à moi de décider et ils sont restés sur cette position. Personne ne le sait, mais… sachant que c'est entre mes mains, je me sens partagée. Au

La surprise traverse son visage et il nous regarde tour à tour. « Moi ? » « Non, on parlait au fantôme à côté de toi », répond Sébastien sarcastiquement. « Ah non, je veux dire, ça ne me dérange pas, mais... êtes-vous sûrs de vouloir quelqu'un qui envahit votre espace ? » demande-t-il, incertain. Ce n'est pas un refus catégorique. « Je pense que nous pourrions aussi avoir besoin de ton aide », dis-je avec un sourire, sachant que cela le rassurerait. « Ouais, tu seras parfait pour garder les enfants », remarque Sébastien. Aran est sur le point de répliquer, puis il sourit légèrement et soupire. « Eh bien, je ne pense pas que ce soit une si mauvaise idée. Peut-être que je vais accepter. » « Super ! » dis-je en me libérant de l'emprise de Sébastien et en serrant Aran dans mes bras, le surprenant. Il se détend rapidement et me rend mon étreinte. « Merci, Zaia... Merci, Sébastien, ce sera agréable d'avoir les enfants autour », dit-il, ses yeux adoucis malgré son ton brus

Elle me déteste tout autant que les autres. Ah, je suis né pour être détesté. « J'aurai de l'argent prêt pour toi, pour te couvrir pendant quelques mois jusqu'à ce que tu trouves un travail. » Je n'ai pas besoin de ton argent... Je n'ai besoin de rien de vous tous. « Un permis de conduire valide et un passeport seront également prêts pour toi. Donc, tu ne devrais avoir aucun problème pour reprendre ta vie en main. » Je lève les yeux, faisant un petit signe de tête, et il expire. « Très bien. Tu partiras demain. » Il se retourne et s'en va, cette fois sans attendre une réponse que je ne prononcerai jamais. Fronçant les sourcils, je fixe la cellule sombre. Que fait une personne qui n'a pas de but ? Je ferme les yeux, me rappelant ce moment... ce moment où elle m'a rejeté, et où j'étais prêt à déchaîner l'enfer... ou à mourir en essayant... (FLASHBACK) « Moi, Valérie Scott, je te rejette, Zade Toussaint, en tant que mon compagnon ! » Quel jeu la Déesse est-elle e