All Chapters of Mon mari contractuel me prend pour sa princesse: Chapter 131 - Chapter 140

L’assistant s’est précipité vers la sortie et a essuyé la sueur de son front, en voyant que les personnes à l’intérieur du bureau n’avaient pas de punitions substantielles, il s’est juste un peu détendu et a rapidement repris son air condescendant.Il est arrivé à l’endroit où les employés travaillaient habituellement, a pointé du doigt une femme un peu lâche et lui a dit : « Vas-y, va faire deux copies de ce document, pour en faire usage quand le M. Bondet viendra après-demain pour parler d’investissement. »Cette femme lâche a pris timidement le document, l’assistant lui a jeté un regard très mécontent, « Qu’est-ce que tu fais ? C’est ta caricature, pourquoi as-tu l’air comme ça, imprime le document, ne fais pas d’erreur, du moment où la coopération est réussie, il y aura des avantages pour toi. »En entendant ses paroles, les yeux de cette femme lâche ont laissé apparaître une trace de tristesse, que veut-on dire par c’est sa caricature… Ce n’est pas du tout elle.Ce sont de toute é

« Petite Cloche ? » Elle a appelé doucement le surnom de Colette.Colette a essuyé ses larmes et a fait une révérence troublée à Estelle, « Je suis désolée, Sœur Stella je ne le pensais pas, je vais me mettre au travail. »Estelle a arrêté les mouvements de Colette, « C’est bon, reste ici un moment, si ça ne te dérange pas, tu peux quand même me dire ce qui s’est passé ? »Elle a hésité quelque peu, ne sachant pas s’il fallait ou non laisser Colette confier les mots.En fait, si Colette disait toutes les choses, elle aurait le cœur beaucoup plus tranquille, mais en regardant son visage…Peut-être était-ce parce que l’expression soucieuse d’Estelle était tout simplement trop évidente, Colette n’a pas pu s’empêcher de déverser tous ses mots, « Elle et moi nous sommes rencontrées au lycée, elle avait deux ans de plus que moi, et est allée à l’université pour suivre des études d’art, et entre nous deux, nous parlions de tout, y compris de nos idées respectives pour nos propres bandes dessi

Comme vieux renard du monde des affaires, comment le M. Bondet n’avait-il pas compris que Estelle pensait que ce document qu’il lui avait fourni n’était pas correct, raison pour laquelle elle était si calme.Une curiosité s’est alors levée dans le cœur de M. Bondet : « En vous regardant, je crains que vous ne pensiez que l’auteur de la bande dessinée de votre entreprise est le créateur original, et que vous ne soyez très sûre de cette réponse. »Estelle a fermé le document devant lui, puis a regardé M. Bondet avec un visage impassible, et lui a dit d’un ton assuré : « Bien sûr que j’en suis très sûre, ce document ne peut absolument pas me convaincre, toutes les preuves pointées sont en fait son plagiat d’un autre de nos auteurs, et quant à la raison, je peux laisser cette auteure vous l’expliquer. »En disant cela, elle a appelé en direction de la porte : « Colette, entre. »Colette qui attendait dehors n’est pas entrée au premier moment où elle a entendu cette voix venant d’Estelle, a

En regardant le visage sombre d’Estelle, Colette s’est abstenue de parler et s’est seulement enfuie pour vaquer à ses propres occupations.Estelle a retourné et est entrée dans son bureau, commençant à faire des préparatifs pour le procès qu’il allait intenter la semaine prochaine.De l’autre côté, à l’intérieur du Studio Lune, l’assistant s’est précipité dans le bureau d’Isabelle : « Mme. Isabelle, la situation n’est pas bonne ! »« Pourquoi cette panique ? »Isabelle a interrompu avec impatience les paroles de l’assistant, en l’absence d’étrangers, elle ne voulait pas du tout prendre un air aimable.« Que diable, pourquoi as-tu fait irruption dans mon bureau si soudainement, si tu ne me donnes pas une explication raisonnable, tu vas souffrir aujourd’hui. »Le cou de l’assistante s’est contracté, mais il a tout de même tendu le document qu’elle tenait dans sa main à Isabelle.Isabelle l’a pris et l’a ouvert avec insouciance pour constater qu’il s’agissait d’une lettre d’avocat.Elle a

Chrétien, qui s’est fait engueuler par son ami, était un peu impuissant.Son ami est bon en tout, sauf qu’il a mauvais tempérament.Surtout après avoir été réveillé, il était très grognon, c’était seulement parce que c’était son appel qu’Antoine décrochait, sinon ce serait une perte de temps d’appeler 10 000 fois, et il chercherait encore les ennuis après.Il a secoué la tête d’un air amusé et a continué en disant : « Antoine, réveille-toi, c’est une chose importante. »Antoine, qui venait de se réveiller, a ricané froidement, remis ses vêtements, et a crié sans expression, en colère, à l’autre bout du fil :« Où diable peut-on considérer que c’est une grosse affaire, sais-tu que les affaires que j’ai combattues sont des tueurs en série, des criminels très intelligents et toute une série choses comme ça ! »« Et ça ? Sais-tu ce que signifie tuer un poulet avec un couteau de taureau ? »Chrétien a réprimé son emportement, s’il n’y avait pas eu le besoin urgent pour un procès, je n’aurai