All Chapters of Après avoir éconduit le vaurien, je suis devenue bébé au cœur du grand patron: Chapter 171 - Chapter 180

« Arrête, il fait des études pour devenir ingénieur, sans parler de son stage, même plus tard pour son travail, il devra être sur le chantier. Combien d’occasions aura-t-il de porter un costume ? Trouve une meilleure excuse. »Léa a mis le doigt sur le problème, sans ménagement, exposant les pensées d’Émilie :« C’est pour lui, n’est-ce pas ? Si ce n’est pas pour lui, je refuse de t’aider à choisir. Personne d’autre ne le mérite. »Émilie, incapable de gagner cette bataille verbale, a finalement admis :« D’accord, d’accord, c’est pour lui, ça te va ? Cette cravate, elle convient ou pas ? »Léa a enfin souri : « Pourquoi ne pas l’avoir admis plus tôt ? »Le visage d’Émilie a rougi, pressant : « Alors, cette cravate, elle est bonne ? Si oui, je vais payer. »Léa a pris la cravate, l’examinant attentivement pendant quelques secondes :« Cette cravate correspond vraiment bien au style de Monsieur Berthier. D’après ce que j’ai vu les quelques fois où je l’ai rencontré, la plupart de ses cr

« Ah oui ? » Christophe semblait un peu surpris.« Pourquoi je vous mentirais à ce sujet ? »Joseph aussi se sentait un peu amer, bien qu’il ait toujours été diligent et disponible pour le groupe Berthier, ne montrant jamais qu’il était un homme marié, n’ayant jamais pris de congé pour des raisons familiales, mais après tout, il n’avait pas caché son mariage.Tant pis, Christophe était en tout cas le patron qu’il avait décidé de suivre. Joseph, prévenant, a demandé : « Patron, vous voulez me demander quelque chose ? »« Comment as-tu convaincu ta femme de t’épouser ? »« Convaincre ? » Un tressaillement a parcouru les lèvres de Joseph :« On ne peut pas vraiment parler de convaincre pour un mariage, n’est-ce pas ? »Le patron avait manifestement trop négocié dans les affaires pour penser à utiliser le terme « convaincre ».« Alors, comment dit-on ? »« Faire une demande en mariage, tout simplement. »« Et si elle refuse ? Enfin, je veux dire, si ta femme avait refusé à l’époque ? »«

« Lâche-moi d’abord. »« Après le petit-déjeuner. »Disant cela, Christophe lui a passé le lait chaud.Sans autre choix, Émilie s’est résignée à manger sur ses genoux. À peine avait-elle bougé pour être plus à l’aise qu’elle s’est retrouvée serrée par la taille et a entendu à voix basse : « Ne bouge pas. »« Je n’ai pas bougé. »Avant même d’avoir fini sa phrase, Émilie s’est soudainement tue.Après un moment, son corps ayant confirmé ce qu’elle pensait, elle a fini par rougir, irritée : « Comment peux-tu encore... ! »Cet homme l’avait tourmentée toute la nuit, au point qu’elle tremblait encore en marchant, et maintenant, il pouvait encore réagir, quel genre de constitution avait-il ?Christophe, quant à lui, s’est défendu avec assurance : « Dans cette situation, ne devrais-tu pas plutôt te remettre en question ? »« Toi ! »Émilie, à la fois gênée et agacée, a levé le poing pour le frapper, mais son coup léger a plutôt encouragé les hormones de l’homme.« Ah ! »Émilie a crié en se f

C’était la raison pour laquelle elle demeurait la femme qu’il était déterminé à épouser. Même dans les opérations commerciales, ils marchaient sur le même chemin.Le soir, avant de quitter le bureau, Émilie a rangé ses affaires et est descendue.Entendant le son d’un klaxon dans le garage, elle a levé les yeux et a affiché une expression de surprise.« Comment se fait-il que tu sois ici ? »Christophe était assis dans la voiture, sans chauffeur ; il était venu la chercher lui-même.« C’est pour t’accompagner après ton travail. Dînons ensemble. »« Et ma voiture alors ? »Émilie a pointé son propre emplacement de stationnement, où une Audi blanche, qu’elle venait de récupérer il y avait deux jours et dont le rétroviseur encore orné d’un ruban rouge, était garée.Auparavant, travaillant près de chez elle, elle n’avait pas besoin de voiture et, en cas de besoin, elle pouvait compter sur Léa. Mais maintenant, ce n’était plus le cas, elle en avait donc acheté une.Christophe a jeté un coup

« Qu’est-ce que tu veux dire par là ? »« Ce que je veux dire, c’est que tu ne devrais pas, à ton âge, te faire arnaquer et encore aider l’arnaqueur à compter l’argent. »« Tu n’as même pas rencontré cette personne, sur quoi te bases-tu pour dire une chose pareille ? »« Sur le fait que je suis ta fille et que tu es ma mère. Je connais parfaitement ton caractère. Combien de petits amis as-tu eu ces années ? Combien étaient fiables ? Le pire, c’était quand tu as presque vendu Antoine ! »Madame Anne, qui n’avait même pas cinquante ans, bien qu’un peu ronde, restait séduisante et aimait se mettre en valeur, danser et socialiser. Elle a eu beaucoup d’admirateurs au fil des ans, mais la plupart étaient des escrocs et de beaux parleurs, ce qui a causé beaucoup de souffrances à Émilie et son frère.Embarrassée par ces vieux dossiers, la mère d’Émilie s’est sentie honteuse : « Cet... cet idiot, je l’ai mal jugé ! »« Eh bien, je te dis que tu te trompes aussi maintenant. Cette personne est ég