Tous les chapitres de : Chapitre 271 - Chapitre 280

« D'accord, je comprends ! Tu es dans le meilleur hôpital de la ville Q, n'est-ce pas ? Je viendrai te voir tout de suite ! »Mais Anne a refusé : « Laura, je dois veiller sur Louis à tout moment, après tout, il n'a pas encore passé le stade critique, je n'ai pas le temps de te voir, et surtout, je n'ai pas envie de rencontrer qui que ce soit en ce moment. Alors, laisse-moi me calmer un peu pendant cette période, d'accord ? »La voix de Laura a tremblé de regret : « Je n'aurais pas dû partir plus tôt hier soir, je n'aurais jamais pensé que tu rencontrerais un tel danger ! Je suis vraiment désolée. »Son ton était empreint de regrets. Anne a souri : « Comment pouvait-on prévoir ce genre de chose ? Bon, je ne vais pas t'en parler pour l'instant, n'oublie pas ce que je t'ai demandé, garde tout cela en secret ! Ne le dis pas à mon frère ! »Après avoir raccroché, Anne est retournée dans la chambre de patient. En soirée, Emma est rentrée chez elle. Anne s'est assise près du lit, fixant Lo

Anne a souri avec politesse : « Vous me connaissez ? »Augustin a esquissé un sourire et a puis dit : « Je me suis déjà réveillé hier. Anson m'a parlé de vous et m'a montré votre photo. Il m'a également raconté ce qui s'était passé pendant que j'étais dans le coma. Vous êtes notre bienfaitrice, je vous remercie du fond du cœur ! » « Pendant ces périodes, merci de vous être occupée de mon frère. Si c'était sans vous, Anson aurait probablement pris un mauvais chemin dans la vie et tout serait dans la merde. »Anne a légèrement souri : « Anson est très sage. Je le considère aussi comme mon petit frère. Il est très talentueux ». Pendant qu'ils parlaient, elle a remarqué que les yeux d'Augustin se posaient sur ses mains. Après quelques secondes, Augustin a parlé d'un ton calme : « À propos, Anson m'a dit que c'était grâce à vous que j'ai pu avoir le célèbre docteur Harlan pour mon opération. Je vous remercie. Anne avait quelques callosités sur les mains, laissées par une pratique réguli

Anne a souri en répondant : « D'accord, je comprends. »Effectivement, François voulait juste lui donner un coup de fil pour se plaindre un peu, après quelques mots, il a bientôt raccroché. Ensuite, Louis a pris la parole à côté : « Tu dois une faveur à François ? »Anne a hoché la tête : « Oui, c'est ça. Je lui ai demandé de me rendre un petit service. »Après avoir dit cela, elle a hésité pendant un moment, puis a dit : « Louis, tu m'as déjà sauvée plusieurs fois. Si tu as besoin d'aide à l'avenir, tu pourras me demander à tout moment. »« Tout ? », a demandé Louis avec un éclair dans les yeux. Anne a fait une pause : « Dans le respect de la loi et de l'éthique, je ferai de mon mieux pour t'aider, peu importe la situation. »Louis a cligné des yeux : « Es-tu sûre ? Parce que j'ai déjà un souhait maintenant. »Anne a été pétrifiée : « Maintenant ? Quel souhait alors ? »« Très simple. Je veux que tu m'accompagnes dans quelques endroits », a-t-il ditAnne venait juste d'accepter sa d

Alors Anne a secoué la tête avec un sourire léger et a corrigé : « Appelez-moi mademoiselle Anne. »La femme de chambre ont fait un signe de tête et se sont approchées pour prendre les sacs de courses des mains de Louis. Mais il a refusé : « Vous n'avez pas besoin de vous en occuper, vous pouvez toutes partir. Merci. »Bien que les femmes de chambre soient perplexes, elles s'en sont allées. Louis s'est dirigé vers la cuisine. Anne le suivait silencieusement, se sentant mal à l'aise de rester dans cette pièce. Il a déposé les légumes sur le plan de travail de la cuisine, sous le regard étonné d'Anne. Il a retroussé ses manches et a commencé à laver les légumes. Anne était un peu gênée : « Que veux-tu exactement, Louis ? Ne me dis pas que tu veux faire la cuisine pour moi ? »Louis était en train de laver les légumes, avec une élégance naturelle et des doigts longs. Ses gestes laissaient apparaître les os de ses doigts, donnant l'impression qu'il ne lavait pas des légumes mais plut

Une légère brise soufflait. Anne a attendu pendant environ une demi-heure avant que Tiffany n'arrive. Lorsqu'elle n'était pas au travail, Tiffany aimait porter une robe à fleurs, ce qui la différenciait beaucoup de son apparence habituelle. Philippe est parti chercher Voyou sans cœur, et Anne et Tiffany discutaient dans la cour. Tiffany tenait ses joues : « Je n'ai toujours pas vu Encre en réalité et je ne sais même pas à quoi il ressemble. Tu avais dit qu'il était le jeune maître d'une certaine famille de la ville J, mais de quelle famille est-il ? »Anne a souri : « Tu le sauras quand il arrivera ! »Les deux ont attendu l'arrivée d'Encre dans la cour pendant une dizaine de minutes, et bientôt il y a eu du mouvement devant la porte d'entrée de la cour. Le patron a personnellement emmené un homme portant une casquette, qui mesurait environ 1,80 m et avait une silhouette mince. Tiffany s'est immédiatement tournée avec curiosité, puisque Philippe était parti chercher Voyou sans cœ