Tous les chapitres de : Chapitre 101 - Chapitre 110

René a dégluti avec difficulté. « Cet après-midi, j’ai l’impression que Lucas était bizarre, alors j’ai fait attention à lui, et je ne m’attendais pas à ce que Lucas soit en train d’écrire une antisèche. Après avoir su cela, je me suis senti tourmenté. J’ai pensé qu’en tant que bon ami, je devais l’aider à changer cette mauvaise habitude, et pour que l’examen soit équitable pour tout le monde, j’ai pris l’antisèche sur son bureau et je l’ai remise au professeur. »Lucas, après avoir entendu cela, s’est immédiatement mis en colère. Il s’est écrié : « René, nous sommes amis depuis si longtemps, pourquoi as-tu monté un coup contre moi ? »René a repris d’un air déplorable : « Je ne t’ai pas piégé. Lucas, faute avouée est à moitié pardonnée. »Cependant, quand il a vu l’expression féroce de Lucas, il a été effrayé et a reculé d’un pas. Le directeur avait le dernier mot, il a dit : « Bon, Lucas, tu devrais arrêter les sophismes. René est ton ami, ce qu’il dit est crédible. Lucas a triché à

En marchant, Lucas a jeté des coups d’œil à Clara. Après un long moment de réflexion, il a exprimé ses gratitudes à Clara.En voyant son air timide, Clara ne pouvait s’empêcher de rire. « Qu’est-ce que tu as dit ? Je ne l’ai pas entendu. Pourquoi as-tu l’air si timide ? » Lucas a immédiatement rougi. Au bout d’un moment, il a dit à voix basse : « Je t’ai remerciée. Clara, merci de m’avoir aidé aujourd’hui. »Clara a gloussé. Elle a tendu la main pour caresser la tête de Lucas en disant : « Il n’y a pas de quoi. Travaille dur à l’avenir, d’accord ? » Lucas, en regardant l’air tendre de Clara, a poussé un soupir. « Pas étonnant que mon frère aîné t’aime beaucoup. »Clara, perplexe, ne savait pas ce que Lucas entendait. Quand elle a compris, elle ne pouvait s’empêcher d’esquisser un sourire d’amertume. « Vincent a son amoureuse, tu ne le sais pas ? » Lucas a été choqué. « Tu parles de Christelle ? C’est la première petite amie de mon frère, il ne l’aimait pas il y a longtemps, d’accord

Le regard de Madeleine était plein d’admiration, comme si elle louait sincèrement les accomplissements de Clara.« Ne me complimente plus. C’est le résultat du travail commun de centaines d’employés du Groupe Jolivet, et j’ai juste apporté une petite contribution au développement de notre entreprise. »« Ne sois pas modeste, Vincent m’a dit que tu étais particulièrement travailleuse et capable. Si tu peux te marier avec l’un des fils des Jolivet, ils seront satisfaits de toi… Hé, Vincent, nous sommes là !Madeleine a vu Vincent et lui a fait signe de la main.Vincent ne s’attendait pas à ce que Clara mange ensemble avec lui, il a froncé les sourcils.« Vincent, tout à l’heure, Clara et moi discutions de ce que nous allons manger. Qu’en penses-tu ? Mangeons-nous de la nourriture japonaise, française ou chinoise ? »« Je ne sais pas. »Madeleine a demandé à Clara avec un sourire : « Clara, qu’en penses-tu ? »Clara a nonchalamment répondu : « Je veux manger de la nourriture japonaise. »

Josiane s’est allongée sur le sol, les yeux fermés, comme si elle s’était évanouie.La domestique a dit anxieusement : « À l’instant, Mme Josiane est revenue d’une course à pied et elle appliquait un masque de protection. Soudain, elle s’est soudainement évanouie. Je ne sais pas ce qui ne va pas. »Clara s’est penchée, a posé un doigt sous le nez de Josiane pour sentir ses souffles. « L’haleine est faible. »La bouche de la domestique ne pouvait se fermer sous l’effet de la surprise. Elle a dit d’une voix tremblante : « Quoi ? Je ne sais pas vraiment… »Clara a demandé à la domestique : « As-tu fait venir l’ambulance ? »« Oui, mais l’emplacement de notre villa est trop éloigné, l’ambulance est incapable d’arriver à temps. Au cas où il arriverait quelque chose à madame Josiane, c’est la fin des haricots. »Vincent a pris la parole d’une voix glaciale : « Comment as-tu pris soin de madame ? »La domestique tremblait de peur et a baissé la tête, n’osant pas parler.Clara a plissé les yeu

Clara devait le vrai but de Madeleine, et en regardant ses yeux qui brillaient d'expectation, elle a dit d’un ton moqueur : « Il est généralement si occupé qu’il n’a pas le temps d’aider les gens. »Madeleine a serré les dents. « Je peux lui offrir une grande somme. »Clara a dit froidement : « Il ne s’intéresse pas à l’argent du tout. » Madeleine a baissé la tête et a ajouté d’un ton triste : « Clara, je veux simplement demander à ton professeur de soigner ma grand-mère. S’il te plaît, donne-moi un coup de main. » « Je veux également t’aider, mais mon professeur est vraiment occupé tous les jours. Je ne t’ai pas menti. Il n’acceptera pas de traiter ta grand-mère. »Après avoir terminé ses mots, Clara a sorti son téléphone portable pour donner un coup de fil.« Allô ? »« Clara, tu t’es enfin souvenue de moi. Tiens. Je te raconte ce qui s’est passé. Hier, je suis allé jouer aux cartes avec un adolescent et j’ai perdu. J’ai eu envie de faire sa connaissance, alors, j’ai demandé ses co