Tous les chapitres de : Chapitre 331 - Chapitre 340

« Ne l'écoute pas, ce ne sont que des mensonges ! »L'assistante s'est empressée de se défendre.À ce moment-là, Gabriel est arrivé en hâte. Il s'est directement dirigé vers Léa, affichant une expression préoccupée : « Déesse, ça va ? »Léa a haussé les épaules avec calme : « Ça va bien. »Cependant, Gabriel avait bien entendu l'enregistrement. Il a déclaré alors publiquement : « Léa est une invitée que j'ai personnellement conviée. Pensez-vous pouvoir la diffamer ainsi sans conséquences ? »À ces mots, les personnes autour ont gardé le silence et se sont éloignées discrètement.Lise est restée bouche bée.Elle était surprise de voir à quel point Gabriel était attentionné envers Léa et la protégeait. Elle en est restée un moment perplexe.Clignant des yeux, elle a immédiatement changé d'expression et s'est approchée avec un sourire radieux. « Gabriel, je suis Lise d'Appareils Belle Vie. Heureuse de faire votre connaissance ! »Lise a adopté une attitude flatteuse et a tenté de se m

Léa fixait son regard sur elle, et inexplicablement, Lise, se sentant coupable, a légèrement rétracté son cou.Léa savait ce qui importait le plus à Lise.Alors, d'une voix légèrement moqueuse, elle a dit : « Appareils Belle Vie a besoin d'une réorganisation. Pour cette foire commerciale, vous feriez mieux de vous retirer. »À ces mots, Lise est devenue agitée comme prévu. « Impossible ! » elle a instinctivement répondu. Appareils Belle Vie était le seul espoir de la famille. Se retirer de cette foire commerciale aurait sans aucun doute des conséquences désastreuses pour l'entreprise. « Léa, je suis prête à accepter n'importe quelle condition sauf celle-là. »Léa, imperturbable, a déclaré : « Se retirer volontairement maintenant pourrait sauver les apparences. Si vous refusez et êtes contraints de vous retirer plus tard, votre entreprise pourrait ne pas s'en remettre. »Les jambes de Lise ont fléchi.Une peur profonde l'a envahie de l'intérieur. Elle ne s'attendait pas du tout à ce

Puis, Léa a partagé avec assurance son expérience en gestion !Son langage était humoristique et spirituel, sans exagération ni fausse modestie, elle a su trouver le juste équilibre.En dix minutes seulement, chaque personne présente écoutait attentivement. Après la fin, il y avait un moment de silence avant qu'un tonnerre d'applaudissements éclate. « Léa est tout simplement un génie des affaires ! » « Ses idées sont claires, elle sait doser, c'est pourquoi le groupe Emperor connaît un tel succès. » « Léa mérite vraiment d'être notre modèle ! Malgré sa jeunesse, ses perspectives commerciales sont uniques. » « Collaborer avec Léa serait un honneur pour nous tous ! »Entendant les éloges autour d'elle, Lise est restée bouche bée.Elle pensait initialement surprendre Léa, mais au lieu de cela, elle lui avait involontairement assuré une renommée éclatante.C'était impossible !Comment cela pouvait-il être possible ? « Attends un peu ! »Lise est intervenue, arrêtant Léa qui s'apprêtai

Gabriel a hoché la tête à plusieurs reprises : « C'est naturel, je n'ai d'intérêt que pour toi, le reste n'a pas d'importance. » « Mais je pense que tu rencontreras bientôt l'amour de ta vie. »À ces mots, Gabriel sursauta, « Déesse, tu plaisantes, n'est-ce pas ? »Léa a levé un sourcil : « Pourquoi, tu ne crois pas ? » « Ce n'est pas que je ne crois pas, c'est juste qu'il est difficile de trouver quelqu'un d'autre dans ce monde qui puisse me faire battre le cœur, sauf toi. »Gabriel a égoïstement continué, puis a soupiré : « Mais comparé à moi, la félicité de la déesse est plus importante. »C'était pourquoi il a quitté le groupe Emperor sans hésitation, juste pour réaliser son bonheur.Quant à son propre bonheur, il n'était plus aussi important depuis longtemps. « Il y a une réception ce soir, veux-tu venir ensemble ? »Léa allait refuser, mais Gabriel avait l'air misérable : « Déesse, fais-moi ce plaisir ! Sinon, mon vieux ne me laissera pas tranquille. »Léa a ri doucement,

« Que faire ? Demain matin, on va être emmenées, et on ne reverra plus jamais nos familles, n'est-ce pas ? » « Je ne veux pas mourir ! Qui viendra nous sauver ? »Après ces paroles, des sanglots ont retenti.Léa, voyant cette scène, avait le regard assombri, le cœur serré. Elle n'aurait jamais pensé qu'une telle obscurité puisse encore exister dans la société civilisée d'aujourd'hui.Son regard a suivi les sanglots.Cependant, la seconde suivante, elle a croisé un regard extrêmement calme, formant un contraste frappant avec l'atmosphère pleine de tristesse.La fille semblait avoir dix-sept ou dix-huit ans, mais elle avait la froideur et la sagesse d'un adulte.Son visage était figé sans aucune expression, mais ses yeux étaient fixés sur Léa, comme si elle voulait la percer du regard.Aucune des deux n'a parlé.La confrontation a duré une demi-minute.La fille a enfin pris la parole, avec une légère incrédulité dans sa voix : « Tu peux vraiment nous sauver ? »Léa lui a assuré avec dé