Tous les chapitres de : Chapitre 691 - Chapitre 700

Molly a hoché la tête et n’a pas rejeté la proposition de Gabriel.Mais, en se lavant à moitié, elle a trouvé qu'elle n'avait pas de vêtement de rechange.En bas, Basile était très surpris de voir que Gabriel a noué le tablier et semblait se préparer à cuisiner ; il croyait avoir l'illusion, il s’est donc frotté les yeux et a demandé avec incrédulité : « Monsieur Verne, vous allez cuisiner en personne ? »Si c’était le cas, on pouvait commander directement ce qu’on voulait manger. Mais Basile n’avait jamais vu une femme qui pouvait laisser le patron cuisiner en personne.Gabriel ne lui a même pas jeté un regard, il était occupé de cuisiner : « Ou bien tu cuisines ? »Basile s’est précipité de secouer la tête et a dit non, puis il regardait la silhouette de Gabriel avec ravissement.Ce tablier autour de la taille fine du patron était sobre, mais aussi d'une beauté indescriptible.A ce moment-là, un bruit de marche s’est fait soudain entendre dans l'escalier.Gabriel et Basile ont tourné

Gabriel regardait Molly manger du bœuf docilement, il est donc devenu content, puis il a mis un morceau de côtelette dans son bol.Molly le regardait, elle ne savait toujours pas comment rejeter les bonnes intentions des autres gens, alors elle ne pouvait que faire la tête silencieusement.Mais cela ne semblait pas fonctionner aujourd'hui.La jeune fille portait une mignonne chemise de nuit avec un motif d'ours, ses longs cheveux pendaient, son visage était beau et froid, mais sa joue était un peu gonflée alors qu'elle mâchait sa nourriture.Elle avait l'air froid, ce qui a été directement ignoré par Gabriel.Après qu’ils ont terminé le dîner, Gabriel s’est levé pour faire la vaisselle.Ses cils étaient longs comme les plumes, couvrant légèrement ses beaux yeux comme les fleurs de pêche. Il a retroussé les manches pour faire la vaisselle, et les muscles sur ses avant-bras étaient jolis et puissants, ce qui semblait très sexy.Molly s'est tranquillement appuyée contre le mur, en le rega

L'amour, c'était vraiment du poison...Molly restait de bonne humeur tout au long du trajet, et elle est entrée enfin dans sa classe.Inès, assise au premier rang, l'a vue au premier coup d'œil, mais on ne savait pas pourquoi, aujourd'hui, Inès n'a pas tourné Molly en dérision quand elle l'a vue, mais elle regardait Molly d’un air complexe.Molly l'a ignorée également et elle s’est directement assise sur son siège.Manon et les autres ne sont pas encore arrivés, et Molly a entendu vaguement la discussion dans la classe.« Jérémie en terminale, celui qui a dit qu’il allait remplacer Chrétien en tant que chef des voyous de l'école, sa famille semble avoir été exclue par la famille Robert ! »« La famille Robert ? C'est le géant qui possède la plus grande industrie du divertissement à San Joto ? »« Et alors ? On peut trouver une deuxième famille Robert à San Joto ? J'ai entendu dire que c'était le frère de Jérémie, Rayan Bernard, qui avait offensé un gros bonnet au club hier soir ! On di

Léa s’est également figée un instant, elle savait depuis longtemps que l'oncle de Béatrice était Monsieur Leroy, président-directeur général. Et c'était l'une des raisons pour lesquelles elle avait choisi d'être amie avec Béatrice.La dernière fois, elle n'avait pas pu parler avec Monsieur Leroy lors du banquet, et maintenant que Sébastien est venu à l’Institut Royal, une lueur a brillé dans ses yeux, « Béatrice, es-tu sûre de ne pas te tromper ? »Clément a beaucoup changé ces derniers temps. Face à Clément, Léa avait toujours peur. Chaque fois qu'elle restait avec lui, elle se sentait panique, et elle ne savait vraiment pas quand il allait l’expulser, elle devait donc retrouver un autre protecteur puissant.Si elle pouvait être comme Molly et avoir une relation avec Monsieur Leroy, Clément n'oserait certainement pas la traiter avec désinvolture.En y pensant, les yeux de Léa se sont tournés, même si elle ne savait pas ce que faisait Monsieur Leroy à l'Institut Royal, elle ne pouvait

Clément, Léa et Béatrice, chacun avec sa propre idée, ont marché ensemble jusqu'au bureau du Monsieur Martin.D'habitude, il n'y avait personne à cet étage. Mais aujourd'hui, quatre hommes gardaient la porte, et il y avait aussi un homme debout dans la cage d'escalier, qui les a vus arriver, et il a fait un sourire contraint : « Vous êtes ? »Voyant cette situation, Béatrice savait que son grand-oncle n'est pas encore parti, et elle voulait immédiatement mettre de côté les gardes et continuer à avancer, mais elle a ressenti soudainement un objet dur et froid contre sa tête.« Si vous faites un autre pas en avant, ne me reprochez pas d'être impoli. »Béatrice s'est arrêtée immédiatement, et Léa a hurlé inconsciemment en regardant l'objet contre la tête de Béatrice !« C'est un pistolet ! Clément, ils ont des armes ! »L'expression de Clément n’a pas changé, et il regardait calmement les pistolets dans les mains de ces gardes du corps, et a arraché froidement les mains de Léa qui l’agrip