Tous les chapitres de : Chapitre 191 - Chapitre 200

Il fallait vraiment que Gabriel rencontre la personne dans la loge numéro deux.Derrière Gabriel, Hugo Verne s’est également figé, et rarement, Hugo a douté un peu de ce qu’il a vu : « Maître, ça ? »Tout le monde dans la salle des enchères s'est également frotté les yeux, regardant les chiffres affichés sur l'énorme écran au-dessus, bouche bée.Cette personne était peut-être un imbécile !La blonde a repris ses esprits, et par devoir de commissaire-priseur, elle a tapé doucement le marteau d'enchères dans sa main et a dit calmement.« L'acheteur de la loge numéro deux offre cent millions pour cet objet inestimable ! »« Cent millions une fois, cent millions deux fois, cent millions trois fois ! »« Vendu ! »Au moment où la blonde a dit « Vendu », la base de données de l'ordinateur volumineux de Molly a aussi fini toutes les recherches, une ligne d'informations personnelles de Molly a apparu sur l'écran.Molly a ensuite appuyé sur la touche Entrée pour supprimer directement ses inform

Mais la sécurité du réseau ici était supervisée par ses hackers d'élite, donc il était impossible que quelqu'un puisse infiltrer son réseau... Mais... à part une personne.Le regard de Gabriel est devenu sombre brusquement, puis il s’est mis à rire d'un air moqueur.Le monde était si grand, comment cette personne pouvait-elle venir sur son territoire, traîner sous son nez, et s'emparer de son trésor ?C’était presque impossible.Prenant une profonde inspiration, Gabriel s’est levé et il a dit nonchalamment : « Allons-y, nous devons aussi rentrer. »Hugo a hoché la tête, puis il a suivi Gabriel.Ils ont quitté tous les deux la loge, ignorant Chloé qui regardait tout le temps Gabriel derrière eux.Ils n’ont pas demandé à Chloé de sortir pendant leur conversation, ce n’était pas parce qu’ils faisaient confiance à Chloé, mais parce qu’ils l’ont totalement ignorée.Chloé ne méritait pas la moindre attention.C'était également la première fois que Chloé, qui était toujours très orgueilleuse

« Seules quelques bouchées sont autorisées pour savoir le goût. »Molly connaissait bien la situation du corps d’Edgar, et parfois s’il n’a pas bien fini sa mission, c’était parce qu’il était à l’hôpital à cause de la gastro-entérite.En entendant cela, l'expression joyeuse sur le visage d’Edgar s’est figée soudainement.Mais il s’est consolé rapidement : « Il vaut mieux avoir quelque chose à manger que rien du tout ! »Il a continué donc à se précipiter vers les étals en bord de route avec une vigueur inébranlable.Molly n'a plus arrêté Edgar et l’a suivi lentement.Ils se sont installés devant un étal, et le patro de l’étal, en face d’eux, pensant qu'ils ne parlaient pas la langue locale, leur a demandé en anglais non standard ce qu'ils voulaient manger.Molly regardait les différents aliments devant elle et a demandé doucement à Edgar : « Qu’est-ce que vous voulez manger ? »Edgar a désigné du doigt quelques brochettes de piments rouges, « Je vais prendre ça ! ».Molly le regardait,

Il était évident que le voyou aux cheveux bleus a aussi pensé à ce point, et la colère a progressivement disparu dans ses yeux, puis a été remplacée par le mépris et la complaisance.« Potes, battez-la pour moi ! »Une douzaine d'hommes se sont approchés de Molly avec des sourires vicieux, les armes en acier dans leurs mains brillant froidement sous les lampadaires.Le patron de l’étal derrière eux regardait cette scène avec une grande inquiétude, à ses yeux, Molly était vouée à être gâchée par eux ; pensant que cette fille est partie sans hésitation quand elle était en danger pour ne pas compromettre son étal, le patron a sorti le téléphone portable dans sa poche et a appelé la police avec les doigts un peu tremblants.Le patron savait très bien ses conséquences après cet appel, et il risquait bien de subir une vengeance féroce de la part des voyous, mais il n’avait pas d’autres choix.Cependant, dès que le policier a répondu au téléphone, le patron était incapable de parler pendant u

Le voyou aux cheveux bleus, très complaisant, voulait dire quelque chose, mais ça a activé le muscle de son abdomen, donc il a poussé un cri de douleur.Il regardait avec méchanceté la direction d’où Molly est partie.« Salope, comment oses-tu me traiter comme ça, je vais certainement te faire payer ! »Molly et Edgar sont rentrés à l'hôtel, ils ont été embêtés par les voyous, en plus du décalage horaire, Edgar voulait depuis longtemps dormir et il bâillait sans cesse, Molly le regardait entrer dans la chambre 402 avant d’ouvrir la porte de sa propre chambre avec la carte.Au moment où elle était sur le point d’entrer, la porte de la chambre 403 à côté d'elle s'est ouverte, et Molly voulait fermer la porte rapidement, mais une grande main s'est interposée, tenant fermement le bord de la porte et résistant à sa force.Si Molly a insisté pour fermer la porte, cette main allait être complètement détruite.Molly regardait cette main sans expression, elle a réfléchi pendant une demi-seconde