Tous les chapitres de : Chapitre 91 - Chapitre 100

Clément a pressé doucement sa main sur son cœur se battant à toute vitesse, il ne comprenait pas.« Impossible ! Qu’est-ce qu’il m’arrive ? » s’est-il dit. « Je suis Clément Martin, l’unique petit-fils de mon grand-père. Je peux avoir toutes les femmes que je veux. Comment est-ce possible que je sois tombé amoureux d’une fille aussi mal élevée ? »Clément semblait s’être convaincu. Il n’est pas resté longtemps et s’est rendu au bureau de son grand-père pour le voir avant d’aller en classe.Le lundi, différent des autres jours de semaine, l’Institut Royal organisait une cérémonie de lever du drapeau à laquelle assistaient les lycéens et les étudiants.Après le petit-déjeuner, tout le monde s’est rassemblé sur le terrain de sport. La cérémonie de lever du drapeau était sur le point de commencer quand Clément est arrivé. Tout le monde était agité quand ils ont vu Clément. Beaucoup de filles ont crié, et certains garçons n’ont pas pu s’empêcher de le fixer. Clément a souri et a avancé

Remplie de griefs, Léa a immédiatement baissé la tête et a chuchoté : « Je veux juste te dire que Molly a malmené Lily à la cafétéria hier. Selon Lily, Jacques a pris la défense de Molly, comme s’il était fasciné par elle. Je pense que c’est inconvenant de la part de Molly de faire cela. »Lily détestait de plus en plus Molly et souhaitait que Clément l’aide à lui donner une leçon.Clément a regardé dans les yeux de Léa et a tout compris. « Donc tu veux que j’intervienne et que je vous aide, toi et Lily, à donner une leçon à Molly. » Sa voix semblait calme, rendant impossible pour les gens de deviner ses émotions.Léa a levé la tête et fixait Clément avec impatience. Elle savait que Clément comprenait ce qu’elle voulait dire. En fait, elle était convaincue que Clément serait d’accord. Après tout, il n’avait jamais refusé ses demandes.Mais cette fois, Clément n’a rien dit. Il regardait Léa qui se tenait là.Se sentant un peu nerveuse, Léa a rapidement repris : « Molly m’a aussi ma

Molly regardait la feuille vide. Il avait eu tort à la seule question à choix multiple à laquelle il avait répondu. Elle a froncé les sourcils.Voyant cela, Chrétien s’est empressé de couvrir la copie de ses mains, son visage devenant tout rouge.« Chef, ne le regarde pas. J’ai commencé à partir de zéro et je n’avais rien appris auparavant. »« Viens au café après l’école, tu peux me poser les questions sur tout ce que tu ne sais pas. » Étudier dans la classe risquait d’attirer une attention non désirée, il était plus pratique d’étudier à l’extérieur.Sans regarder l’expression de Chrétien, Molly est partie avec Manon.Les subordonnés de Chrétien derrière lui ont vu la scène et se sont regardés pendant un moment, puis un audacieux s’est approché de Chrétien et lui a demandé : « Chrétien, que fait notre chef ici ? Qu’est-ce qu’elle t’a dit pour que tu aies l’air si stupide ? »Chrétien a levé la main au moment où il a entendu le mot « stupide », voulant le battre. Le garçon a immé

Molly l’a entendu et a lentement levé la tête. Il n’y avait aucune émotion dans ses yeux, c’était comme si elle voulait juste voir qui il était vraiment.Adam, qui était à côté d’eux, s’est levé. « Tu n’es nullement placé pour la reprocher ? La dernière fois que Molly et moi avons été attaqués par Malo, j’ai vu quelques-uns d’entre vous à proximité. Est-ce que vous êtes venus nous aider ? Si ce n’était pas pour Molly, je serais peut-être encore à l’hôpital. Qu’est-ce qu’elle a fait pour que vous l’accusiez de sang-froid et de violence ? »Francis regardait Adam sans rien dire. C’était vraiment leur faute la dernière fois. Molly a peut-être dit qu’elle n’avait pas besoin de leur protection, mais ils n’auraient pas dû rester assis sans rien faire en regardant leurs camarades de classe se faire tabasser.Voyant qu’ils ont attiré l’attention de tous les élèves de la classe, le chef de la classe a froncé les sourcils, elle s’est levée et essayait de maintenir les ordres. « Adam, ferme-la

Monsieur Giraud était triomphant comme s’il voyait Molly perdre son pari.Monsieur Giraud allait sortir du bureau, pensant que Madame Besson le laisserait se moquer d’elle et ne dirait rien, comme elle l’avait fait auparavant. Mais il avait tort cette fois. Madame Besson a dit faiblement derrière lui : « Monsieur Giraud, tu n’as pas à te soucier de ce que font mes élèves. Molly a la liberté de choisir, et je n’interviendrai pas. Cependant, il y a une chose qui m’intrigue chez toi, Monsieur Giraud. Tu ne peux même pas te payer une tasse de café ? Sinon, pourquoi viendrais-tu toujours dans mon bureau pour prendre un café ? »Se faisant railler par Madame Besson, Monsieur Giraud s’est retourné et l’a pointée du doigt avec colère. « Comment oses-tu me faire une satire ! Je vais dire à la directrice… »Madame Besson était assise à son bureau, le regardant d’un air glacial, le visage nonchalant quand elle l’a entendu mentionner la directrice.Elle avait bien réfléchi. Elle en avait assez