Tous les chapitres de : Chapitre 101 - Chapitre 110

« Comment est-il entré ? » Ici, c'était une villa privée que Dominique avait achetée pour organiser des réunions ou d'autres fêtes. Elle était dans un lieu secret, même son père ne savait pas qu'il avait acheté une villa. Non seulement la location de cette villa était secrète, mais il y avait aussi des agents de sécurité devant la porte. Alors, sans la permission de Dominique, personne ne pouvait y entrer. Toutefois, à ce moment-là, Théo est arrivé dans la villa comme un lutin. « Théo, pourquoi es-tu ici ? » Ivy le regardait avec stupéfaction, en effet, elle se sentait un peu émue et voulait même se jeter dans ses bras. « Je suis venu pour te ramener chez nous. » Théo la regardait tout en souriant et a saisi sa main. En réalité, il était là depuis longtemps, et il voulait voir l'attitude d'Ivy sous cape. Cette fois-là, il n'était pas du tout déçu par ses gestes, surtout quand il l’a entendu avertir Lavande qu’il était son mari et qu'il était incomparable, le sou

Théo a jeté violemment le tranchant avec toutes les forces, et le couteau est sorti de sa main comme une flèche. En un rien de temps, le tranchant a perforé le dos de Fernand, qui a grandi les yeux et a craché du sang, ensuite, il est tombé brutalement. Les billets d'un million d'euros étaient trempés par le sang. L'ambiance dans la salle est devenue figée à ce moment-là, Philip et Timéo étaient paniqués et stupéfaits car Théo l'avait tué si rapidement et fermement comme s'il tuait une mouche. En plus, il était vraiment fort pour que tout ce long tranchant puisse perforer le dos de Fernand. C'était effrayant. Ensuite, Théo a essuyé ses mains avec le mouchoir, et a pris le portable qui avait filmé cette vidéo, dans laquelle il n'y avait que la partie où Fernand disait la vérité. Théo ne pouvait pas du tout filmer comme il l'avait tué. « Nous devons être honnêtes en tant que hommes. Nous avons déjà promis de lui donner un million d'euros, alors, nous devons le lui donner.

Auparavant, Léa enviait comme sa cousine Ivy, avait rencontré un petit ami très brillant comme Dominique, alors, elle l'avait courtisé secrètement. Mais, à ce moment-là, il n'avait aimé qu'Ivy, et ne voulait pas du tout répondre à son amour fou, par conséquent, elle ne pouvait qu'abandonner son projet. En effet, Léa ne connaissait pas du tout le masque hypocrite de cet homme. Auparavant, la raison pour laquelle il avait été fidèle à sa copine n'était pas du tout qu'il était un homme sincère et amoureux, mais c'était qu'il était vraiment dissimulé. À ce moment-là, il n'avait pas eu des relations sexuelles avec Ivy, alors, il avait dû feindre d'être fidèle. Si elle avait eu des relations conjugales avec lui, il aurait déjà accepté la complaisance et l'amour de Léa. Tout compte fait, il était un homme à la fois perfide et vicieux. En plus, il aimait les membres de la famille d'Ivy. « Monsieur Oger, es-tu aussi de mauvaise humeur ? Tu veux que je te raconte mes histoires, et to

« La famille Oger ? » Ayant entendu cela, tout le monde était stupéfait avec la tête qui tournait. Non seulement Hubert était paralysé, mais Jean, près de lui, était aussi bouleversé. « La famille Oger ? Il est le fils de la famille Oger de la ville de Roy ? Ils ont l'agence immobilière la plus énorme et noble dans la ville, et ils sont presque aussi privilégiés que la famille la plus riche de toute la ville, la famille Tristan. C'est impossible ! » En un rien de temps, Jean et Hubert étaient tout à fait paniqués et figés, ils se sentaient vraiment stupéfaits. À ce moment-là, les membres de la famille Leroy étaient aussi bouleversés, mais ils ont été stupéfaits quand Dominique est entré dans la salle de conférence, car il avait fixé le mariage avec Ivy il y avait six ans, alors, chaque Leroy dans la salle le connaissait. À cette période-là, la famille Leroy aurait pu devenir une famille avec les Oger qui étaient des nobles dans la ville, et elle aurait pu devenir riche et p

Ces dernières six années, Léa faisait sans cesse des ravages dans la vie de Marine et Ivy, cette femme vicieuse voulait les écraser. Personne ne voulait pardonner à une femme remplie de vice à travers seulement quelques mots, pour la plupart de gens, ils ne voulaient pas du tout accepter le pardon d'un tel malfaiteur. Tout d'abord, Ivy la trouvait aussi peu ou prou ridicule. Mais, elle n'a pas raccroché le téléphone et entendait que Léa pleurait en gémissant, graduellement, elle s'est soulagée. Une demi-heure après, elle a poussé profondément un soupir, tout compte fait, son cœur n'était pas en pierre. En effet, elle briguait toujours l'affection de la famille Leroy pendant ces six années-là. « Halte-là, Léa, je te pardonne. Tout s'est déjà passé et tout va bien. » Elle l’a rassurée. « Ah bon ? Cousine, tu m'as pardonnée ! Tant mieux ! » Ayant entendu cela, Léa a éclaté de rire avec joie, « Après t'avoir demandé pardon, je me sens très bien à l'aise avant de mourir. » «