All Chapters of Je suis un milliardaire : Chapter 251 - Chapter 260

Ils étaient en effervescence. Entouré des moqueries, Charley voulait presque verser du thé au lait sur eux, alors, en voyant leur tasse vidée, il a trouvé un petit prétexte : « Puis-je acheter encore des tasses de thé ? Vous pouvez encore discuter là. » À ces mots, il a quitté sa place. En voyant qu’il s'est éloigné, les deux jeunes femmes se sont approchées tout de suite vers Yolaine, en plus, même la femme la plus aînée s'est avancée vers elle. En effet, elles se rencontraient souvent, et elles étaient tout à fait familières. « Yolaine, pourquoi es-tu tombée amoureuse d’un homme pareil ? » « Yolaine, c’est un campagnard, un bon à rien ! Je ne veux plus le voir ! » « Yolaine, j'en ai assez ! Personne ne veut faire sa connaissance ! » Les trois femmes ont dit sans cesse. « Cousines, pourquoi vous ne faites attention qu'à ses vêtements ? Charley est tout à fait gentil et fidèle, en plus, il a toujours des idées, alors, il a aussi du charme, n'est-ce pas ?

« Hé, mec, tu es justement un bon à rien, un idiot, un crétin ! » À ce moment-là, les deux agents de sécurité ont dit avec moqueries. « Monsieur... Monsieur Marchand ! » Juste à ce moment-là, ils ont entendu une voix douce et respectueuse d'une femme, tout d'un coup, en voyant que cette jeune femme s'avançait, ils sont devenus muets, en plus, la sueur a trempé leur front. « Monsieur Marchand ? Ce jeune homme est-il Monsieur Marchand ? » Ils pensaient. Charley s'est tourné vers cette jeune femme et a froncé les sourcils : « Sabrina, il y a très longtemps que nous ne nous sommes pas vus. » En effet, elle était justement la gestionnaire de cette villa, Sabrina, qui avait aussi conçu cette villa. Près d'elle, il y avait encore ses quelques amies, y compris Jeanne et Viviane, que Charley avait rencontrées quand il avait acheté cette villa. « Bonjour monsieur. » Dans les yeux de Jeanne, il n'y avait plus de mépris, en revanche, elle le flattait et câlinait à ce moment

À ce moment-là, à leurs yeux, Charley était non seulement gentil, mais il était aussi très beau même dans des vêtements démodés, alors, elles pensaient toutes les trois qu'il était beaucoup plus beau que leur copain. « Bref... » Il ne pouvait pas supporter leur courtoisie, alors, il est parti tout de suite. En effet, Charley ne les détestait pas du tout, car il avait seulement feint d'être le copain de Yolaine. « Mon Dieu, Yolaine, Charley est-il justement Monsieur Marchand ? Pourquoi tu ne vous l’as pas dit ? Je l'ai presque offensé comme ce que ma sœur a fait ! » Perrine a frappé les mains et a dit avec excitation. Ayant entendu cela, Perrine se sentait un peu mal à l'aise : « Perrine, c'est toi qui as fait des bêtises devant Monsieur Marchand, c'est aussi toi qui l’as profondément offensé. Pourquoi m'as-tu calomniée ? Tu peux le demander à ma fille, suis-je toujours très gentille avec Monsieur Marchand ? Suis-je toujours amicale avec lui ? C'est toi qui l'as toujours

Mais Jacques semblait être habitué à tout cela. « Je veux seulement prendre le dîner avec mes amies, alors, calmez-vous. » Jacques a souri, ensuite, il s'est tourné vers la porte comme s'il attendait quelqu'un. Puis, deux jeunes femmes sont aussi entrées dans la cantine devant tout le monde, et elles se sont avancées vers lui. « Oh là là ! » En voyant ces deux jeunes femmes, Charley, assis près d'Eva, était tout de suite bouche bée. « Mon Dieu ! » Charley a été stupéfait, car ces deux jeunes femmes qui étaient tout à fait belles et ravissantes étaient justement Julie et Isabelle. « Mon Dieu, sont-elles les copines de Jacques ? Pourquoi ? Elles ne sont pas du tout les plus jolies de notre université, n'est-ce pas ? » « Putain, pourquoi sont-elles près de mon cher Jacques ? » Certaines jeunes femmes se sont mises en colère tout en murmurant. « Non, elles ne sont pas ses copines. Jacques a dit tout à l'heure qu'elles ne sont que ses amies, alors, nous avons enc

Alors, Louis était un peu inquiet. En même temps, Charley s'inquiétait aussi pour lui, il avait peur qu’Henri ait rencontré des problèmes. Ainsi, il a sorti son portable tout de suite et a téléphoné à Henri, mais son portable était toujours éteint. « Mon Dieu, qu'est-ce qui se passe ? » Il a gratté la tête avec inquiétude. Charley ne voulait plus rester au lit, il s'est levé et a dit d'un ton inquiet : « En effet, ces derniers jours, Henri était vraiment un peu bizarre. Depuis la semaine dernière, il souriait de temps en temps devant son portable, quand je voulais voir, il refusait. Mais ces derniers jours, il est devenu de nouveau triste. Je pense qu'il avait rencontré des problèmes. » À l'idée de ses gestes pendant ces derniers jours, Charley est devenu de plus en plus inquiet. Auparavant, Henri était toujours vigoureux, et il pouvait toujours se débrouiller. Alors, ces derniers jours, ses amis ne voulaient que jouer avec lui pour se distraire. « Charley, en e