Tous les chapitres de : Chapitre 591 - Chapitre 600

Philippe et Zoé s’étaient occupés de Christine. Seulement Anne n’avait pas oublié de prendre le résultat du test.Anne l’a passé à Tiffany, cette dernière l’a pris et l’a lu.Ayant lu le résultat, Tiffany a gardé le silence un instant avant de le mettre sur la table.« Tiffany, tu es ma nièce, appelle-moi tata ! »Christina n’avait pas pu retrouver sa soeur cadette vivante, mais elle avait rejoint ses deux nièces. Cela l’a beaucoup consolée.Elle a pris Tiffany par la main et lui a demandé de l’appeler « tata ».« Où est Charlotte ? Et André ? »Christine s’est souvenue qu’elle avait une autre nièce.« Ma soeur ne rentre pas le midi. Elle rentre à cinq heures et demie, après le travail. »Tiffany a expliqué. Elle a tourné les yeux vers Chloé. Celle-ci s’est approchée d’elle en portant André dans les bras. Tiffany a pris son neveu des mains de son amie.« Madame ! »À peine que Tiffany avait repris, Christine a dit : « Tiff, appelle-moi tata ! Je vous ai tant cherchées, même dans mes rê

Beaucoup de personnes âgées avaient cette idée ! Ils trouvaient que leurs biens seraient à leurs fils et à leurs petits-fils. Quant à leurs filles ou à leurs petites-filles, elles se marieraient un jour et seraient les membres d’autres familles. Ainsi, ils interdisaient que les filles aient le droit de succession.Si une famille n’avait aucun fils, les familles qui partageaient le même ancêtre avec celle-ci convoiteraient toujours ses biens. Elles tenteraient de s’emparer des biens de cette famille en chassant les filles dehors dès la mort de leurs parents !C’était pourquoi beaucoup de monde souhaitait d’un vif désir avoir un fils, parce qu’ils ne voulaient pas que les richesses gagnées par eux-mêmes soient emportées par des inconnus !« Est-ce que ton deuxième cousin aîné s’appelle Emmanuel Durand ? »Christine connaissait un peu Emmanuel. C’était essentiellement parce qu’il était un cadre supérieur dans une succursale du Groupe Gautier. Il touchait un salaire annuel de plus d’un m

Charlotte a reconnu la personne qui avait poussé ce cri, sans la peine de la regarder !Elle connaissait bien cette voix.C’était de la part de Mélanie, son ancienne belle-soeur.Marie était arrivée au Groupe Robert avec sa fille. Mais Charlotte n’était pas rentrée chez elle pour le déjeuner. Elle l’avait pris à la cantine de l’entreprise. Puis, elle avait fait la sieste au bord de son bureau avant de recommencer son travail l’après-midi. Elle n’avait pas quitté la société.Marie et Mélanie n’avaient pas pu faire autrement que d’attendre Charlotte à l’entrée du Groupe Robert pendant tout l’après-midi.Elles étaient vraiment énervées.Au moment où Charlotte est sortie de la société, Mélanie était déjà hors d’elle ! Elle a poussé un cri violent sans s’occuper des passants très nombreux, ce qui lui a attiré l’attention de beaucoup de monde.Les badauds se sont arrêtés pour admirer le spectacle.Bien que Charlotte ne soit qu’une simple employée de la gestion financière, elle avait été recr

Léo a demandé avec une mine maussade : « Qu’est-ce qui s’est passé ? » Mélanie s’est levée du sol et a tenté de se précipiter à nouveau sur Charlotte, mais Léo l’a repoussée d’une main. Elle a reculé de plusieurs pas avant de pouvoir s’immobiliser. Elle a vu un homme grand se tenir devant Charlotte. La cicatrice sur le visage de cet homme était particulièrement terrifiante. Mélanie était choquée et n’osait plus se jeter sur Charlotte. Marie s’est précipitée de revenir à nouveau aux côtés de sa fille, les deux étaient en piteux état. Bien sûr, Charlotte était dans le même état qu’elles. Les gardes de sécurité étaient à bout de souffle, ils ne s’attendaient pas à ce que les trois femmes se battent aussi follement et ne puissent même pas les écarter. Après avoir pris une respiration forte, Mélanie a interrogé Léo : « Qui êtes-vous ? » Léo a répondu : « Je suis le patron de cette entreprise, et qui êtes-vous ? Vous venez à mon entreprise pour malmener mes employés ? » Puis,

En voyant la scène, Tiffany a crié : « Charlotte ! » André a également appelé sa mère. Lorsque Tiffany a vu Mélanie, Marie, puis l’état lamentable de sa sœur Charlotte, elle a tout compris. Elle est immédiatement devenue furieuse. Donnant André dans les bras de sa sœur, Tiffany s’est retournée et a marché en retroussant ses manches, avec l’envie de frapper Mélanie et Marie. Christine s’est empressée de crier : « Tiffany ! » Puis elle s’est rapidement avancée pour empêcher Tiffany de frapper Mélanie en disant : « Tiffany, laisse les policiers s’en occuper. » Les policiers étaient déjà là, il n’était pas bon de frapper les autres devant la police. Léo était surpris de voir Christine et Philippe, par politesse, il s’est approché et les a salués : « Bonjour Madame Christine, Monsieur Philippe. » Christine lui a demandé : « Monsieur Léo, qu’est-ce qui s’est passé ici ? » Léo a répondu : « C’est un peu compliqué, laissez les policiers s’en occuper. » Puis il a dit au