All Chapters of Légende du Maréchal Dragon: Chapter 71 - Chapter 80

C’était le temps de quitter le travail. Jean a demandé aux autres candidats de revenir demain. Puis, il a emballé ses affaires en disant à Christine sur le côté : « Christine, nous pouvons aller chez moi, je vais vous expliquer les points importants pour l’embauche. » « Quoi ? » Christine était étonnée : « Nous allons chez vous ? » Voyant l’expression choquée de Christine, Jean a soudainement changé ses mots : « Ma maison est plus proche d’ici, c’est plus pratique. Si vous ne voulez pas y aller, nous pouvons aller à mon bureau dans l’entreprise. » En tant que directeur du département du personnel du Groupe Ella, Jean était responsable du recrutement et disposait également d’un bureau. Il y avait un canapé, qui était aussi bon que le lit.Il avait déjà pensé clairement, il allait faire tout pour coucher avec Christine, qui était estimée la plus belle beauté de Centre-Fleuve par les médias.Quand il a pensé à sa silhouette charmante et son beau visage, il était excité.Entendant que

La tombe du roi Philippe, le coffre au trésor, la clé, le tableau de Villa au clair de lune, et la Rose noire ?Charles a regardé la Rose Noire devant lui, qui portait une armure de cuir noir et avait une silhouette gracieuse, et est tombé dans ses pensées. Était-il une coïncidence ou intentionnel ?« Maréchal, s’il vous plaît, protégez-moi. » La Rose Noire a parlé à nouveau, avec un soupçon de supplication sur son beau visage.Charles lui a jeté un coup d’œil, « Vous avez dit que quelqu’un avait tué tous vos compagnons. Pourquoi vous n’avez pas couru pour sauver votre vie, mais l’avez suivi jusqu’à Centre-Fleuve ? Pour demander ma protection ? Logiquement, cela n’a aucun sens. » La Rose Noire a expliqué : « Le meurtrier n’est pas celui qui a planifié le piège, il veut prendre le coffre au trésor seul. Il n’a pas remis le coffre à son employeur, mais s’est enfui dans Centre-Fleuve avec le coffre. Je l’ai suivi jusqu’ici. Si l’employeur sait que la clé est dans ma main, je serai mort

Dans le bureau.Jean a enlevé tous ses vêtements. Il s’est dirigé vers les toilettes, mais quand il a essayé de pousser la porte, il a vu que c’était verrouillé derrière lui.« Elle est assez alertée. » Jean a grondé vicieusement, il a frappé à la porte en criant : « Christine, ouvrez la porte. » Dans les toilettes.Christine a continué à se laver le visage avec de l’eau. À ce moment-là, ses vêtements étaient mouillés et étaient étroitement attachés à sa peau, montrant sa silhouette charmante .Cependant, le médicament était très fort, il était inutile de se laver à l’eau.Elle se sentait de plus en plus chaude. Il semblait y avoir beaucoup de vers rampant dans son corps, et un désir primitif est apparu dans son cœur. Ce genre de désir, elle n’en avait jamais eu auparavant.Elle s’est accroupie sur le sol, tirant sur ses vêtements et se grattant la peau.Elle a entendu la voix de Jean venu derrière la porte, « Christine, ouvrez la porte rapidement. Vous ne pouvez pas la résister. Je v

Charles a entendu la sirène, il savait que la police arrivrait bientôt. Il ne voulait pas le faire savoir à tout le monde, comme Christine n’était qu’une femme ordinaire qui a déjà enduré trop d’insultes.Charles ne voulait pas être arrêté en tant que suspect et traduit en justice. Bien qu’il puisse prouver qu’il l’a tué pour protéger Christine, cela exposerait Christine aux médias et aux critiques. Par conséquent, il ne pouvait pas être arrêté par la police et ne pouvait pas faire savoir à la police que Christine était impliquée dans le meurtre.Charles ne voulait pas que cette affaire affecte Christine, qui avait déjà enduré trop de commérages.De ce fait, il a appelé le roi libéral pour lui demander de l’aide. Après avoir passé l’appel, il est retourné au bureau et s’est assis sur le canapé pour attendre.À la porte se sont rassemblés des dizaines de gardes de sécurité. Ils tenaient des matraques électriques, mais des perles de sueur sont apparues sur leurs visages et ils n’ont pas

Charles a perdu la tête pendant un instant avant de réagir. « Quand je suis arrivé, tu étais déjà tombée dans le coma. Puis j’ai appelé la police et le directeur a été arrêté. » Charles était inquiet que Christine aurait un traumatisme psychologique, il la réconfortait en lui cachant la mort de Jean. Christine pensait qu’elle a eu beaucoup de chance. Heureusement, elle lisait habituellement beaucoup de livres et de reportages, donc elle a pu connaître les astuces de Jean. Sinon, elle ne pouvait vraiment pas imaginer les conséquences.« Nous allons manger. » Charles a tiré Christine pour sortir de la chambre.Christine a hoché la tête.Charles avait déjà cuisiné quand Christine dormait. Et à l’heure du dîner, la famille de Christine qui est sortie est également revenue.Ils sont allés au supermarché et ils discutaient encore de l’exercice militaire qu’ils avait vu quand ils sont entrés à la maison.« La scène était vraiment grande, il y avaient des dizaines de voitures militaires. » H