Christine a été choquée et a demandé : « Alors, que devrions-nous faire maintenant ? » Madame Dubois a secoué légèrement la tête et a dit : « Non, nous ne pouvons rien faire. Je ne suis pas sûre si nous pourrons gagner ce procès. Maintenant, il n’y a qu’un seul moyen, les parties concernées acceptent de retirer leurs plaintes contre Charles. Dans ce cas-là, Charles pourra éviter d’être emprisonné. » Aurélie a froncé les sourcils. Après avoir pris une profonde inspiration, elle a dit : « J’ai compris, vous pouvez rentrer. » « Oui, madame Herve. » Madame Dubois s’est retournée et est partie.« Aurélie, que devons-nous faire maintenant ? Je compte sur Charles, ce qu’il a dit est définitivement vrai, il a été piégé. » Aurélie a dit avec impuissance : « Je compte aussi sur Charles, mais le juge ne regarde que les preuves, et maintenant toutes les preuves sont défavorables à Charles. » « Alors, que devons-nous faire ? » « Rentrons d’abord, ça ira. » Aurélie a tiré Christine par la mai
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