Tous les chapitres de : Chapitre 351 - Chapitre 360

« Mademoiselle Yolaine est si belle, elle sait bien jouer du piano, c'est impressionnant... »Ah !Zoé a grogné au fond du cœur.« Pourquoi ça ?Pourquoi c’était Yolaine, cette petite salope qui s’est faite distinguer ? »Ce n'était évidemment pas ce qu'elle voulait...Mais peu importe à quel point Zoé regrettait, cela ne pouvait pas changer les regards de tous les hommes dans la salle de banquet.Une femme pouvait attirer l'attention d'innombrables hommes simplement en étant belle. Si elle avait du talent, elle deviendrait une favorite.Dès que Yolaine est descendue de scène, des hommes se sont approchés d'elle. Cependant, Enzo a été le premier à s’approcher d’elle.Ses yeux sombres montraient un regard différent : « Pourquoi vous ne m’avez pas dit que vous saviez jouer du piano ? »Yolaine a répondu légèrement : « Vous ne m'avez pas demandé. »Devrait-elle dire à n’importe qui qu'elle savait jouer du piano lorsqu'elle rencontrait quelqu’un ? De plus, elle ne semblait pas bien connaît

« Il n'y a personne ici. Si tu as quelque chose à dire, parle-en-moi directement ! » Zoé a souri froidement, « Je l'ai déjà dit, tant que tu quittes Paris, je te donnerai quoi que ce soit. Maintenant mes paroles sont encore valables, tu ferais mieux de saisir cette opportunité. »« Je comprends enfin pourquoi tu as si peur que je reste à Paris. » Yolaine a secoué le verre de vin, avec une voix paresseuse, « Dès que je suis revenue, tu as essayé par tous les moyens de me faire disparaître. J'ai toujours pensé que tu avais peur que je prenne ta position d’héritière de la famille des Bernard. Il s'avère que ce n'est pas du tout le cas... »Tout l'esprit de Zoé s’est tendu.Elle a fixé la personne assise en face et a dit tout en serrant les dents : « Tu es revenue cette fois pour tout prendre de la famille des Bernard. Je ne vais pas céder... »« Hé ! »Yolaine a éclaté de rire.Elle a posé le verre de vin rouge et s’est penchée en avant avec une oppression.Sa voix était extrêmement froid

Enzo a dit en fronçant les sourcils : « Je ne savais pas qu’elle était la sœur de la mère des enfants quand je l’ai rencontrée. »« Maintenant que tu le sais, trouves-tu que c’est le temps d’y renoncer ? » a dit sa mère d’un ton froid.« La fille cadette de la famille Bernard est la mère biologique de tes enfants, mais ce sera la fille aînée que tu épouseras, c’est ridicule ! »« J’aime Yolaine, peu importe qui est-elle. » A-t-il dit d’un ton léger, « Je ne vais pas la quitter parce qu’elle est la sœur de la mère de mes enfants. »Yolaine était sur les escaliers avec les deux enfants, elle a entendu ses mots déterminés par hasard. La stupeur se lisait sur son visage.Ils étaient en relation amoureuse, mais ce n’était pas l’amour qui les a reliés. Il a déclaré son amour à elle d’un ton décisif devant sa mère, et a dit qu’il ne la quitterait pas…Son cœur s’est adouci.La mère d’Enzo a entendu le bruit sur les escaliers, du coup elle ne lui a pas répondu.Elle s’est tournée pour regarder

Yolaine : « … »C’était elle qui l’a élevée pendant quatre ans, mais il semblait qu’elle était plus proche de son père.Elle a crispé la bouche et est descendue à l’étage d’au-dessus pour chercher Léo.En le voyant plonger dans un livre, elle a dit : « Léo, ce livre n’est pas pour toi, c’est trop compliqué. »Elle est montée à l’étage d’au-dessus avec Léo, « Il est tard, il faut que tu prennes la douche, veux-tu que je t’aide ? »Léo a secoué la tête : « Non, ce n’est pas la peine, je me débrouillerai. »Il est entré dans la salle de bain avec les vêtements à changer et est sorti après dix minutes. Avec les gouttes d’eau sur ses cheveux, il avait l’air plus doux et sage.Yolaine l’a accompagné dans sa chambre en prenant sa main, elle a dit d’un ton doux : « Veux-tu que je te raconte des histoires ? »« Oui. »Léo lui a passé un livre.Les livres dans sa chambre étaient plus compliqués et plus profonds.Yolaine a commencé à lire en s’appuyant contre le dos de la chaise. Après qu’elle a

Il s’est approché d’eux et a coupé le souffle d’un d’eux en piétinant sur son cou.Son geste était violent et prompt, la personne avait l’impression qu’elle allait mourir, son visage a pâli.« Il me semble que la politesse n’arrive pas à ouvrir ta bouche. » a dit Enzo avec un rire froid sur le visage en mettant encore de la pression sur son cou.L’homme sous son pied était au bord de la perte de conscience. Il sentait que cet homme le tuerait vraiment s’il ne lui racontait pas la vérité.Il a commencé à parler de peur qu’elle perde sa vie ici.« C’est un mec portant le nom de Martin qui nous a envoyé ici ! Il lui a ordonné de voler les deux enfants de cette maison. »Un brin féroce est passé dans les yeux de Yolaine, « Quel est son prénom ? »L’homme par terre a répondu en secouant la tête : « On l’ignore. Il nous a promis un million d’euros et nous a donné trois jours. Je sais seulement qu’il n’est pas de Paris en jugeant de son accent. »Yolaine a compris. Ils ont été envoyés par la