Tous les chapitres de : Chapitre 841 - Chapitre 850

Lorsque Lucas a tendrement essuyé les larmes de Clara, mais a avoué ferment son amour envers Carine, Clara s’est sentie douloureuse intérieurement. Elle a dit d’une voix rauque : « Lucas, si Carina t’aime vraiment, je ne vous dérangerai pas certainement. Mais tu sais qu’elle t’a épousé en raison de la promesse qu’elle a faite à son grand-père, penses-tu que cela ait un sens pour toi de t’attacher seul à ce mariage ? Pourquoi ne pas se libérer de ce mariage nominal et laisser aussi Carina paisible ? » Après avoir dit cela, Clara n’a pas pu s’empêcher de sangloter et a demandé à Lucas : « Dans quel domaine suis-je inférieure à Carina ? Dis-le-moi, je vais essayer de me perfectionner et d’être aussi bonne que Carina. Ne sois pas si prompt à me rejeter, donne-moi une chance, d’accord ? »Lucas s’est levé et a secoué la tête : « Clara, tu ne comprends pas l’esprit d’un homme. Carina m’a donné une faveur, comme je t’ai donné une faveur, ce seul fait est suffisant pour que je reste aux côtés

En se souvenant de son passé, Lucas avait des sentiments compliqués.De tous les Jolivet, il n’y avait que deux personnes qui étaient vraiment gentilles envers lui : l’un était Ronaldo, qui était décédé et l’autre était Carina, sa propre femme. Et puisque Ronaldo avait quitté ce monde depuis longtemps, la seule personne restante dans toute la famille Jolivet qui était vraiment bonne pour lui était Carina.Voyant Carina debout sur le balcon à ce moment-là avec un air triste, Lucas s’est lentement approché du balcon et lui a dit : « Chérie, tu n’as pas à trop t’inquiéter, maman va certainement revenir saine et sauve. »Ce n’est qu’à ce moment-là que Carina s’est rendue compte que Lucas était entré, ainsi, elle s’est retournée pour lui jeter un coup d’œil, puis elle a dit d’un air un peu exaspéré : « Puisque tu ne te soucies pas vraiment d’elle, tu penses bien sûr qu’elle ira bien et même si elle rencontre un danger et est blessée, tu ne seras pas triste. »Lucas savait qu’elle était enco

Lorsque Carina a entendu que son père lui a demandé d’aller rencontrer son premier amour avec lui, Carina a refusé presque sans hésiter : « Non ! Je n’y vais pas. »Luc a écarté ses mains en disant : « Alors, n’empêche pas Lucas d’aller avec moi. Quoi qu’il arrive, l’un de vous deux doit m’accompagner. »Carina était furieuse et a demandé : « Déjeuner avec tes anciens camarades de classe et chercher ta femme, lequel est plus important ? Papa, ne sais-tu pas lequel est plus important ? »Luc s’est pressé de dire : « Bien sûr que je sais. Déjeuner avec ma connaissance est plus important. » « Tu... »Bien que Carina ait toujours été affable, elle était vraiment en colère à ce moment-là.Luc a dit avec un air indifférent : « Carina, je dois te faire savoir une chose. Tout le monde ne se soucie pas seulement de ta mère. Nous sommes quatre chez nous et ta mère et moi avons nos propres besoins. Tu peux prendre soin de ta mère, mais tu ne peux pas me forcer ou forcer Lucas à aussi nous préocc

Un peu après huit heures, Lucas a conduit sa voiture et est sorti de chez lui avec son beau-père, qui s’était habillé avec soin.Il y avait encore plus de deux heures avant que l’avion n’atterrisse, mais Luc était déjà un peu impatient. Après avoir quitté la Villa de Paradis, il s’est pressé de demander à Lucas : « Bon gendre, sais-tu où est la boutique de fleurs ? Je veux acheter un bouquet de roses. »Lucas a dit : « Papa, son fils sera aussi là, ce n’est pas approprié pour toi de lui offrir des roses devant son fils, n’est-ce pas ? »Luc y a pensé et a hoché la tête : « Tu as raison, alors je vais acheter un bouquet d’autres fleurs. »Lucas a alors dit : « Je connais un fleuriste, sa boutique n’est pas loin d’ici, allons d’abord acheter des fleurs. »Lorsqu’ils sont arrivés chez le fleuriste, Lucas a dépensé cinq cents euros pour acheter un bouquet de lys qui était un symbole de l’amitié, puis est retourné dans la voiture avec Luc.Luc tenait le bouquet de lys et était d’humeur exci

Paul parlait si bien le français que si l’on l’entendait parler avec les yeux fermés, on ne saurait pas qu’il était un Américain. Cela a surpris Lucas et ce dernier n’a pu s’empêcher de faire l’éloge en disant : « Je ne m’attendais pas à ce que tu puisses parler français si couramment. »Paul a souri modestement et a dit : « Merci de votre compliment ! »Sur le côté, Luc s’est pressé de dire : « Tiens, Méline, j’ai réservé une loge au Palais de Buckingham, allons d’abord manger ! Je vous régalerai pour vous souhaiter la bienvenue. »Méline a souri gentiment en disant : « Je suis si reconnaissant à vous deux. Non seulement vous êtes venus nous accueillir, mais vous allez aussi nous régaler. Merci sincèrement. » « Il n’y a pas de quoi. » Luc a souri honteusement et avait hâte de dire : « Nous sommes venus ici en voiture, montons dans notre voiture et allons-y directement ! »« D’accord. » Méline a hoché la tête, puis a dit à Paul : « Dis à ton chauffeur que nous ne prendrons pas la voit