Tous les chapitres de : Chapitre 991 - Chapitre 1000

En plus de Zoé, Madame Faucher, Constantin était la première personne qui avait proposé un verre à Lucas parce qu'il avait fait un don à l'orphelinat.Les autres avaient proposé un verre à Lucas, non pas parce à cause de son geste pour l'orphelinat, mais parce qu'ils ont découvert qu'il pourrait être un homme riche.C’étaient deux points de départ complètement différents : ceux qui avaient porté un toast à Lucas parce qu’il avait donné de l’argent à l'orphelinat étaient ceux qui s'intéressaient vraiment à l’orphelinat ; ceux qui avaient porté un toast à Lucas pour s’attirer ses faveurs étaient ceux qui tentaient de se lier d’amitié avec lui.Après tout, pour ces personnes, quelqu'un qui pouvait donner un million d’euros à un orphelinat en un clin d'œil devait être un gros bonnet.Lucas et Constantin ont pris un verre de vin et Constantin a soupiré du fond du cœur en disant : « Lucas, ça fait vraiment plaisir de voir que tu en es là où tu es aujourd'hui ! À l'époque, je pensais que tu

Si c'était il y a une demi-heure, tout le monde aurait pensé que Lucas se vantait, mais maintenant, tout le monde pensait que puisque Lucas l'avait dit, c'était probablement vrai.Lucas a souri légèrement à ce moment-là et a dit à Constantin : « Bien que je ne partage pas une longue amitié avec Porthos, nous sommes des connaissances après tout, et je crois qu'il me donnera du prestige après tout. »Sur ce, il a immédiatement sorti son téléphone portable, a trouvé le numéro de Porthos et l'a appelé directement.Quelques instants plus tard, quelqu’un a décroché.À l'autre bout du fil, Porthos a dit avec surprise : « Monsieur Lucas, pourquoi as-tu le temps de m'appeler ? »Lucas a souri légèrement et a répondu : « Monsieur Porthos, il y a longtemps que nous ne nous sommes pas vus. »Porthos s’est pressé de répondre : « Hein, je ne suis pas beaucoup allé à la Cité J ces derniers temps, sinon, je vous aurais salué en personne ! »Lucas a souri légèrement et a dit : « Monsieur Porthos, vo

Cette seule phrase a stupéfié toutes les personnes présentes.Deux millions d’euros par an ? En quoi était-ce différent d'un braquage de banque ?D'ailleurs, Lucas était-il vraiment si influent ? Avec un coup de fil, pourrait-il aider Constantin à toucher un salaire de deux millions par an ?Juste à ce moment-là, l'interlocuteur à l’autre bout du fil a dit en souriant au téléphone : « C'est Monsieur Porthos qui l'a fixé et, puisqu'il l'a fixé ainsi, il doit avoir ses raisons. D’ailleurs, je suis sûr que, selon Monsieur Porthos, le salaire n'était pas trop élevé. »Après avoir dit cela, l'autre partie a ajouté : « Monsieur Constantin, je vous verrai la semaine prochaine alors, voici mon numéro de téléphone portable, appelez-moi quand vous viendrez faire votre rapport, je vous recevrai ! »Après avoir dit cela, l'appelant a ensuite raccroché le téléphone.Constantin tenait le téléphone, il avait complètement perdu la tête.Lazare était tellement envieux et jaloux qu'il a demandé : « Co

Lucas a ri et a dit : « Tu ne sais pas clairement quel genre de personne est notre mère ? En tenant compte de son caractère, même si papa veut divorcer avec elle, j'ai peur que ce ne soit pas si facile. »Ayant été éclairée par les mots de Lucas, Carina s'est soudainement figée.Avec le caractère et la personnalité de sa mère, même si son père voulait divorcer, il lui serait difficile d'obtenir gain de cause.En pensant à cela, elle a soudain réalisé qu'il y avait des chances que Sylvie joue encore la comédie quand elle disait vouloir mourir.Donc, elle a poussé un soupir de soulagement.Dès que la BMW est arrivée dans la villa, on a entendu les jurons de Sylvie : « Luc, vieux salaud, après tout ce que j'ai subi et souffert pour toi, tu veux encore me demander le divorce. Tu es vraiment ingrat ! »Lucas et Carina sont sortis de la voiture et dès qu'ils ont franchi la porte, ils ont vu Sylvie debout dans le salon, en train de gronder, les cheveux ébouriffés.Comme les deux dents incis

Il était clair que Luc était vraiment désespéré à ce moment-là.Lorsque Sylvie a vu cela, sa position victorieuse est devenue encore plus évidente et elle a dit avec mépris : « Luc, tu es un homme, arrête de prendre un air pitoyable. Quoi ? Tu essaies d'obtenir la sympathie de notre fille ? Tu veux que je parle de tes aventures amoureuses devant ta fille ? »Sur ce, sans attendre la réponse de Luc, elle a ricané et a poursuivi : « Luc, tu étais un véritable tombeur à l’université à l'époque, et ta liaison avec Méline était connue de toute l’université. Mais même si tu avais une petite amie, tu entretenais encore des relations amoureuses avec d’autres filles. Et tu as fait l’amour avec moi, maintenant que je t’ai épousé, tu as le culot de dire que tu veux divorcer d’avec moi. Comment peux-tu être si effronté ? »Luc avait l'impression que son cœur s’était fait heurter par un train.À ce moment-là, il a réalisé qu'il ne serait probablement jamais capable de vaincre cette femme dans sa