Tous les chapitres de : Chapitre 1101 - Chapitre 1110

Il était onze heures à midi.Anna a été réveillée par la faim.Après s'être réveillée, elle a regardé la chambre vide et était un peu confuse.Elle avait mal à la tête et elle repensait à ce qui s'était passé hier soir, mais sa tête lui faisait trop mal, ce qui l'empêchait de se souvenir de quoi que ce soit.Elle s'est levée du lit et est sortie de la chambre.Dans le salon, Nina donnait du lait à Patrick.En la voyant sortir, Nina a immédiatement dit : « Anna, tu es réveillée ? Tu as mal à la tête ? Veux-tu prendre un analgésique ? »Elle a secoué la tête. Sa tête lui faisait mal, mais c'était acceptable.« Où est Rayan ? Pourquoi je ne le vois pas ? » Elle a regardé autour d'elle.Mais elle n'était pas aussi inquiète qu'hier, quand elle ne l'avait pas vu depuis un moment.Après tout, le mariage était terminé et la sécurité avait été renforcée, donc rien ne devait lui arriver à nouveau.« Il est sorti ce matin. Il a dit qu'il allait à la police. » Nina a dit : « Si tu t'inquiètes pour

« Anna, te souviens-tu de ce qui t'est arrivée hier soir après l’enivrement ? » Rayan a changé de sujet pour en aborder un plus léger.Son visage est devenu rouge aussitôt.« Nina me l'a dit, donc tu n'as plus besoin de me le souligner. »« Tu as dit hier soir que trois enfants ne suffisaient pas, que tu en voulais trente. » Il a regardé ses joues rougies et a ri légèrement. « Tu as dit que tu voulais vivre et donner naissance jusqu'à ce que tu sois vieille. J'ai dit que ce ne serait pas une truie. Puis… »Elle était très choquée par ses mots ridicules.« Et puis tu as commencé à apprendre à couiner comme un cochon. Et tu m'as demandé si tu couines vraiment comme un cochon. » Il n'a pas pu s'empêcher de dire. « La prochaine fois que tu te soûleras, j'enregistrerai tout pour toi. »« Tu ne vois pas que je ne me souviens de rien, alors tu commences à inventer des histoires ? Comment pourrais-je accepter d'avoir trente enfants ? Même si j'étais ivre, je ne dirais pas de telles bêtises. »

« Tu es sûr que tu ne vas pas à l'hôpital et fais ta visite médicale ? » Elle l'a regardé avec inquiétude.« Je vais bien. » Il savait l'état de son corps, c'était juste quelques blessures de chair.La raison pour laquelle il avait hurlé de douleur la nuit dernière était qu'elle l'avait excorié avec force.« Tu ferais mieux d'aller bien. Sinon, c'est toi qui souffres lorsque tu arriveras au pays R. Les conditions médicales y sont très mauvaises. » Elle n'a pas pu s'empêcher de continuer à remplir sa valise de médicaments tout en parlant.« Même si c'est un petit pays pauvre, il doit y avoir des gens riches là-bas. Tant qu'il y a des gens riches, il doit y avoir des conditions médicales correspondantes, même si c'est un hôpital privé, les blessures mineures ordinaires peuvent certainement être traitées. » Il a dit, en sortant la trousse médicale d'urgence de sa valise. « En apportant autant de médicaments, tu t'attends à ce que je tombe malade ? »Ses paroles l’ont acculée.« Apporte pl

Elle est entrée dans la pharmacie et a vu la silhouette familière se glisser dans les toilettes de la pharmacie.Elle a jeté un regard nerveux en arrière, se demandant si Rayan avait remarqué.Rayan l'attendait à l'entrée de la pharmacie. Après qu'elle se soit retournée, il est entré dans la pharmacie.Elle était inquiète soudainement, mais elle doit garder son sang-froid.Pour une raison quelconque, Elle avait peur que Rayan voie Adam.En dehors de ce que Rayan a dit, qu'il a dit qu'il voulait voir Adam mais qu'il avait en fait peur de le voir dans son cœur, elle a toujours pensé que lorsque les deux se rencontreraient, il y aurait inévitablement une bataille féroce.« Apporte-moi des médicaments pour soulager la douleur. J'ai aussi besoin de la povidone iodée. » Elle a parlé au vendeur après que Rayan s’est tenu à ses côtés.Les sourcils de Rayan se sont levés : « Acheter encore autant de médicaments ? »« J'essaie l’efficacité de la médecine de ce pays. » Un sourire s'est dessiné au

Elle a vu que, bien qu'il ait un sourire sur le visage, on pouvait entendre le chagrin et le mécontentement de son ton.Si elle n'avait pas envoyé de message à Adam, elle lui aurait sûrement donné son téléphone.« Je parle à Juliette. » Elle a trouvé une excuse apparemment raisonnable. « Elle a demandé si nous étions déjà arrivés, puis nous avons parlé de sujets plutôt sensibles. »« De sujets sensibles ? » Il a cru à son explication. Il était quand même curieux de savoir de quoi elles parlaient.« Le sujet entre les femmes. » Elle a répondu sèchement. « Quelque chose en rapport avec la préparation de la grossesse. Elle pense que j'ai eu trois enfants et que j'ai de l'expérience dans ce domaine, donc… Donc je ne veux pas te montrer mon téléphone. Au cas où elle demanderait quelque chose de plus personnel, comme c'est embarrassant ! »Il a hoché la tête, la comprenant et la respectant.Il a pris son propre téléphone et a appuyé sur le bouton de photo, voulant lui montrer ses talents de