Semua Bab Chronique de Tata: Je mérite tous les noms : Bab 11 - Bab 20

 🍁 C'est au fruit que l'on reconnaît l'arbre 🍁 Partie 12 Depuis la dernière fois, je sortais tout le temps en douce pour rejoindre Mohamed, il m'avait donné un petit téléphone qui servait juste à appeler et envoyer des messages. On se parlait tout le temps et on se voyait presque tous les jours.  Cela faisait deux mois que je me laissais aller dans cette vie et il y'a un mois de cela que j'ai commis un acte irréparable, que je commets toujours. Je l'aime vraiment mon Momo et je ne vois plus ma vie sans lui. La vie est tel

 🍁Quelque soit la durée de la nuit, le jour finira par apparaître🍁 Partie 14 Play ▶️ Mohamed avait réussi à se créer une amitié avec Amara, en un mois il a réussi, avec bien l'aide d'un ami en commun. On était en vacance et on n'avait pas encore essayé de nous parler via les deux maisons. On devait le faire aujourd'hui et j'appréhendais la réaction de Amara. Mohamed m'a envoyé un message disant qu'il était chez lui, donc je me suis faite d

Coucou ! Qui détient les secrets de la bonne éducation d'un enfant ? Personne. Certes beaucoup ne faillent pas mais d'autres si. Trop d'interdit tue l'interdit ! Ne dit-on pas que l'interdit attire ? L'enfant ne doit certainement pas être libre de faire tout ce qui lui chante mais il ne faut pas non plus lui priver du droit de découverte et quand je dis découverte il s'agit du droit de s'épanouir dans les normes du terme pendant son enfance. 

 🍁 Qui s'y frotte s'y pique 🍁 Elle se contente de me sourire et repart. Je me saisis de l'occasion et me lève pour partir avant qu'elle ne revienne. Partie 02 En franchissant le seuil de cette maison pour partir, je me suis dit pourquoi ne pas appeler Amir dans un premier temps ? Je n'avais pas mon téléphone avec moi mais je connaissais son numéro par cœur. Je me décide donc de retourner m'asseoir en attendant que la vieille sorte. Je regardais les enfants jouer, deux garçons et une fil

 🍁 On ne saurait faire boire un âne qui n'a pas soif 🍁 Partie 04 Moi : Ne be taa malitelda la djoli do ? (Je vais au malitelda c'est combien ?)Le taximan : C'est 2000 F.Moi : Ayi 1000 F.Le taximan : 1500 F.Moi : Eh taxitigui ?Le taximan : C'est loin aussi ma sœur.Moi : Ok, mais on s'arrête au grand marché pour au moins cinq minutes.Le taximan : Donc i be kèmè naani de saara. (Tu payes 2000 F)Moi : C'est bon, continue ton chemin, un autre taxi arrive.