Anna - Maman que se passe-t-il ? Qui sont ces hommes ? Je viens d'entrer chez moi et je vois ma mère par terre le visage en sang . Elle se fait ruer de coups par des hommes . Dès que j'entre je le fais attraper de part en part par deux hommes . L'un se tourne vers moi et me demande : - Qui êtes-vous ? - Je suis sa fille et vous qui êtes-vous et que faites vous dans ma maison . - Votre mère nous doit de l'argent et si elle ne paie pas aujourd'hui , elle mourra . Je le tourne vers ma mère :- Maman , dis-moi que c'est faux . Elle essaie de se relever mais l'un des hommes lui donne un coup de poing dans le ventre , elle s'écroule en criant :- Prenez-la , elle vaux plus que ce que je vous doit , votre patron pourra faire ce qu'il veut d'elle . Elle est tout à vous . - Mais , que dis-tu maman ? Es-tu devenue folle ? .Les cinq hommes me regardent maintenant , il faut que je fuis d'ici . Je ne peux pas y rester . J'essaye de me débarrasser des deux hommes mais ils m'ont attrapé ave
AnnaJ'écrase la larme qui coule sur ma joue . Et j'enlève ma chemise . Je suis en soutien-gorge et en pantalon . Il me désigne le pantalon : - Enlève le pantalon .Je lui lance un regard suppliant , pour qu'il me permette de ne pas continuer .- Dépêche-toi . Je regarde les deux hommes qui se lèchent les lèvres en me contemplant . J'imagine déjà leurs pensées impures et malsaines . J'ouvre mon pantalon et le fait descendre jusqu'à mes chevilles . - Tourne-toi , montre-moi tes fesses . En pleurant , je fais le tour sur moi pour qu'il puisse me regarder comme il le veut .- As-tu un copain ?- Non , monsieur .- Es-tu vierge ? Je ne réponds pas . - Veux-tu une autre claque ? - Non monsieur .- Alors ? - Je suis... vierge .- Peux-tu parler plus fort ? Je n'ai pas bien entendu .J'entends le rire grossier de ses hommes ! - Je suis vierge monsieur .- C'est très bien . Il se tourne vers ses employés et dit : - Appelez Giselle .- Bien monsieur . L'un des employés sort et l'
Anna Elle attend que je termine de m'habiller et elle me demande de la suivre , ce que je fais . Nous quittons ce couloir pour aller dans un autre plus luxueux . Des jeunes filles nous dépassent , elles portent uniquement des soutiens-gorges , et des strings , elles n'ont aucune honte . D'autres avec des objets en forme de pénis . Elles ont l'air si heureuses , et surtout sans complexes . Elles se promènent comme ça dans ce casino sans rien d'autre que ces lingeries . Nous arrivons dans le compartiment le plus luxueux de que j'ai vu jusqu'ici . Elle ouvre une porte avec une carte et le fait entrer . Je vois le monsieur de tout à l'heure avec une serviette autour de la hanche . Sans se retourner , il demande :- Qu'est-ce qui prend autant de temps ?- Elle n'avait pas encore fini . Mais elle est prête maintenant . Je vous laisse . Elle s'apprête à partir mais , je lui prends la main : - S'il te plaît , ne me laisse pas seule avec lui , je t'en prie .Le monsieur se retourne et no
Anna Je ferme les yeux , attendant le moment fatidique , je me rends compte qu'il tient mon bras , j'essaie de bouger mais mes bras sont emprisonnés par des menottes ! Qu'est-ce qu'il veut encore me faire ? Je le regarde les yeux interrogateurs . Mais , il ne dit pas . Je soulève la tête pour voir à quoi sont accrochés mes bras . Ils sont accrochés au montant du lit . Je les tire mais , ils sont très attachés . Il ouvre un tiroir et sort des choses que je ne connais pas . Mes yeux s'ouvrent grandement en voyant un objet qui ressemble à un fouet . Que va-t-il me faire ? Il soulève le foyer et je crie :- Monsieur ne me frappez pas , je n'ai rien fait , je ferai tout ce que vous voudrez ! Il écarte mes cuisses et les emprisonne avec des élastiques , les maintenant ouvertes . Il faut dire que le fouet n'est pas aussi grand que ça , je crois que c'est plutôt ma peur qui m'a fait crier aurait ! Je ferme les yeux pour ne pas voir venir le fouet . Je revois la premier coup en criant :-
Anna Je suis dans cette chambre et je cherche une douche pour me laver et enlever son odeur sur moi . Tout sur moi me fait penser à lui . Je revois encore ses yeux brillants dans cette chambre comme le diable ! Je me lève péniblement et après l'adrénaline , je n'ai plus de force . Je ne peux pas marcher . À quatre pattes , j'arrive devant cette porte , ça doit être la douche . Je me redresse et l'ouvre , j'y entre et je continue à quatre pattes , j'ouvre le robinet et m'assois juste en bas . Cette eau froide me fait du bien . Elle refroidit la chaleur qu'il y a dans mon corps . Je ne sais pas combien de temps j'ai passé dessous , mais je me relève et tire une serviette pour m' envelopper . Je me lève et je marche doucement pour aller dans cette chambre . Je me couche à ma place et je ferme les yeux . Le sommeil fini par venir me chercher , la fatigue a eu raison de moi .Le lendemain matin , on me réveille :- Anna , Anna , réveille-toi . Il est l'heure de manger .J'ouvre les yeux
Anna Je pousse un cri de surprise mais aussi de peur . Je regarde le corps de cette pauvre femme à mes côtés : elle est morte . Elle est morte Parce qu'elle voulait garder son enfant . Elle ne voulait pas se faire avorter . Pourquoi la vie est si injuste ? Pourquoi ? - Anna....Anna.... Anna ? On me secoue et je me rends compte que je suis sous le choc . Je ne bouge pas , je ne clique pas un œil ! Je me rends compte du monde dangereux . Un monde où on peut tuer aussi facilement ! Quel horreur ! Je me mets à pleurer car une famille vient de perdre son enfant . Une mère vient de perdre sa fille et sa petite fille . Quelle situation ? - Tu dois aller te nettoyer , tu as du sang Partout sur toi . Je regarde mes mains et mes bras , effectivement , j'ai des projections de sang sur moi . Mais , je ne m'en préoccupe pas , celle qui m'intéresse c'est celle qui est couchée près de moi . Celui qui vient de la tuer après avoir commis son méfait , il est reparti comme il était venu . Personne
Anna Elle me scrute été demande : - Veux-tu savoir quel âge j'ai n'est-ce pas ? - Je trouve que vous êtes bien jeune pour avoir déjà fait vingt ans dans ce métier . - Oui , j'ai commandé quand j'avais dix-huit ans . Elle maintenant j'ai trente-huit ans . Ma fille a dix-huit ans. - Donc , tu travaillais en étant enceinte ? - Bien sûr , tu ne peux pas imaginer ce que certains hommes veulent . Certains payaient le triple parce que j'étais enceinte de huit mois et il voulais coucher avec une femme enceinte car leurs femmes ne voulaient plus coucher avec eux car la grossesse les a trop fatiguées . Elle m'amène dans une pièce et me demande de me déshabiller et de m'installer sur la table . - Et toi tu n'étais pas fatiguée ? - Parfois non , parfois oui . On l'appelait surtout pour ce genre de clients . - Ho , je vois .- Oui , à sept mois , je me suis octroyée un repos bien mérité . Et je ne prenais que ce genre de personnes .- C'était difficile ?- Non , puisque je l'ai toujours
Anna Je n'arrive pas à lui parler , je n'arrive pas à lui parler . J'ai trop peur de lever les yeux vers lui . - As-tu perdu ta langue ? Regarde-moi quand je te parle ! Je lève la tête vers lui et nos regards se croisent . - Je t'écoute . - Monsieur , je voulais vous demander une faveur . Il éclate de rire quand je lui parle de faveur .- Tu veux une faveur ? Il se lève et vient vers moi , je commence à me sentir mal car il tourne autour de moi comme un requin blanc autour d'une humain . Il se trouve derrière moi , je sens son souffle au-dessus de ma tête . Je l'entends grogner dans mes cheveux :- Tu n'as pas pu me satisfaire comme il le fallait hier soir.....et.....ce matin tu t'amène pour me demander un service ? Penses-tu que je fais de là charité ici ? - Non monsieur . - Et pourquoi je te ferai une faveur ? Alors , à genoux , montre-moi ce que tu peux faire avec ta bouche .Il repart s'installer dans son fauteuil . - Déshabille-toi . - Monsieur ....- Ne me fait pas
La faucheuse Je la regarde, repoussant une mèche de cheveux de son visage. Ses yeux sont brillants d'une lueur sauvage, une étincelle de défi et d'envie qui me rappelle à quel point elle est captivante. Mon désir pour elle ne fait que grandir, se transformant en une énergie qui gronde sous ma peau comme un orage dans le ciel d’été."Tu es incroyable," dis-je d’une voix rauque, sentant ma dominance se raviver, comme une flamme dont le souffle du vent ne pourrait jamais éteindre l’ardeur. Je glisse mes mains le long de son corps, redécouvrant chaque courbe, chaque repli, comme si je cherchais à capturer chaque moment, chaque sensation.Mais ce que je ressens n'est pas simplement de la satisfaction ; c'est un appel à la conquête, une envie de marquer cette appartenance d'une manière plus profonde. L’idée de notre rapport m’enflamme d'une manière que je ne peux pas ignorer. "Encore," je murmure, ma voix empreinte de cette intonation féroce qui fait vibrer l’air autour de nous.Je l'attra
La faucheuse Je me demande alors où cela me mènera. Si je pourrais un jour échapper à l’emprise que je ressens ou si, au contraire, je serai pris au piège dans un enchevêtrement de sentiments et de choix que je n’ai même pas encore commencé à comprendre. Mais une chose est certaine, il n’y a plus de retour en arrière possible.L’atmosphère dans le bureau est électrique, chaude comme un four, saturée de désir et d’adrénaline. Je la regarde, et dans ses yeux, je vois un mélange d’intrigue et de défi, comme si elle attendait que je lâche les chevaux. Cette tension insupportable me pousse à agir, à crier ma possession de manière brutale.Sans prévenir, je l’attrape par les hanches et la fais glisser sur la surface lisse du bureau, ses yeux s'agrandissant de surprise mais aussi d'excitation. Son corps réagit à mon emprise, la chair contre le bois lustré créant un contraste irrésistible. Je suis submergé par un besoin de soumettre et d’explorer, un instinct bestial qui pousse chaque geste
La faucheuse Je sens le besoin de la dominer monter en moi, comme une marée implacable. L’obsession qui me ronge devient une pulsion que je ne peux plus ignorer. Anna a apporté avec elle un vent d’angoisse et de désir sur lequel je ne suis pas prêt à faire l'impasse. Ce besoin de contrôle s'est intensifié au fil des jours, une alchimie troublante entre dégoût et désir.Je me lève brusquement de ma chaise, le cuir grince sous ma pression. Mes pas raisonnent dans le silence pesant de mon bureau, et je me dirige vers la porte, la colère enflant comme le tumulte d’une tempête qui gronde à l’horizon. Anna est à moi, qu'elle le veuille ou non. Tout dans cette pensée résonne comme un écho douloureux, mais je sais que je ne peux pas résister à l’appel de cette tension.En sortant de mon bureau, je me fraye un chemin dans le casino. La lumière vive et les rires des joueurs contrastent avec l’obscurité de mes pensées. Je ne pense qu’à elle. Cette idée que quelqu'un d'autre pourrait toucher son
Louis ( la faucheuse)Je suis en haut et je la regarde se coller à cet homme. un homme , il m'embrasse , elle a l'air d'aimer son ba(i)ser . Après ce petit sport que je viens de faire , je voulais me taper l'une des filles , mais , seul son visage est apparu devant moi . Je n'aime pas qu'elle soit aussi à l'aise avec cet monsieur . Pourquoi suis-je aussi en colère ? Elle est une prostituée comme les autres , pourquoi je n'aime pas qu'il la touche ? Je me rends dans mon bureau . Elle va m'entendre . Je marche long en large dans mon bureau . Je suis agité , je n'aime pas cette obsession que je commence à avoir pour elle . Je suis là, dans mon bureau, mais je n'arrive pas à me concentrer. Le calme de la pièce, d'ordinaire apaisant, semble pesant. Je me tiens debout près de la fenêtre, observant la ville en contrebas. Les lumières clignotent, les ombres s’étendent, et dans ce dédale de rues, je me sens aussi perdu que dans mes propres pensées. Il est étrange de constater à quel point l
ANNA La soirée s’étendait devant moi comme un enchevêtrement de silhouettes, de murmures et de gestes calculés. L'air était lourd de parfum, d'alcool et de secrets. Les hommes parlaient bas, leurs voix se perdant dans le bruit de la musique qui glissait doucement dans la pièce. Les filles, comme des ombres, circulaient entre les tables, leurs visages figés dans des sourires parfaits, leurs corps langoureux et soignés. Moi aussi, je faisais partie de ce tableau silencieux, cette scène où il n’y avait pas de place pour l’émotion, où chaque geste était une performance.Je m’assis en face de l’homme blond, son regard déjà posé sur moi, comme un prédateur observant sa proie. Il n’avait rien d’exceptionnel à première vue, un simple homme en costume, mais il y avait quelque chose dans ses yeux, une froideur qui me mettait mal à l’aise. Peut-être était-ce sa manière de scruter chaque détail de mon visage, chaque mouvement de mon corps. Mais je commence à ne rien laisser paraître. À ne jamais
ANNA Je me levai lentement, mes yeux se fixant sur le miroir. Le reflet qui m’était renvoyé était celui d’une personne que je connaissais bien, mais que j'avais du mal à reconnaître aujourd'hui . Une version de moi-même que j'avais soigneusement créée avec l'aide de Gisèle pour ce monde. Mes cheveux étaient parfaitement coiffés, mon maquillage irréprochable. La robe que je portais épousait chaque courbe de mon corps. Tout devait être parfait. Parce qu'ici, rien n'était jamais simplement ce qu'il semblait être.Je m'assis devant la coiffeuse, mon regard s’attardant sur mes mains. Elles tremblaient légèrement. Ce sera la première fois que je me préparais pour une soirée comme celle-ci et aujourd'hui… aujourd'hui, je sentais une étrange appréhension m'envahir. Je devais rencontrer des clients ce soir, et même si cela faisait partie du rôle que je dois jouer , il y avait quelque chose de plus lourd dans l’air. Quelque chose que je n'arrivais pas à définir.Je repensai à ce que Gisèle m’a
LOUIS BERNARD ( LA FAUCHEUSE )Je regarde cette petite partie , son postérieur est bien rebondit comme je les aime . Son seul défaut est qu'elle est un peu courte . Sa poitrine est aussi parfaite . Elle pourrait entrer dans les tops dix , des femmes dont les formes me font de l'effet . Elle sera classée à la sixième place . Sa taille n'est pas en sa faveur , même si , la surplomber de ma taille me plaît beaucoup . Voir son air de biche effarouchée me donne un plaisir sexuel incommensurable . Ça m'excite de voir la peur dans ses yeux . Ça m'excite de la voir souffrir . C'est un régal pour mes yeux . C'est pour ça que j'aime les nouvelles femmes ici ! Elles sont dépaysées , apeurées et leurs chattes ont un goût unique . Putain , comme la vie est belle quand tu as du pouvoir et les femmes ! Avec ton argent tu peux tout acheter , tout ! Et c'est ce qui me plaît dans ce bordel . On te donne des êtres humains comme du bétail et comment voulez-vous qu'on les traite ? Comme du bétail , c'est
AnnaJe ferme les yeux et le fait qu'il jouisse ainsi en moi me donne un autre plaisir . Son dernier coup de rein me propulse dans un plaisir sans nom . Je jouis en le détestant encore plus . Il se retire brutalement de moi comme il est rentré . Il quitte derrière moi et il prend mon habit pour essuyer son sexe . Puis il le jette sur mon visage , il remonte son pantalon et il s'installe dans son fauteuil . Il me regarde droit dans les yeux pendant que je me redresse .- Maintenant , dis-moi le service que tu voulais me demander . Je me redresse et je cherche mes vêtements . - Tu vas t'arrêter et me répondre ! Je me redresse et je me tiens debout dans cette pièce nue , j'ai la tête baisée , je lui réponds :- Je voudrais avoir....la permission pour partir à l'école . Comme je travaillerai les nuits , je pourrais aller à l'école si vous me le permettez bien sûr . Il ne répond pas , il se lève et contourne son bureau , il vient s'asseoir à sa table en face de moi . - Tu veux alle
Anna Je n'arrive pas à lui parler , je n'arrive pas à lui parler . J'ai trop peur de lever les yeux vers lui . - As-tu perdu ta langue ? Regarde-moi quand je te parle ! Je lève la tête vers lui et nos regards se croisent . - Je t'écoute . - Monsieur , je voulais vous demander une faveur . Il éclate de rire quand je lui parle de faveur .- Tu veux une faveur ? Il se lève et vient vers moi , je commence à me sentir mal car il tourne autour de moi comme un requin blanc autour d'une humain . Il se trouve derrière moi , je sens son souffle au-dessus de ma tête . Je l'entends grogner dans mes cheveux :- Tu n'as pas pu me satisfaire comme il le fallait hier soir.....et.....ce matin tu t'amène pour me demander un service ? Penses-tu que je fais de là charité ici ? - Non monsieur . - Et pourquoi je te ferai une faveur ? Alors , à genoux , montre-moi ce que tu peux faire avec ta bouche .Il repart s'installer dans son fauteuil . - Déshabille-toi . - Monsieur ....- Ne me fait pas