- Attend, quoi ? ne me dit pas que tu t’es fait virer. Demanda-t-elle la bouche pleine- Du café oui. Mais de la boite non, cependant j’ai une semaine de congés. - Après t’avoir brulé et te violenté en public quoi, il te donne des jours de congés pour se faire pardonner ?- Ce n’est pas exactement ça.- Pourquoi j’ai l’impression que tu ne veux pas me dire ce qui s’est passé. - Ce n’était rien de spécial, ce Viktor machin truc à une dent contre moi et d’ailleurs, je ne sais pas pourquoi, depuis le premier jour, il s’attaque à moi, il m’avait chosifié la première fois qu’il m’avait vue, il est trop imbu de lui-même. Hier, il est arrivé au café et je l'ai servi comme d’habitude, il n’a pas pu s’empêcher de lancer des remarques dénigrantes et je n’ai pas pu me retenir, donc je lui ai répondu. Au bout d’un moment, il m’a fait venir pour débarrasser, cependant il avait du café à emporter, quand je nettoyais la table, il s’est levé brusquement avec son café et ça s’est renversé sur moi, il
- Juste quoi ? - Rien, laisse tomber, je vais porter ta robe ce soir, tu peux la mettre dans le panier. - Ce n’est pas une question de robe, tu viens de soulever un point qui apparemment te mine et je veux qu’on en parle ?- C’est réglé, je vais porter la robe- Le problème ce n’est pas la robe. Dit-elle et j’avais l’impression qu’elle commençait à s’énerver, je n’aimais pas la tournure que prenait les choses- Tout à l’heure, tu étais sur mon dos pour que je la porte, je dis ok, je vais la porter, maintenant ce n’est plus la robe le problème, il faut te fixer sur ce que tu veux s’il te plait- Tu fais juste semblant de ne pas comprendre, depuis un certain temps, j'ai de moins en moins l’impression de te connaitre, tu fais des cachoteries, tu veux changer pour devenir plus féminine et maintenant, tu commences à dénigrer ton corps et c’est quoi la suite ? - Je ne dénigre pas mon corps, je constate juste mes défauts- Tu as vingt-sept ans Very, et c’est aujourd’hui que tu sais que tu
Ici, c'était différent, il y avait toujours la musique bruyante, les gens ivres à souhait et les lumières aveuglantes, mais les gens ne sentaient pas la sueur. Il y avait comme des petits salons, ou chacun était assis avec sa bande, c’était plein à craquer, mais les espaces étaient individuels, il y avait aussi une piste de danse pour ceux qui voulait se mélanger. Il y avait une sorte d’étage, et l’entrée était gardée par des hommes de mains. Cet espace m’avait tout l’air de l’espace VIP. Par chance Olivia avait réussi à nous dégoter des pilules, sans même lui demander ce que c’était je me suis empressé d’en prendre une. Je prendrai la deuxième quand je serai un peu plus high. J’étais assise dans notre petit salon le regard rivé sur la piste ou Nesla et Olivia se déhanchaient comme s’il n’y avait pas de lendemain, en les voyants comme ça on pouvait facilement penser à des meilleures amies depuis toujours, pourtant elles se connaissaient depuis moins d’une semaine. Après mon deuxième v
C’était lui, c’était Sergey et il me regardait, on était bien trop loin pour que je me perde dans ses iris verts, mais je le savais, car je le sentais, je ne saurais comment vous l’expliquer, mais je savais que dans toute cette foule de corps chaud qui s’entremêlaient, se frottant les uns aux autres, il ne regardait que moi, et la sensation que ça me procurait était tout autre. Je le vis envoyé sa main dans sa poche avant de la sortir, je me demandais-ce qu’il pouvait bien être en train de faire quand j’y vis une petite lumière, c’était sans doute son portable, il l’avait dans la main me regardait toujours. Je n’eus pas à me poser plus de question sur son acte, car mon téléphone se mis à vibrer dans ma poche, quand je le sortis, je vis un message d’un numéro masqué. Je voulus ouvrir le message quand je me souvins que le mec de tout à l’heure était toujours collé contre moi, dévorant mon cou. Je le repoussai légèrement et aussitôt, il s’éloigna de moi les deux mains dans les airs.- Dé
- Je ne partirai pas sans avoir dit aurevoir à mon amie. - Vous n’aurez qu’à lui laisser un message. Monsieur n’est pas un homme très patient, si vous ne voulez pas me suivre sur le champ je vous métrais sur mon épaule devant tout le monde- Vous ne ferez rien de tel. Essayais-je de le défier- Vous voulez vérifier ? je le regardai et vis la détermination dans son regard, il me ramènera à son patron que je le veuille ou pas. Je regardai Nesla une dernière fois, mais celle-ci ne me remarqua même pas, trop absorbé.- Lâche-moi je peux marcher seul. Il ignora ma remarque et me raina vers l’extérieur comme un enfant. À la sortie du club, je vis Sergey, il marchait vers l’entrée, il ne nous avait pas encore aperçus, je pouvais voir le pli qui barrait son front. Quand le garde qui me tenait l’aperçu il se crispa, serrant involontairement ma main.- Monsieur, l’interpella le Garde, quand enfin il nous aperçut, son visage repris son air impassible passant de ma main à celle du garde, et auss
On arriva devant une autre porte Gardée par un seul garde cette fois-ci, il s’inclina légèrement devant Sergey avant de nous donner des masques pour que l’on enfile. Quand se fut fait, il ouvrit la porte et quand on y entra, il referma derrière nous et tous les sons des gémissements s’arrêtèrent d’un coup. Et moi aussi où est-ce qu’on était et où me menait-il ? quand il se rendit compte que je m’étais arrêté, il se retourna vers moi et je regardais son beau visage caché derrière ce masque hideux- Où est-ce qu’on est ?, lui demandais-je d’une petite voix- Dans un club libertin- Et que fait-on là ? - Tu es avec moi. Suis-moiJe n’ajoutai rien et repris sa main qu’il me tendait et marcha derrière lui, on ouvrit une porte qui donnait sur une grande salle. Les lumières étaient tamisées, il y avait des sortes de tables de deux d’autres de trois, la pièce n’était pas très grande du moins, je crois, car l’éclairage était trop faible. Sergey se dirigea vers une table de deux, il prit place
Par la suite, je sentis sa main sur ma cuisse et, la peau de celle-ci était tellement douce, lentement, mais surement, il la dirigea vers mon ancre qui se mit une fois de plus à battre d’excitation, j’avais besoin de ça, de lui, qu’il me touche de la façon qui l’arrangeait lui et moi de mon côté, je ferais tout pour n’émettre aucun bruit comme il l’avait demandé. Quand je sentis ses doigts experts décalés mon tanga, mon souffle se coupa dans un léger bruit à peine audible, et là, il arrêta net tout mouvement. Mon cœur se mit alors à battre à un rythme effréné, ma vue se brouilla il n’avait pas le droit de s’arrêter là, j’allais devenir folle s’il le faisait. Au bout de quelques minutes, il reprit ses mouvements. De son indexe, il tapotait mon ancre avec répétitions permettant à ses doigts de se frayer un chemin en moi, c’était légèrement douloureux, mais plus que ça, c'était bon.- Pourquoi tu es mouillée ainsi, « little one ». Sa voix, sainte divinité, je voulais répondre, mais je sav
Le nuage, c’était où j’avais l’impression d’être, sur un nuage, c’était tellement doux et confortable, en plus ça sentait le paradis. Devrais-je ouvrir les yeux ? j’étais tellement alaise que je ne voulais pas le faire, qui aurait envie de quitter le paradis. Là maintenant, je ressentis joseph le charpentier qui s'était invité dans mon crâne et cognais si fort son bois, comme s’il s’en foutait royalement que tout le monde autour de lui dormait. Obligé de quitter mon petit nuage, j’ouvris les yeux pour faire face à la réalité. Par chance les volets étaient tirés et la pièce baignait dans un éclairage sombre, je n’étais pas dans ma chambre, mais je n’avais pas la force de me poser des questions, ma tête faisait un ma de chien. Je me mis à pousser des légers gémissements de douleurs comme si j’allais pleurer. Ça m’apprendra à je ne sais pas quoi encore, mais ça m’apprendra. Juste à côté du lit, je vis un petit chariot avec un verre d’eau et des cachets,- Merci Nes, tu es la meilleure. N
Avec Monsieur les choses aussi se passaient bien, un peu trop bien d’ailleurs et surtout plus que ce que j’avais espéré. Sur le plan sexuel vous vous doutez bien que c’était l’apothéose, on avait exploré tellement d’aspect sur le sexe que je n’en comptais plus, chaque fois qu’il en avait envie, je me rendais disponible et chaque fois que j’en avais envie, il se rendait disponible, peu importe le lieu où le moment. C’était tellement récurant que je ne portais mes sous-vêtements que pendant mes périodes, car avec lui, on ne savait jamais quand est-ce que l’opportunité pouvait se présenter. Je ne sais pas dans quelle pièce de sa maison, on ne l’a pas fait, on a inauguré chaque meuble chaque surface, j’avais même déjà mes effets personnels chez lui de façon que je n’ai pas à me tracasser pour le travail si j’y passe la nuit. Je connaissais tous ses gardes et aussi la majeure partie de son entourage, il avait un cercle très réduit. J’avais appris qu’il était orphelin et fils unique, cepend
- Oh non les filles, ne vous arrêtez pas juste pour moi, continué, c'était très divertissant. - Papa !, c'était censé être une surprise, tu ne dois pas voir ton gâteau avant. Répondit sa fille en tapant du pied sur le sol.- Ne t’inquiète pas, je vois tout sauf le gâteau en ce moment. Et je t’avais dit que je ne voulais rien pour mon anniversaire, tu n’avais à déranger Avery, et… - Nes…la, je veux dire Nesla, je m’appelle Nesla. Enchanté monsieur, je suis Nesla. Répéta-t-elle pour la troisième fois sous mon regard ébahis, que lui arrivait-il tout d’un coup ? l’amie d’Avery, désolé de m’être invité ainsi chez vous, Avery m’a appelé à la rescousse quand votre fille à une panne de gâteau et...- Enchanté Nesla, je suis Stevenson, Lui coupa-t-elle. Et tu n’as pas à t’adresser à moi de façon si formelle, tu es là bien venue à la maison, il se racla la gorge avant de reprendre. Je veux dire, ça ne me dérange pas que tu sois là. Non plutôt ça fait plaisir… bref, je vais prendre ma douche,
- Ah !, c'est long ! tu ne peux pas faire plus vite ? demanda-t-elle d’une vois plus vive. Et surtout, tu peux venir avec ton amie ? ma future maman ? - Il faudrait d’abord que je réussisse à tirer cette larve du lit. Rigolais-je en regardant Nes toujours étalé dans le lit, cette fois-ci, elle était en étoile de mer. Une vraie calamité cette fille, je ne vous le fais pas dire.- Merci Ave, tu es mon sauveur, mon Messi. Je vais essayer de nettoyer la cuisine en attendant votre arrivée. - D’accord, Nes est un cordon bleu et elle adore cuisiner, donc je vais t’envoyer une liste de course que tu pourras commander pour gagner en temps.- D’accords merci, J’attends ton retour. Conclu-t-elle avant de raccrocher.Dans quel pétrin je m’étais fourré encore, je positionnai mes mains sur les hanches en regardant Nes, il était déjà dix heures pourtant elle dormait encore comme s’il était deux heures du matin. Je m’avançai vers le lit et décida d’opter pour la méthode douce. Alors, je pris délica
Viktor n'a plus rien dit du reste de la journée, et sa présence a refermé monsieur, il était redevenu le même qu'au début, on n'avait même pas encore quitté notre cocon que la bulle avait déjà éclaté. La journée avec nous et on a pris le jet ensemble pour rentrer sur NY, je n’ai fait que dormir durant tout le trajet et plus drôle encore, j’ai voyagé avec cette tenue qui me faisait ressembler à rien. À l’atterrissage, il y avait deux voitures, les deux frères sont partis ensemble dans une et l’autre étaient chargés de me ramener à la maison. Juste avant de se séparer monsieur m’a remis mon téléphone, chose que j’avais complètement oublié, j’avais vraiment vécu comme dans une sorte de bulles fermés, en vérifiant mes messages, je vis qu’un message avait été envoyé à Nesla « ton amie ne sera pas en mesure de te répondre dans les prochaines semaines, mais ne t’inquiètes pas, elle va bien » un message auquel elle avait répondu « d’accord monsieur ». J’ai ressenti un Léger pincement au cœur
Sans pouvoir me contrôler, je lui sautai dans les bras, j’étais heureuse, tellement heureuse, je n’avais jamais su que vivre était si bon. Surtout que c’était mil fois mieux qu’exister sinon je n’aurais pas perdu tout ce temps à n’être qu’une figurante de ma propre vie.Après avoir pris ma douche, je me rendis compte que ma valise n’était pas dans la garde-robe, monsieur ne m’avait pas dit de m’habiller, si ? peut-être, il voulait que je reste nu comme je le suis depuis notre arrivée à Londres. Alors sûr de cette idée, je sortis de la chambre marchant vers la terrasse, un moment, j'eus l’impression d’entendre des voix, mais je n’en fus pas sûr, car ce fut bref.- Monsieur, dis-je en me rapprochant de la terrasse, je tirai les volets et aussi tôt mes yeux tombèrent sur Viktor, un hoquet de surprise s’échappa de mes lèvres alors que lui ses yeux s’agrandissaient. Que faisait-il là et pourquoi me regardait-il comme ça ? monsieur qui me tournait le dos se retourna aussitôt et ses yeux s’a
Je suis réveillé depuis quelques minutes et je me demande ce qu’il peut bien être en train de faire, il n’est pas dans la pièce et je ne sais pas si je peux e lever du lit pour le chercher, la seule chose que j’ai le droit de faire sans avoir son accord, c'est respirer. Savez-vous le bonheur que ça procure d’appartenir à quelqu’un ? d’être guidé par lui ? ça nous retire la pression et le poids des responsabilités, beaucoup de gens prendrait ça comme une mauvaise chose, mais pour comprendre ce qu’il en est, il faut l’avoir vécu, et malheureusement des hommes comme Sergey ne sont pas à la portée de tout le monde. J’entendis des pas dans la pièce et je me mis à regarder attentivement l’entrée de la chambre, quand je le vis enfin un grand sourire pris possession de mon visage, il était vêtu d’une culotte en coton et d’un T-shirt. Je lui ai dit dernièrement que j’aimais ses jambes, et qu’il en avait de très belle, alors depuis un certain temps, je le vois plus en short, et j’aime ça. Je ne
- Entrouvres légèrement les lèvres, dit-il d’une voix gorgée de désir, et je me sentis frustré de ne pas avoir le plaisir de voir ses si beaux yeux désireux de ma personne. Je fis ce qu’il avait demandé et je sentis une boule toute douce se frayer son chemin dans ma bouche puis une légère pression le long de mes joues, il était sans doute en train d’attacher le bâillon. Quand se fut fait, je sentis mes mains tirées vers l’avant, et rencontré une surface dure. C’était sans doute le bois, puis par, je ne sais quel moyen mes bras se retrouvèrent maintenue par cette surface dure puis je ne sentis plus rien, on aurait dit qu’il était sorti de la pièce et j’étais là nu privé de ma vue mes mains étaient liées et je ne pouvais même pas crier pour l’appeler, mon cœur commença à battre à une vitesse folle puis je le sentis derrière moi, il était juste à mon entrée, me titillant avec son membre érigé, il se contentait de se frotter contre moi, mais moi, je le voulais à l’intérieur de moi.- C’es
- je voudrais toujours vous obéir monsieur, vous ne comprenez pas, jamais avant vous, je n’ai ne serait-ce que penser ou même songer à vouloir d’un homme, mais depuis que vous êtes entrée dans ma vie, je ne veux que vous, je ne vois d’ailleurs que vous et personne d’autre, alors peu importe ou cela nous mène tant du meilleur que du pire, je suis ravi de faire du chemin à vos cotées.- Tu es tout simplement parfaite, parfaite pour moi, comme si tu avais été crée exclusivement pour moi, c'est pourquoi tu n'as attendu que moi tout ce temps. - Juste pour vous monsieur.- Bien, tu vois là porte là ? je suivis des yeux son doigt qui m’indiquait une porte de velours et je fis oui de la tête. Tu vas retirer tous tes vêtements et relâcher tes cheveux, une fois que ce sera faite, je veux que tu pousses cette porte et que tu me retrouves à l’intérieur, on va essayer d’étancher cette faim de moi qui te torture depuis des jours. - Monsieur, gémis-je lamentablement alors que tout mon être s’enfla
- Va faire préparer ta valise. - Monsieur pardon si j’ai dit quelques choses de mal, dis-je en me mettant à genoux la peur au ventre, il voulait se débarrasser de moi, car j’étais devenue folle, mais je ne voulais pas, je ne pouvais pas être loin de lui, je veux pouvoir partager son espace. - Tu oses me désobéir. Demanda-t-il d’un ton dominant tout en me surplombant de sa taille, cet homme allait être ma perte au sens littéral du terme. - Non monsieur pardon. - Tu as deux minutes. Dit-il en tournant son dos me laissant là. - Préparé l’hélico, je suis à l’aérodrome dans trente minutes. Je l’entendis dire au loin. Alors que je rassemblai le peu de force qu’il me restait pour aller faire ma valise. Durant le trajet jusqu’à l’aérodrome personne n’a dit un mot, il avait la main posée sur ma cuisse et effectuait de petites caresses sur mes cuisses et moi, je regrettais d’avoir mis un Jean, j’aurais dû mettre une robe qui me permettrait de sentir son contact peau à peau. Une fois sur p