Rubis Après avoir mangé , il revient avec un désert . Il se balade nu , il sait qu'il est beau et qu'il a une bonne tige devant . Il est vraiment canon ! Je regarde sa belle queue qui se balance de gauche à droite . Il capte mon regard qui le regarde avec un sourire ironique . Il me rejoint dans le lit avec un chocolat bien frais . Il commence à l'étaler sur moi , il me lèche partout sur le corps . Mais , le chocolat ce n'est pas pour lui seul ! Et moi alors ? Il arrive entre mes cuisses et étale le chocolat sur ma chatte . Hum....sa langue me donne des frissons , il est si expert dans ce qu'il fait ! Merde.....oui...ne t'arrête pas , continue . Il me dévore la chatte , il est.... Hum..... merde ! Il monte jusqu'à ma poitrine , il continue d'étaler le chocolat dessus . Il la presse avec force . - Tu es délicieuse bébé . Il continue de me lécher . Il se redresse et se couche , il me demande de monter sur lui . Je regarde sa grosse queue qui demande à être comblée . Je me relève
Rubis Après la visite du chantier, je retourne au bureau, l’esprit encore rempli de l’immensité et de la perfection du projet que je viens de découvrir. Le contraste est saisissant avec l’atmosphère calme et ordonnée de ce lieu de travail, bien loin des bruits de machines et de l’agitation du chantier. Le bureau est en silence, à peine perturbé par le cliquetis des claviers et les chuchotements des quelques collègues présents. Annick est là, comme toujours, installée derrière son bureau avec son regard attentif et sa posture impeccable. Elle semble presque m’attendre, son sourire s’étirant dès que je fais mon entrée."Alors, cette visite ? Impressionnée ?" me demande-t-elle, sa voix à la fois douce et assurée, comme si elle savait déjà la réponse.Je m’assois en face d’elle, prenant un moment pour organiser mes pensées avant de répondre.- "C’est… immense," dis-je finalement, les mots paraissant bien insuffisants pour décrire ce que j’ai vu. "Tout est tellement… parfait. C’est diffi
Rubis Avant qu’Aziz n'arrive, j’avais décidé de passer un coup de fil. Il fallait que je parle à mon prince. Ce matin, en voyant Aziz discuter avec lui , j'avais senti un malaise dans l'air, une tension invisible mais palpable. Le ton qu'Aziz avait employé avec lui m'avait déstabilisée. Il avait été trop tranchant, trop direct. Il n’avait pas mesuré les implications de ses mots, et je le savais. Peut-être qu’il pensait agir avec fermeté, mais pour moi, il avait franchi une ligne. Le prince méritait du respect . J'avais pris une profonde inspiration avant de composer le numéro du prince. Le téléphone sonna plusieurs fois avant qu’il ne décroche. Je savais qu'il était occupé, que ses journées étaient souvent un enchaînement de décisions cruciales, de réunions stratégiques. Et pourtant, il avait pris le temps de répondre.— « Oui ? » Sa voix était calme, mais il y avait cette autorité tranquille qui la rendait instantanément imposante.Je m'éclaircis la gorge avant de parler, essayant
Rubis Je répondis d’une voix aussi calme que possible, bien que mon cœur battait plus fort que jamais. J’essayais de ne rien laisser transparaître. Chaque mouvement, chaque mot avait son importance. Mais je ne pouvais pas m’empêcher de me demander pourquoi, au fond, j’avais l’impression d’être un pion dans un jeu dont je ne comprenais pas encore les règles.Le dîner s’étirait, les conversations se mêlant dans une cacophonie feutrée, mais mon attention restait fixée sur les yeux d’Aziz, qui ne cessaient de glisser furtivement vers l’homme qui m’avait adressé la parole. Ce dernier, toujours souriant, continuait à me poser des questions, mais je sentais une tension croissante dans l’air, comme une corde tirée à l’extrême.Je ne pouvais m’empêcher de remarquer qu’Aziz semblait plus distant que d’habitude, les muscles de son visage tendus sous son masque impassible. Quand l’homme à ma gauche s’aventura à poser une autre question, Aziz se redressa légèrement dans son fauteuil, son regard d
Rubis Dans l’obscurité de l’habitacle de la voiture, après un long dîner qui avait pris une tournure inattendue, l’atmosphère demeurait encore chargée d’une tension palpably. Aziz, concentré sur la route, ses mains fermement ancrées sur le volant, semblait plongé dans ses pensées. Je pouvais l’entendre respirer profondément, comme s’il tentait de se défaire de l’impact de notre récente confrontation.Le feu des phares illuminait sporadiquement l’intérieur de la voiture, projetant des ombres qui dansaient sur son visage marqué par une détermination intense. Chaque seconde passait lentement. Je me sentais tiraillée entre l’envie de briser ce silence et le besoin de m’excuser pour la tension qui s’était installée autour de nous. Mais quelque chose en moi voulait autre chose, une curiosité insatiable à comprendre les profondeurs obscures de la possessivité d’Aziz.— « Ça va ? » lui demandai-je finalement, brisant le silence.Sa réponse fut rapide, presque brute. — « Oui. »Son ton laissa
Rubis Je tournai lentement la tête vers lui, mes yeux se heurtant aux siens , il est magnifique ! Il est si beau ! Ses yeux qui brillent de mille feux étaient sombres, presque noirs, remplis d'une intensité que je n’avais jamais vue. Son regard avait cette capacité de me faire perdre pied, de me rendre vulnérable sans que j’en comprenne vraiment les raisons. Et pourtant, dans ce regard, il y avait aussi une tendresse dissimulée sous la surface de ce désir brûlant.Un frisson traversa mon corps, mes mains se crispèrent sur mes genoux, et je baissai les yeux, tentant de dissimuler la confusion qui m’envahissait.- "Je... je ne sais pas ce que tu veux dire," répondis-je d’une voix plus faible que je ne l'avais imaginé.Il sourit, un sourire en coin, comme s’il savait déjà.- "Tu sais très bien ce que je veux dire," dit-il d’un ton un peu plus ferme, sa voix se faisant plus assurée, comme s’il tentait de briser cette dernière barrière entre nous. "Il y a quelque chose ici... quelque cho
Rubis Je le regarde qui me regarde . Je sais qu'il n'aime pas que j'ai raison .Je savais qu’il allait protester, insister peut-être, mais au fond de moi, j’étais certaine de ma décision. Ce n’était pas qu’il me repoussait, bien au contraire, il me troublait plus que je ne l’aurais voulu. Mais ce soir, je voulais de la solitude, de l’espace pour m’adapter à ce changement. La fatigue mentale et physique m’envahissait, et l'idée de le laisser entrer dans cet espace si intime, celui de cette nouvelle maison, me semblait trop brusque.Aziz sembla attendre, mais il ne répondit pas tout de suite. Il garda le silence un moment, comme s’il pesait mes mots, cherchant une réaction, une réponse différente. Mais je savais qu’il percevait ma sincérité. Je pouvais voir le léger froncement de ses sourcils, ce petit mouvement imperceptible qui trahissait sa déception. Il aurait aimé que ce moment soit autre chose. Il aurait aimé me convaincre, me persuader de l’accepter. Mais il ne pouvait pas force
Rubis Je me réveille avec beaucoup de lenteur , hum j'ai passé une bonne nuit plein de sommeil et de bon rêve . Comment ne pas rêver dans un lit pareil ! Tout est si doux ! J'avais vraiment besoin d'une nuit de sommeil ! Ça m'a fait du bien . Ce matin je vais prendre soin de moi . Je vais prendre un moment de bien-être et de ressourcement avec Annick, ma fidèle amie, qui avait cette capacité à comprendre mes silences . Je l'appelle : - Alors comment vas-tu ? - Je vais bien et toi ? - Oui , j'ai bien dormi , maintenant je vais paresser au lit et plus tard je viens te chercher pour aller au spa .- Il n'y a pas de problème si c'est toi qui paye . - C'est toujours moi qui vais payer . Y a-t-il des nouvelles au boulot ? - Non , tout va bien .- D'accord , je viens te chercher plus tard . Nous avions choisi de passer l’après-midi dans un spa, un lieu loin de la frénésie du quotidien, où l’on pouvait se laisser envelopper par la chaleur et la quiétude. Le spa, sera un peu notre écha
RubisLes jours se suivent et se ressemblent, mais chaque matin semble désormais différent. Le monde autour de moi a changé, tout comme ma perception de ce dernier. L’idée que je porte un enfant, notre enfant, semble m’habiter à chaque instant. Cette pensée douce et bouleversante me poursuit à chaque mouvement, à chaque battement de mon cœur. La vie, celle que je vais offrir à ce petit être, semble fragile et précieuse, comme un fil suspendu dans le vide, mais rempli d’un potentiel immense.Le ventre commence à se voir, à se dessiner lentement, et chaque matin, je pose mes mains dessus, comme une promesse silencieuse à cet enfant. Aziz est plus que présent, plus que jamais. Il veille sur moi comme un protecteur, mais aussi comme un homme qui a trouvé sa place. Ses yeux brillent d’une lueur différente, d’une douceur nouvelle, et je vois dans son regard qu’il est déjà tombé amoureux de ce bébé, avant même qu’il ne soit là.Il n’y a pas un jour où il ne m’adresse un sourire plein de tend
RubisLes mois ont passé en un éclair. Chaque jour passé à ses côtés semble être une éternité, mais une éternité douce et pleine de sens. Aziz et moi avons créé notre propre monde, un monde où l’amour et la complicité sont plus forts que tout le reste. Le chaos qui m’entourait avant semble s’éloigner, comme un lointain souvenir que je tente de ne plus revoir. Nous avons trouvé une certaine paix ensemble, une tranquillité fragile, mais sincère.Aujourd’hui, la maison semble plus lumineuse que jamais. Les rayons du soleil filtrent à travers les rideaux, illuminant chaque coin de la pièce, et je me sens… bien. Plus que bien, en réalité. C’est comme si une énergie nouvelle envahissait chaque cellule de mon corps, une chaleur douce et rassurante qui ne fait qu’augmenter au fil des jours. J’ai l’impression de renaître, de trouver une version de moi que j’avais oubliée.Je suis assise sur le canapé, une tasse de thé fumant entre les mains, mes pensées vagabondant. Aziz est dans la cuisine, s
RubisLe matin se lève lentement, apportant une lumière douce et chaude à travers les rideaux. Je me réveille dans le silence de la maison, mais un silence différent de celui de la veille. Ce matin, il n’y a pas ce malaise, cette lourdeur qui pesait sur mes épaules. Non, aujourd'hui il y a cette chaleur, cette douceur étrange qui m'envahit depuis que Aziz est rentré. Ses bras autour de moi, sa présence constante… Il est là, à chaque instant, et chaque seconde passée avec lui est comme une promesse silencieuse, une promesse de réconfort et de passion.Je me tourne lentement vers lui, le voyant allongé à côté de moi, sa respiration calme. Son visage est serein, comme s’il ne se souciait de rien. Il est si différent de tout ce que j’ai connu, et pourtant, il m’attire d’une manière que je ne peux pas expliquer. Tout ce que j’ai fait, tout ce que j’ai traversé, m’a conduite à lui. C’est comme si, dans ce chaos, dans cette guerre secrète, il était le seul à apporter un peu de clarté.J’effl
RubisIl me regarde longtemps, son regard perçant, comme s’il voulait déchiffrer les mystères de mon âme. Mais il se contente de hocher la tête et se tourne vers la télévision. Peut-être qu’il n’a rien vu, ou peut-être qu’il fait semblant. Je ne le sais pas, et je n’ai pas envie de le savoir.Je me sens à la fois perdue et piégée. Tout ce que je voulais, c’était sauver Prince, mais voilà que je suis en train de me perdre moi-même.Le silence dans la maison est assourdissant. Je suis assise dans le salon, fixant le téléphone posé devant moi. La lumière tamisée de la pièce éclaire faiblement mon visage. Les pensées tournent, vides, en boucle. Chaque bruit semble plus intense que le précédent, chaque mouvement plus lourd. Je n’arrive pas à me débarrasser de cette sensation étrange, ce malaise persistant qui me ronge de l’intérieur.Peu après mon arrivée à la maison, Aziz est allé se coucher, et je suis restée là, seule avec mes pensées. Mon esprit ne peut s’empêcher de ressasser tout ce
RubisLe trajet de retour est une épreuve silencieuse. La route défile devant moi, chaque mètre qui me sépare de chez moi me pèse un peu plus. Le silence dans la voiture est lourd, presque oppressant, et je n’arrive pas à calmer l’agitation qui m’envahit. Tout ce que je viens de faire, ce que je viens de risquer, semble me rattraper, mais il n’y a plus de retour en arrière. Le rituel a eu lieu, la poudre a fait son effet, mais tout ce que je ressens, c’est un vertige de culpabilité et de doute. Ai-je fait le bon choix ? Est-ce que cela suffira pour sauver Prince, ou l’ai-je poussé plus loin encore dans la folie ?Je ferme les yeux un instant, cherchant à trouver un peu de calme, mais c'est impossible. Dans ma tête, tout est un tourbillon. La conversation avec le marabout, l’odeur de la poudre, le moment où j’ai vu Prince manger le repas. C’était comme si le monde s'était suspendu, et maintenant que je suis en route vers la maison, tout reprend son cours, mais pas de la façon dont je l
RubisLa nuit tombe doucement sur la ville, et tout autour de moi, le silence s’épaissit, lourd de promesses non dites. J’ai pris une décision, une décision qui scellera peut-être le destin de Prince. Je dois le voir ce soir. Tout ce que je veux, c’est l’aider. Mais l'angoisse se mêle à la détermination. Je n'ai pas le droit à l'erreur. Si cette poudre ne fonctionne pas, si tout cela échoue, alors je risque de perdre Prince à tout jamais. Ou pire encore, je pourrais le pousser plus loin dans la folie.J’ai fixé le rendez-vous dans son ancienne villa, un lieu où il se sentait chez lui, un lieu où il avait encore un semblant de contrôle. Peut-être qu’en retrouvant cet endroit, il se sentira plus calme, plus apaisé. Peut-être que la présence de cet espace familier l’aidera à accepter ce que je vais faire pour lui. Ce soir, tout doit changer.Je suis dans la voiture, les phares éclairant la route déserte, la ville s’éloignant derrière moi. Je me sens nerveuse, mais en même temps, une part
RubisLa tension dans l’air est palpable, un poids lourd qui pèse sur ma poitrine, alors que je me tiens face à Ladji. Les rues autour de moi sont animées, mais tout semble flou, comme si le monde tournait autour de moi et que j’étais piégée dans une bulle, perdue dans mes pensées. Chaque seconde qui passe me rapproche davantage de la décision que je vais devoir prendre, et je sais que c’est désormais une question de vie ou de mort. Prince… si je n’agis pas maintenant, je vais le perdre.Ladji est un homme que j’ai appris à connaître, un homme qui voit des choses que beaucoup d’autres ne perçoivent pas. Sa sagesse m’a souvent guidée, mais aujourd’hui, je suis venue pour une décision qu’il devra prendre, une décision qui ne pourra pas attendre. Je n’ai pas le temps de discuter des subtilités. Ce que je lui demande est risqué, et je sens son regard scrutateur posé sur moi, pesant chacun de mes mots.Je me tiens face à lui, le regard déterminé, mes mains serrées autour de ma veste, comme
RubisLes nouvelles concernant Daniel tourbillonnent dans mon esprit comme des vagues déchaînées, et plus j’y pense, plus l’angoisse m’envahit. J’ai l’impression que le monde autour de moi se fissure lentement. Ce n’était pas qu’une simple coïncidence : Daniel est devenu fou, et il n’était pas le seul. Ce qu’il a vécu en prison a brisé ce qui restait de sa raison, et je sais qu'il y a une part de cela que j’ai contribué à nourrir.La culpabilité me ronge. J’ai observé Daniel se perdre, l’avoir poussé à bout, et je savais au fond de moi que ce n’était pas un simple accident. Nos actions, nos décisions, tout ce qui s'est passé a mené à ce point. Et maintenant, je me dis que si je n’agis pas rapidement, Prince pourrait aussi sombrer dans cette même folie.Je me rappelle que j'ai arrêté de coucher avec Prince, mais est-ce que cela suffit pour le protéger de ce qui pourrait se produire si je ne fais rien ? L'idée qu'il suive le même chemin que Daniel m'envahit et me glace le sang. Je dois
RubisLe ciel est d'un bleu profond, presque irréel, tandis que je regarde la mer depuis le balcon. Le vent est doux aujourd'hui, et pourtant, une étrange tension flotte dans l'air. Aziz est silencieux, absorbé par ses pensées, mais je sens qu'il attend quelque chose. Il ne dit rien, mais je connais assez bien son regard pour savoir qu'il y a quelque chose qu'il ne m'a pas encore dit.Le téléphone de la table vibre soudainement, me tirant de mes pensées. Je le saisis d'un geste lent, le cœur battant plus fort. C'est un message de mon avocat. Un simple texte, mais une sensation glacée me traverse.« Rubis, il faut que vous veniez au bureau. Une nouvelle inquiétante concernant Daniel. »Un frisson parcourt ma colonne vertébrale, et je me tourne immédiatement vers Aziz. Il a remarqué ma réaction, et il se lève précipitamment, ses yeux fixés sur le téléphone dans mes mains.— Qu’est-ce qu’il y a ? demande-t-il d’une voix calme, mais le ton ne masque pas la tension qui y est cachée.Je lis