Deux jours plus tard, la CIA reçoit une alerte : trois cadavres découverts dans une maison abandonnée. Kenneth fait appel à Victoria et Raymond. Il les envoie sur les lieux pour enquêter et recueillir des renseignements supplémentaires que la police détenait. Victoria et Raymond se rendent sur les lieux, un périmètre de sécurité a déjà été établi par la police. Raymond effectue le tour du propriétaire tandis que Victoria examine les corps. Elle appelle Raymond pour lui faire part de son observation.
Raymond : « tu as trouvé quelque chose ? »
Victoria : « je crois que ces gars sont impliqués dans la disparition d'Aoda »
Raymond : « comment le sais-tu ? »
Victoria : « il y a eu un affrontement ici. Regarde, il n'y a qu'une seule douille par terre.
Deux douillettes à l'extérieur, aucun impact de balle sur le mur ou la porte »
Raymond : « des échanges de tirs à l'extérieur… »
Victoria : « oui, et une exécution à l'intérieur peut-être »
Victoria regarde tout autour de la pièce. Raymond se rend à l'extérieur, puis rejoint sa coéquipière à l'intérieur. Victoria réussit à reconstituer une partie de la scène.
Raymond : « tu avais raison pour les balles à l'extérieur, mais ça ressemble à des munitions de sniper »
Victoria : « d'accord, Aoda a dû être attachée ici et suspendue au plafond. Regarde, lorsqu'on déplace cette grosse planche pleine de clous, on se rend facilement compte que le prisonnier n'avait pas intérêt à bouger imprudemment »
Raymond : « les criminels ont vraiment un problème avec la vie. Et maintenant, où sont-ils allés ? Où l'ont-ils emmené ? »
Victoria : « il faut d'abord trouver de quelle arme provient la balle de la pièce. Celles de l'extérieur ne sont certainement pas du même tireur »
Raymond : « je vais les ramasser, on le saura une fois au poste »
Aoda est constamment torturée par la jeune asiatique depuis deux jours. Il ne sait ni pourquoi il est là, ni comment il a fait pour se retrouver dans cette situation. Le troisième jour, le mystérieux criminel entre dans la pièce où Aoda est torturé. A la vue de son tortionnaire, Aoda ouvre grand les yeux comme s'il le connaît.
??? : « Je te salue, Aoda. Tu m'excuseras pour le traitement que tu es en train de subir. Mais il faut que tu saches que je ne suis pas en train de rigoler. J'ai besoin d'informations et je sais que tu les détiens »
Aoda (sourit) : « John Dillinger… le plus grand gangster de l'histoire ! Finalement, à défaut de retrouver ta trace, tu as retrouvé la mienne »
John Dillinger : « tu me connais donc ! Tu dois savoir également ce que je souhaite que tu me donnes n'est-il pas ? »
Aoda : « pas le moins du monde. Tu veux quoi, au fait ? »
La jeune asiatique frappe Aoda. Ce dernier se met à rire aux éclats. John Dillinger dégaine son arme et l'utilise pour menacer Aoda.
Aoda : « oh ! Je t'en prie, tire et qu'on en finisse »
John Dillinger : « où est la liste des Criminal Kings ? »
Aoda : « tu es dans cette liste, il me semble »
John Dillinger : « oui je le sais, le plus grand braqueur de banques de la planète. Le problème c'est que cette liste ne détient pas que nos noms, c'est bien plus que ça. Je ne suis pas le seul à être à tes trousses mais au moins je n'ai pas kidnappé ta sœur comme l'autre type »
Aoda (change de mine) : « qu'est-il arrivé à cette âme innocente que vous avez décidée de détruire ? »
John Dillinger (se rapproche d'Aoda) : « j'ai tué son ravisseur, mais elle n'était pas avec lui quand on t'a récupéré. Le problème, c'est que je ne sais pas ce qu'elle a pu devenir maintenant, une criminelle, une prostituée … »
Aoda perd le contrôle et donne un coup de tête à John Dillinger, la jeune asiatique se
précipite sur lui, mais Aoda lui donne un coup pied au ventre et d'un geste acrobatique, casse la chaise sur laquelle il est attaché sur le dos de la jeune femme. John Dillinger dégaine le revolver et le pointe sur Aoda.
Dillinger : « tu te calmes maintenant »
Aoda : « ou sinon tu feras quoi ? »
Dillinger (sourit) : « je pense que tu te crois vraiment trop intouchable, je vais t'expliquer quelque chose ; tu es recherché mort ou vif. Les autres membres influents de la pègre voudront te tuer pour enterrer à jamais leur secret ou te capturer vivant pour jouir d'un certain pouvoir que tes informations ultra importantes leur apporteront vis-à-vis des autres. Alors, je te laisse choisir pour moi »
Aoda : « je dois avouer que tu me connais mieux que moi-même »
Dillinger : « arrête de la jouer version amnésique. Tu es tout le contraire et bien plus encore »
Aoda : « je t'écoute. Que veux-tu savoir ? »
Dillinger : « à la bonne heure ! Qu'es-tu prêt à me donner comme infos »
Aoda : « ce que tu voudras, mais sur une seule personne de cette liste »
Dillinger : « ah d'accord. Donc je dois bien réfléchir à celui dont je veux connaîtrel'histoire. Mais je peux toujours te remettre à la police ou à la CIA »
Aoda : « tu as besoin de moi, alors ne te leurre pas que tu pourras me remettre où que ce soit. En fait, vous, les Kings, avez aussi des pions infiltrés dans les hauts-lieux. Donc je ne crains pas de me retrouver à la police ou à la CIA. Pourquoi n'as-tu pas mentionné le FBI ? Tu as des taupes à la CIA et à la police parce que tu pourras facilement me contrôler, mais pas au FBI »
Dillinger : « hum… je veux tout ce que tu sais sur Nick Asbury »
Aoda : « Ah ! Donc j'ai raison. d'abord, ce n'est pas son vrai nom »
Dillinger : « quoi ? Et c'est quoi son vrai nom ? »
Soudain, des coups de feu retiennent à l'extérieur. Dillinger se dirige vers l'extérieur, Aoda fouille le corps de la jeune asiatique et lui prend son couteau. Dillinger retrouve son homme de main abattu. Il se retrouve face à trois hommes lourdement armés qui font feu immédiatement sur lui, il a juste le temps de se mettre à l'abri avant de riposter. Aoda le rejoint.
Les trois hommes se rapprochent implacablement, leurs armes à la main. Dillinger retire la goupille de sa grenade et la lance dans leur direction. Une explosion se déclenche, deux des trois hommes sont tués. Le chef de la bande entre en scène avec une mitrailleuse. Dillinger et Aoda restent planqués.
??? : « Dillinger ! Sors de là et remet-moi Aoda »Dillinger : « ah bon ? Sûrement pas »??? : « Je ne me répéterai pas »Dillinger : « qui le demande ? C'est avec son demandeur que je passerai un marché »??? : « Al »Aoda : « Al comme Al Capone ? »??? : « Exactement, mon soldat vient vous chercher, monsieur Aoda. Vous êtes sollicité par mon employeur »Le troisième soldat, encore en vie, se rapproche de la planque, Aoda se lève et met ses mains en évidence. Une fois près du soldat, il sort son couteau et l'égorge puis il l'utilise comme un bouclier humain tout en pointant son arme sur le chef de la bande. Ce dernier se met à l'abri.??? : « Vous commettez une grave erreur, monsieur Aoda »Aoda : « vous croyez ? »Dill
Kenneth conduit Victoria vers les deux autres membres avec lesquels elle faisait équipe, Gareth Madrid et Tori Tokyo.Kenneth : « vous deux, je vous charge d'enquêter sur cette affaire avec l'agent Munich. Il semblerait que John Dillinger soit de retour en ville. Je ne sais pas pourquoi, mais ça a quelque chose à voir avec Aoda »Gareth : « que sait-on de leur relation ? »Victoria : « Dillinger a capturé Aoda après que celui-ci ait été enlevé par Glenn. Aoda a réussi à s'échapper ou alors ils ont dû faire face à un autre ennemi. Aoda n'a pas eu le temps de me parler davantage »Tori : « pourquoi ça ? Il a été tué, lui aussi ? »Victoria : « non, il a réussi à fuir »Gareth : « vous voulez me dire qu'Aoda est devenu votre indic ? Ou bien vou
John Dillinger arrive à destination avec son acolyte, la jeune asiatique. Ne sachant comment faire pour savoir quel bateau appréhender, Victoria se souvient du numéro qu'Aoda a utilisé pour l'appeler. Elle l'utilise pour passer un coup de fil à son tour. Le téléphone sonne à la grande surprise d'Aoda, il regarde l'écran et reconnaît le numéro de l'agent Munich. L'un des gardes pointe son arme sur lui immédiatement.Garde : « qui t'appelle ? »Aoda : « mec, me tuer serait une grosse erreur »Garde (haussant la voix) : « qui t'appelle ? »Aoda : « c'est la jeune femme qui accompagne Dillinger. Son patron trouve qu'on met trop de temps pour arriver sûrement. Et si je ne réponds pas, vous n'aurez plus personne pour prendre toutes ces armes »Garde : « tu étais censé apporter l'argent, mais tu es pourtant venu les mains vides »Aoda : « si je décroche, votre argent, vous l'aurez à destination. Je suis juste là pour veiller à ce que la bonne marchandise soit livrée à Dillinger »Garde : « d
Les gardes décident de se défendre face aux forces de l'ordre, ce qui déclenche aussitôt une fusillade. Victoria parvient à tuer une garde en lui mettant une balle dans la tête. Gareth réussit, lui aussi à en tuer un en lui mettant deux balles dans la poitrine.Pendant ce temps, le bateau s'éloigne du quai, piloté par Dillinger. Aoda se glisse discrètement dans la pièce dans laquelle se trouvent les caisses d'armes, il ouvre l'une d'elles, prend une arme et la jette à l'eau. Puis, il remonte près de la jeune asiatique et de Dillinger. S'agissant de la fusillade, le bilan est lourd côté malfrat, il n'en reste que trois. Ils décident finalement de se rendre. Gareth arrive près du quai, mais le bateau est déjà assez loin. Il appelle Kenneth pendant que Victoria récupère la mallette pleine de billets de banque. De son côté, le bateau du consul est sur le point d'accoster sur le quai suivant.Gareth : « chef ! Nous avons réussi à arrêter les vendeurs, certains ont été abattus pendant la fu
Gareth et Tori sont surpris par le talent de Victoria, mais aussi par sa capacité de mémorisation.Gareth : « c'est joli comme portrait. Cette femme ne vous ressemble pas. Qui est-ce ? »Victoria : « sur le saura très vite »Victoria se lève et prend son bout de papier pour aller à la cellule informatique. Gareth lui touche l'épaule. Elle s'arrête mais ne se retourne pas pour faire face à son collègue.Gareth : « j'espère que vous savez ce que vous faites »Victoria (dégageant son épaule) : « si vous vouliez tant le savoir, vous n'aviez qu'à venir me demander au lieu de jouer les balances »Après avoir dit cela, elle va à la cellule informatique et soumet son dessin pour une reconnaissance faciale. Les membres de la cellule consultent la base de données de la CIA. Au même moment, Gareth reçoit le rapport des plongeurs, ainsi que l'arme qu'ils ont trouvée. Il en parle à Tori.Tori : « alors, les plongeurs ont trouvé quelque chose ? »Gareth (pose l'arme sur la table et tient le rapport
Victoria : « quoi ? Dillinger connaît celui qui vous a envoyés ? »Garde 3 : « oui madame »Gareth (à Victoria) : « qu'est-ce qu'il ya ? »Victoria (à Gareth) : « suis-moi »Victoria sort de la salle, suivie de Gareth.Gareth : « un problème ? »
À ce moment-là, les sirènes de la police se fait entendre à l'extérieur du bâtiment.Dillinger (à Aoda) : « mince ! Comment va-t-on sortir si la police est ici maintenant ? »Aoda : « je sais comment sortir. Mais puisque nous sommes ici, faisons une grosse ponction dans le compte pour lequel nous sommes là et disparaissons »Dillinger (à Sydney) : « retirer de l'argent de son compte, autant que tu peux »Sydney : « c'est possible, mais il faut qu'on gagne du temps »A l'extérieur, Victoria, Gareth et les policiers encerclent déjà la devanture du bâtiment.Victoria : « préparez-vous, nous allons entrer dans cinq, quatre, trois, deux, un … »Gareth : « on y va »Au même moment, ils entendent deux coups de feu à l'intérieur. Les clients qu
De retour au poste, Gareth se dirige tout droit vers le bureau de Kenneth. Il est carrément hors de lui. Durant le trajet du retour, il n'a pas précisé la parole à Victoria. Cette dernière est assez mal à l’aise. Pendant que Gareth se rend chez Kenneth, Victoria reçoit un appel d'Aoda. Elle hésite à décrocher, elle considère que c'est de la faute d'Aoda si elle se retrouve dans une situation comme celle-ci. Elle finit par décrocher.Victoria : « vous avez réussi votre coup hein ? Pourquoi m'appelez-vous encore ? »Aoda : « vous avez l'air en colère »Victoria : « ou vous m'aidez, ou vous faites tout pour saboter les affaires sur lesquelles nous travaillons. Mais je peux vous assurer que dans un cas comme dans l'autre, je vous aurai un jour »Aoda : « vous dites ça pour me faire peur ? Parce que c'est rat&
Gareth : « il n'était pas prévu que tu dormes ici »Raymond : « Aoda m'a assommé après avoir tué un homme de main de Capone »Gareth : « une chance que l'agent Munich l'ait eu. Elle l'a ramenée au véhicule. Si je me trouve en face de ce mec seul à seul, je vais me le faire »Raymond : « tu devras m'en laisser un peu, j'ai des comptes à régler avec lui, moi aussi »Tori (aux deux hommes) : « les gars, venez voir ça »Gareth et Raymond s'approchent de la salle médicale. Les deux ambulanciers leur annoncent une nouvelle inquiétante.Ambulancier 1 : « êtes-vous restés ici lorsque vous avez découvert ce monsieur ? »Gareth : « bien sûr. Ce monsieur est un fugitif, il a été gravement touché par l'explosion d'une bombe »
Les deux agents prennent rapidement la route pour l'adresse que Kenneth leur a donnée. Pendant ce temps, Aoda et le médecin se disputaient devant les gardes tandis que Sydney et Tessa étaient en train de se préparer.Médecin : « cela n'est pas possible, il vaut mieux faire profil bas »Aoda : « ne me gâchez pas ma joie et mon engouement, cher docteur. Sinon, je serai obligé de vous attacher »Médecin : « et vous voulez m'obliger à participer à tout ce tintamarre »
Le téléphone de Victoria se met à sonner. Elle remet le registre au directeur de l'entreprise, puis sort du bureau pour répondre à l'appel. Gareth continue d'interroger le directeur.Victoria : « qu'est-ce que vous me voulez encore ? »Aoda : « quelle humeur ! Je voulais juste vous dire que ce soir à 18 heures, nous affronterons Al Capone et ses hommes quelque part dans cette ville »Victoria : « vous savez qu'il est ici ? »Aoda : « tiens, tiens, tout à coup tu veux me parler maintenant … »Victoria : « j'ai besoin que vous m'aidiez »Aoda : « je vous écoute »Victoria : « un appel anonyme nous a dit qu'Al Capone est arrivé aujourd'hui par un jet privé appartenant à une société appelée Air Jet Kérosène. Je viens de consulter le registre des
Aoda se dirige vers la chambre médicale réservée à Dillinger. Il entre et trouve son associé couché mais réveillé, il est encore assez faible.Dillinger : « je ne sais pas comment j'ai atterri ici, mais je te remercie pour ton aide »Aoda : « espèce de négligeant, la prochaine fois tu seras plus vif. Tu aurais pu mourir »Dillinger : « lâche-moi un peu, tu veux ? Al Capone et sa horde m'ont déjà déclaré la guerre »Aoda : « bien sûr, maintenant, je suis en mesure de te faire riposter mais pas comme tu le penses »Dillinger : « qu'entends-tu par PAS COMME JE PENSE ? »Aoda : « tu le sauras bientôt »Pendant ce temps, à la CIA, Victoria et Gareth ont reçu les résultats d'analyse du sang retrouvé sur le lieu de l'explosion. Ils savent désormais que Dillinger doit être sévèrement touché. Gareth et Victoria discutent dans un bureau.Gareth : « qui a bien pu essayer de tuer Dillinger ? »Victoria : « ce doit être celui que Dillinger a volé, Al Capone »Gareth : « oui, bien sûr, c'est évident
Quelqu'un ouvre la porte ; c'est une jeune femme portant un monocle sur l'œil droit. Elle porte également le tatouage d'un caméléon sur la joue gauche. A la vue de cette femme, Sydney sort son arme à feu et la pointe sur elle, mais Aoda, d'un geste très rapide, la lui arrache et la garde quelque part sur lui.Aoda : « Sydney, tu te calmes. Tu n'as pas à avoir peur comme ça, je te présente Tessa, on l'appelle aussi le caméléon »Tessa : « waouh ! Tu es toujours aussi vif à ce que je vois, Ao ! »Aoda (souriant) : « les habitudes ont la peau dure, tu le sais mieux que moi »Tessa (en regardant Sydney de la tête aux pieds) : « dis-moi, depuis quand Dillinger et toi fais affaire ? »Aoda : « depuis qu'il m'a demandé un service après avoir essayé de me tuer »Tessa : « vrai
Gareth : « que vous le vouliez ou pas, nous sommes une équipe dans cette affaire. Lorsque Dillinger sera sous les verrous, je vous libérerai »Victoria et Gareth sortent donc du bureau de la CIA. Au même instant, le premier groupe d'hommes retrouve Aoda, Dillinger et Sydney. Ils mettent Dillinger dans une voiture et transportent Aoda et Sydney dans une autre.Garde 1 : « comment va-t-on organiser la riposte contre Capone ? »Aoda : « on va commencer par interroger les transactions bancaires du compte de Capone à la banque Morgan Stanley. Là, on saura qu'il est déjà ici, il n'y aura plus qu'à le suivre grâce à ma jeune collaboratrice »Garde 1 : « donc pour le moment, il faut d'abord soigner le patron »Aoda : « c'est cela, soignez d'abord le patron. Le médecin est-il déjà en poste »Garde1 : « oui, le deuxième groupe est prêt »Aoda : « bien… j'espère que tout se passe bien »Quelques minutes plus tard, Victoria et Gareth arrivent ensemble sur le lieu de l'explosion. La police locale
De retour au poste, Gareth se dirige tout droit vers le bureau de Kenneth. Il est carrément hors de lui. Durant le trajet du retour, il n'a pas précisé la parole à Victoria. Cette dernière est assez mal à l’aise. Pendant que Gareth se rend chez Kenneth, Victoria reçoit un appel d'Aoda. Elle hésite à décrocher, elle considère que c'est de la faute d'Aoda si elle se retrouve dans une situation comme celle-ci. Elle finit par décrocher.Victoria : « vous avez réussi votre coup hein ? Pourquoi m'appelez-vous encore ? »Aoda : « vous avez l'air en colère »Victoria : « ou vous m'aidez, ou vous faites tout pour saboter les affaires sur lesquelles nous travaillons. Mais je peux vous assurer que dans un cas comme dans l'autre, je vous aurai un jour »Aoda : « vous dites ça pour me faire peur ? Parce que c'est rat&
À ce moment-là, les sirènes de la police se fait entendre à l'extérieur du bâtiment.Dillinger (à Aoda) : « mince ! Comment va-t-on sortir si la police est ici maintenant ? »Aoda : « je sais comment sortir. Mais puisque nous sommes ici, faisons une grosse ponction dans le compte pour lequel nous sommes là et disparaissons »Dillinger (à Sydney) : « retirer de l'argent de son compte, autant que tu peux »Sydney : « c'est possible, mais il faut qu'on gagne du temps »A l'extérieur, Victoria, Gareth et les policiers encerclent déjà la devanture du bâtiment.Victoria : « préparez-vous, nous allons entrer dans cinq, quatre, trois, deux, un … »Gareth : « on y va »Au même moment, ils entendent deux coups de feu à l'intérieur. Les clients qu
Victoria : « quoi ? Dillinger connaît celui qui vous a envoyés ? »Garde 3 : « oui madame »Gareth (à Victoria) : « qu'est-ce qu'il ya ? »Victoria (à Gareth) : « suis-moi »Victoria sort de la salle, suivie de Gareth.Gareth : « un problème ? »