Le cinquième étage était bel et bien le rayon des robes pour les femmes." Tu m'avais dit que tu étais déjà venue ici, alors pourquoi demander à cet homme de nous orienter ?" demanda Valérie qui la suivait derrière." Parce ce magasin a étrangement bien classé les choses. Il ya des niveaux contenant les histoires des enfants et des adultes, hommes et femmes. La dernière fois que j'étais venue j'avais dû monter et descendre les escaliers juste pour trouver les chaussures.Elles parlaient en marchant lorsqu'une robe bleu océan attira l'attention de Valérie." Wouah ! Elle est belle." Elle s'approcha et regarda le prix." Elle t'ira très bien, d'ailleurs c'est ta couleur préférée."" Elle est bien trop chère Samira. Pourquoi ne pas aller dans les magasins d'à côté ? Le prix est abordable là-bas."" Je t'avais dit de ne pas t'inquiéter, je la prends pour toi." Valérie savait que insister n'aboutira à rien, alors elle décida juste de la suivre.Après qu'elles aient fini de tout acheter, Sa
En entendant la déclaration d'Elena, Samira fronça les sourcils en se disant que les gens devant elle étaient vraiment pathétiques.Valérie n'aimait pas non plus la tournure des choses, alors elle tira Samira de force pour quitter le lieu mais Alice vint se placer devant elles pour leur barrer la route." Je comprends que tu sois une femme stérile et sans importance, je comprends aussi que mon frère t'ait laissé pour une autre femme capable que toi, mais tu n'as pas le droit de faire du mal à ma belle-soeur Valérie..."Elle se tourna vers les agents de sécurité et haussa la voix poir attirer de l'attention." Monsieur l'agent, que ces femmes ne sortent pas d'ici avant que la police n'arrive, elles doivent payer pour ce qu'elles ont fait à ma belle-soeur. Même si elle a divorcé de mon frère, l'enfant est innocent pour qu'elle le veuille du mal"Les spectateurs chuchotaient entre eux traitant Valérie de cruelle et de tous les noms.Valérie devint furieuse contre l'homme debout devant el
Mathieu reviens quelques minutes plus tard en suer tenant un ordinateur portable dans ses mains." Ouvrez bien vos yeux et regarder quand cette femme a été poussée et dites à ce monsieur de venir nous montrer quand sa femme avait été maltraitée." dit Samuel en obligeant les agents devant lui de regarder l'ordinateur. Mais lorsqu'ils virent que c'était Elena qui voulait se jeter sur Valérie en premier, ils eurent honte et s'excusa auprès de Samuel.Valérie était contente qu'elles soient innocentéeset se leva de son siège en regardant Thierry et sa bande.Elena n'était pas satisfaite, elle s'approcha de Samuel." Vous voyez bien que cette femme m'a secoué très fort. Je vous dis que j'ai mal au ventre et je risque de faire une fausse couche à cause de ça." " Oui nous avons vu les images, mais qu'est-ce qui dit que ça n'a pas été modifié ? Qu'est-ce qui dit que vous n'êtes pas l'un de leur ? Vous surgissez de nulle part et vois venez démentir les propos de ma fiancée. J'exige une enquête
Valérie était très reconnaissante et suivit Samuel mais Samira resta sur place." Monsieur... Je m'appelle Valérie. Je ne sais pas pourquoi vous nous avez aidé mais je vous remercie beaucoup et désolée d'avoir abandonné votre réunion pour nous."Samuel était flatté, il sourit pour la détendre." C'est moi qui devrais vous demander pardon parce j'avais embauché une bande d'incapable. Et pour cela, Diamond group vous offre une réduction à cent pour cent sur tous les produits que vous désiriez prendre et si vous aviez déjà payé quoi que ce soit, l'argent sera rendu."" Quoi? Non non monsieur... C'est trop gentil de votre part mais nous n'allons pas accepté. Si vous voulez nous aider, vous pouvez dire à vos hommes de rendre les affaires qu'ils nous ont confisqué." refusa catégoriquement Valérie." Vous ne toucherez plus à ça, mes hommes sont partis vous ramener d'autres histoires et votre argent. Vous n'avez pas intérêt de refuser parce je vous offre cela." dit-il en regardant Samira et l
Solange s'était immédiatement rendue à la mairie de la ville pour demander de l'aide à Loyd.Après qu'on lui ait dit que Loyd était en réunion, elle voulût faire une scène devant tout le monde." J'exige de voir monsieur le maire, je suis la belle-mère de sa fille." elle criait tellement fort pensant que les gens aurons peur d'elle, mais la réceptionniste l'observait comme si elle était transparente." Je vous ai déjà dit que monsieur Loyd était en réunion et il ressortira dans deux heures environ, vous pouvez l'attendre si vous voulez vraiment le voir."" Alors vous ne comprenez toujours pas n'est-ce pas ? Allez lui dire que je veux le voir tout de suite parce sa fille est dans le pétrin."Tous les employés présents dans la salle étaient amusés par ses mots, ils laissèrent échapper des rires moqueurs. Ils savaient tous que Loyd n'avait pas d'enfants et ce que disait cette femme était juste absurde." Arrêtez de faire une scène ici madame."" Je n'arrêterai pas tant que je ne le verra
Loyd rentra chez lui avec l'espoir de retrouver sa femme, mais celle-ci était absente. Elle avait rejoint la famille Anderson pour prendre le déjeuner avec son frère. À son arrivée, son garde du corps ouvrit le portail et l'informa que la dame était sortie depuis une heure. Bien qu'il ait tenté de la joindre, ses efforts furent vains. Il prit alors la décision de retourner au bureau afin de poursuivre son travail. Le lendemain soir, Samira se rendit chez Valérie, qui était déjà prête pour la cérémonie. Elle était assise dans le salon, attendant patiemment Léonard. Lorsqu'il sortit de sa chambre, il portait la chemise qui lui avait été offerte. Valérie se leva et lui adressa un sourire. « Elle te va à merveille. » « Merci beaucoup », répondit Léonard en posant son regard sur Samira qui venait d'arriver. « Bonsoir ! Vous êtes déjà prêtes ? » demanda-t-elle en entrant. « Oui, madame, nous sommes prêtes. Bienvenue ! » plaisanta Valérie. « Ta robe te va à ravir, ma chère », comp
Après le départ de Mira, Léonard s'installa et observa de loin le déroulement de la fête. « Ruth est vraiment exaspérante, elle ne respecte même pas son mari », murmura Samira à l'oreille de Valérie. « Leurs problèmes ne nous regardent pas. Ils sont en froid depuis des années, et cela ne risque pas de changer maintenant », répliqua Valérie. « J'éprouve de la compassion pour Léonard, le pauvre a dû souffrir durant son enfance. » « Cela semble évident. » Léonard prêtait une oreille attentive aux échanges entre les femmes, tout en faisant semblant de ne pas les entendre. Le serveur arriva alors pour leur apporter les boissons. « Tu as tout intérêt à ne pas toucher à l'alcool ce soir », avertit Léonard. « Ne t'inquiète pas pour moi », répondit Valérie en se servant un verre de jus de fruits. Quelques minutes plus tard, Samira se leva pour se rendre aux toilettes. « Je reviens tout de suite », annonça-t-elle en s'engageant dans le couloir du rez-de-chaussée, où elle croisa Boris,
Les yeux de tous s'écarquillèrent d'étonnement. Ils s'interrogeaient sur la manière dont Léonard avait pu se procurer ce diamant, si rare et si précieux. Mira, émerveillée par l'éclat des bijoux qui s'étalaient devant elle, brillait d'admiration. « Grand frère, c'est le plus magnifique cadeau que j'aie jamais reçu ! » s'exclama-t-elle en embrassant Léonard. « Arrête de dire cela. Ce cadeau vient de ton frère et tu le mérites amplement. Je me souviens encore de notre enfance, où tu as toujours été une sœur exemplaire pour moi. Je me rappelle également de ton expression lorsque tu étais en colère, tu vois ce que je veux dire ? » « Oui, je comprends, mais évite d'en parler, cela risquerait de me valoir des moqueries. » répondit-elle en faisant la moue. « Les années filent à toute vitesse ; en un instant, tu es devenue une jeune femme à la fois belle et épanouie. Alors, ne fais plus cette moue que tu affichais lorsque tu grondais Boris. » Il a murmuré cette dernière phrase à son orei
Boris resta debout, figé, comme hypnotisé par les paroles de Léonard."De quoi voulait-il parler ?" murmura-t-il, perdu dans ses pensées.À côté de lui, Martin était resté silencieux, mais il finit par lâcher :— Tu as remarqué ? Ton demi-frère est devenu arrogant. Il parle comme s’il avait un puissant soutien derrière lui. On dirait qu’il n’a plus peur de toi, Boris.Boris fronça les sourcils.— C’est vrai… C’est la première fois que je le vois ainsi. Enfin, non… La dernière fois qu’il m’a défié de cette manière, c’était le jour où il est venu devant notre entreprise familiale pour exiger de voir papa.Martin posa une main sur son épaule, d’un geste à la fois complice et calculateur.— Peut-être que ton père l’a rassuré sur sa succession… Peut-être qu’il lui a promis qu’il serait son héritier. Ce serait impensable, mais pas impossible.Boris serra les poings.— Non… C’est absurde ! Il est l’enfant d’une deuxième femme ! Moi, je suis son premier fils. Papa ne ferait jamais ça…— Tu en
Un silence glacé s’installa entre eux. Boris ouvrit la bouche, mais aucun mot n’en sortit. Il baissa les yeux, son visage se durcissant sous le poids du dilemme qui s’imposait brutalement à lui.— Quoi ? Tuer mon père ? murmura-t-il, abasourdi.Il resta silencieux pendant quelques instants, réfléchissant à ce que cela impliquait.— Je sais que mon père ne m’aime pas vraiment. Il a toujours préféré Léonard à moi. Mais de là à le tuer… Je ne sais pas si j’en serais capable. Après tout, c’est lui qui m’a élevé, qui m’a tout appris sur les affaires.Martin serra les poings sous la table. Entendre Boris parler d’un autre homme comme son père lui serra le cœur.Après une courte hésitation, il lança d’une voix calme mais lourde de sens :— Boris… t’es-tu déjà demandé, ne serait-ce qu’un instant, si ta mère était vraiment ta mère biologique ? Et si, un jour, tu apprenais que Robert n’est pas ton père… qu’est-ce que tu ferais ?Boris releva la tête brusquement, les yeux écarquillés. Son regard
L’entreprise Anderson dominait le quartier avec son imposante architecture de verre et d’acier. Sous la lumière du jour, ses façades miroitantes reflétaient le tumulte de la ville, mais Orissia ne voyait rien de tout cela.Elle traversa l’entrée d’un pas précipité, indifférente aux regards intrigués des employés. Ses talons claquaient contre le sol, résonnant comme un compte à rebours dans l’air pesant de la réception. Elle ne prit même pas la peine de saluer la réceptionniste et fonça droit vers le bureau de Thomas.Dès qu’elle franchit la porte, il se leva d’un bond, alarmé par son expression.— Orissia ?! Est-ce que tu pleures ?Sans attendre de réponse, il s’approcha à grandes enjambées, les sourcils froncés d’inquiétude.— Qui t’a mise dans cet état ?!Ses yeux parcoururent son visage ravagé par la tristesse : ses joues humides, ses paupières gonflées, son regard perdu. Un frisson lui parcourut l’échine.Mais Orissia ne répondit pas. Au lieu de cela, elle éclata en sanglots et se
Léonard était bien conscient de ce qui se cachait derrière la demande d’Orissia. Il savait déjà qu'elle était la femme de Loyd, et le fait qu'elle vienne le voir personnellement pour obtenir des informations sur Thierry n’était pas anodin. Cela signifiait qu’elle avait des doutes sur son mari, qu'il lui cachait sûrement quelque chose. Il se sentit légèrement amusé par l'ironie de la situation, mais garda un visage impassible.Orissia, visiblement nerveuse, prit une profonde inspiration avant de poursuivre :— Je sais que cela peut vous sembler absurde, mais je vous en prie, écoutez-moi un instant. Je suis une femme stérile. Depuis mon plus jeune âge, on m’a diagnostiqué une stérilité primaire. Je suis donc incapable d’avoir un enfant, et cela m’a toujours perturbée. J’avais même envisagé d’adopter, mais mon mari était contre. Il m’a toujours rassurée, me disant que j'étais la meilleure chose qui lui soit arrivée, et que ce n’était pas important. Puis, un jour, une femme est venue s'an
Léonard s’habillait tranquillement, optant pour une tenue décontractée. Il monta dans son taxi et se dirigea vers le groupe Diamond, un léger sourire en coin, perdu dans ses pensées. Assis dans son bureau, Samuel était assis en face de lui plongé dans ses réflexions. — Est-ce qu’elle t’a parlé de son père ? demanda Léonard.Samuel leva les yeux, visiblement gêné.— Non, je… je ne lui ai pas vraiment demandé, répondit-il d’une voix timide, presque hésitante. Elle m’a juste dit que, d’un moment à l’autre, il viendrait la chercher.Léonard nota la nervosité dans le ton de Samuel. Il n’était pas du genre à être aussi réservé, et cela n’échappa pas à son attention. Samuel semblait évader son regard, comme s’il cherchait à éviter une vérité qu’il ne voulait pas affronter.— Est-ce qu’il y a un problème que je ne connais pas ? Tu n’as pas l’air bien, s’enquit Léonard, ses yeux scrutant Samuel avec une curiosité mêlée de prudence.Samuel détourna légèrement la tête, mais ne répondit pas tout
Samuel observait Samira, complètement déconcerté. Il avait du mal à comprendre ce qu’elle venait de dire. Il se frotte le front, presque incrédule."Est-ce que tu es folle, Samira ? Comment peux-tu me dire une chose pareille ?" Il secoua la tête, son regard d'abord surpris se transformant en une profonde inquiétude.Samira, qui avait jusqu'alors fixé ses mains entrelacées sur ses genoux, tourna enfin son regard vers lui. Elle semblait nerveuse, mais une détermination étrange brillait dans ses yeux. Elle savait que ce qu’elle demandait était extrême, mais elle n’avait plus de choix, plus de chemin à prendre."Je sais que tu me manques depuis longtemps, et que tu te souviens de notre première rencontre, de ce que tu m’as dit à ce moment-là. Eh bien, je veux que tu le réalises maintenant, ou sinon... mon père viendra me prendre à tout moment et il me forcera à épouser ce vieux monstre." Sa voix tremblait légèrement, mais l’intensité de ses paroles la rendait plus forte.Samuel, frappé pa
Samuel, déconcerté et inquiet, haussait les épaules, résigné, et démarra la voiture, le silence entre eux aussi lourd que la chaleur étouffante de la nuit.Sur le trajet, il sortit son téléphone et envoya un message à Léonard : "Je pense que Samira est dans les ennuis. Quelqu’un l’a appelée et l’a menacée."Il attendit une réponse, mais ce fut Léonard qui répondit presque immédiatement : "Est-ce qu’elle t’a dit de qui il s’agissait ?""Je ne sais pas, mais elle est terrifiée. Je vais essayer de lui poser la question une fois qu’on sera à la maison." Léonard répondit rapidement : "Bien. Assure-toi qu’elle te dise qui la menace. Prends soin d’elle."Samuel hocha la tête, mais il savait que la situation était bien plus complexe que ce qu’il pouvait comprendre. Il déposa Samira devant sa maison, ouvrit la porte de la voiture pour elle et attendit qu’elle descende.Samira s’éloigna, oubliant sa béquille dans la voiture, et se dirigea vers la porte d'entrée. Elle marchait d’un pas lourd, s
Samuel, déconcerté et inquiet, haussait les épaules, résigné, et démarra la voiture, le silence entre eux aussi lourd que la chaleur étouffante de la nuit.Sur le trajet, il sortit son téléphone et envoya un message à Léonard : "Je pense que Samira est dans les ennuis. Quelqu’un l’a appelée et l’a menacée."Il attendit une réponse, mais ce fut Léonard qui répondit presque immédiatement : "Est-ce qu’elle t’a dit de qui il s’agissait ?""Je ne sais pas, mais elle est terrifiée. Je vais essayer de lui poser la question une fois qu’on sera à la maison." Léonard répondit rapidement : "Bien. Assure-toi qu’elle te dise qui la menace. Prends soin d’elle."Samuel hocha la tête, mais il savait que la situation était bien plus complexe que ce qu’il pouvait comprendre. Il déposa Samira devant sa maison, ouvrit la porte de la voiture pour elle et attendit qu’elle descende.Samira s’éloigna, oubliant sa béquille dans la voiture, et se dirigea vers la porte d'entrée. Elle marchait d’un pas lourd, s
Mais Madame Jayne, qui n'avait pas perdu une miette de la scène, se tenait discrètement dans l'ombre du couloir. Depuis plusieurs minutes, elle observait en silence les gestes entre Léonard, Mira et Samira, le regard scrutateur. Elle ne pouvait s'empêcher de se sentir confuse face à ce qui semblait être une situation étrange. Elle n’avait jamais vu Léonard et Samira échanger de manière aussi intime et préoccupée. La façon dont il s’était montré protecteur envers Samira et avait insisté pour la raccompagner, tout en refusant que Valérie le fasse, laissait place à des interrogations. Qu'est-ce qui se cachait derrière ces gestes, et pourquoi cette insistance ? Lorsqu'enfin Léonard et Samira sortirent, Madame Jayne se hâta de se diriger vers la fenêtre, son cœur battant un peu plus vite. Elle voulait voir de ses propres yeux ce qu'il se passait à l'extérieur. Le bruit de la porte d’entrée se refermant doucement derrière Léonard résonna dans le silence de la maison.Elle scruta l'extérie