Chapitre 98

Le lendemain, quand je suis arrêtée à la porte de l’ancien manoir par le serviteur qui ne me permettait pas de sortir, j’ai compris.

Hier soir, il m’avait vraiment informée.

Je savais que c'était l'idée de Cédric, et cela n'avait rien à voir avec le serviteur, alors j'ai seulement patiemment demandé : « Où est Cédric ? »

« Le jeune maître est sorti avant l'aube. »

« Oncle Fabien est-il retourné ? »

« Pas encore, oncle Fabien est en train de s'occuper de la mort du vieil homme. »

...

J'ai légèrement dit : « Et si, je dois sortir maintenant ? »

« Jeune femme, vous ne pouvez pas sortir. »

Le serviteur a désigné les gardes du corps vêtus de noir qui se tenaient à l'extérieur de la baie vitrée.

J’étais stupéfaite.

Au cours des trois dernières années, l'hypocrisie de Cédric n'a vraiment pas changé.

Il m'avait dit que je n'allais rester ici qu'une nuit, mais maintenant je n'avais même pas le droit de sortir.

Pendant un instant, j'ai même pensé qu'il n'était peut-être pas le garçon qui m'a