Voici une version révisée avec un langage plus naturel et fluide, tout en conservant le sens original :« Hypocrite, tu oses prétendre que l’explosion du laboratoire n’a rien à voir avec toi ? »Joseph, toujours franc et direct, a lâché ses mots sans détour avant d’ajouter :« Ne crois pas que les affaires des Fremont te sont acquises. Tu n’es qu’un bâtard. Avec quoi comptes-tu t’imposer dans cette famille ? »Louis a esquissé un sourire froid, puis s’est tourné vers Clermont :« Pour l’instant, celui qui est dans la famille Fremont, c’est moi, non ? »Il a ensuite ajouté :« Le message de mon père, je te l’ai transmis. Que tu y répondes ou non, c’est ton problème. »Alors qu’il s’apprêtait à partir, il s’est arrêté un instant, un sourire moqueur aux lèvres :« Au fait, joyeux anniversaire. Qui aurait cru que tu serais encore là pour le fêter ? »Sur ces mots, il a quitté la pièce.Joseph, furieux, a explosé :« C’était quoi, cette remarque ? Il regrette que tu n’aies pas crevé dans l’
À cet instant, une immense douceur a envahi mon cœur.Mes bras enroulés autour de sa taille, je me suis blottie contre lui, le laissant m’embrasser comme il le voulait, sans opposer la moindre résistance.Sans doute conscient de la présence de deux autres personnes dans la maison, l’une grande et l’autre petite, Clermont s’est retenu. Il a déposé un baiser léger avant de murmurer, les yeux emplis de profondeur :« On va chez moi ? »« … »Mes joues se sont enflammées, et je lui ai lancé un regard accusateur :« Cécile est ici pour te ramener ton neveu, non ? »« Juste cette fois, exceptionnellement. »« … »Quelle audace.Mais malgré son insistance, j’ai refusé :« Non, on vient juste de se mettre ensemble. Rien ne sert de se précipiter. »« Tu es du tofu, toi maintenant ? »Son regard s’est fait moqueur, et sa voix, claire et douce, a résonné :« Et puis, je voulais juste dormir avec toi dans mes bras. En plus, tu es en pleine période délicate, alors je ne vais pas… mener une bataille
Le jour de mon troisième anniversaire de mariage.Cédric avait payé trop cher le collier que j'aimais depuis si longtemps.Tout le monde disait qu'il m'aimait beaucoup.Je préparais un dîner aux chandelles avec beaucoup de joie quand j'ai reçu une vidéo.Dans la vidéo, il mettait le collier à une autre fille en disant :« Félicitations pour ta nouvelle vie. »Il s'est avéré que c'était plus qu'un simple anniversaire de mariage.C'était aussi le jour où sa bien-aimée a demandé le divorce.…Je n'ai jamais pensé que cela pouvait m'arriver.Même si ce mariage avec Cédric n'était pas le fruit d'un amour libre, mais devant les autres, il avait toujours été un mari très attentionné.Je me suis assise à la table, regardant le steak devenu froid et la nouvelle qui disait que Cédric avait dépensé des millions juste pour faire plaisir à sa femme.Tout cela est devenu une moquerie silencieuse.À deux heures du matin, la Maybach noire est entrée enfin dans la cour.À travers les fenêtres du sol au
Des bijoux ?Fronçant les sourcils, je me suis adressée à Cédric, qui venait d'entrer dans la salle de bains : « Cédric, Clémence est là, je descends en premier. »Presque la seconde d'après, Cédric est sorti à grands pas, l'air aussi froid que je l'ai jamais vu.« Je vais y aller, laisse-nous tranquille et va te laver. »La voix de Cédric, qui était toujours calme et introverti devant moi, était mêlée d'une trace d'émotion indicible, semblant agacée et nerveuse.J’ai éprouvé un sentiment étrange et a dit :« Je me suis déjà lavée, c'est moi qui t'aide à bien presser la pâte dentifrice, as-tu oublié ? »« D'accord, descendons ensemble pour ne pas faire attendre Clémence. »Sur ce, je lui ai pris la main et je suis descendue.L'escalier était tournant, à mi-chemin du virage, on pouvait voir Clémence, vêtue d'une simple robe blanche, élégamment et gracieusement assise sur le canapé.Elle a également levé les yeux lorsqu'elle a entendu le vacarme, son sourire était serein, et lorsque ses
J'ai été frappée de plein fouet.Comme pour m'assurer de quelque chose, j'ai regardé attentivement l'e-mail, encore et encore.Oui, C’était bien cela.Clémence serait la directrice du stylisme et ma directrice.« Chloé, tu la connais ? »Voyant que j’étais à l'écart, Cécile a tendu la main et l’a secouée devant mes yeux, exprimant ses soupçons.J’ai posé mon téléphone et a répondu : « C'est la demi-sœur de Cédric, dont je t'ai parlé tout à l'heure. »Nous étions tous partis chacun de notre côté après avoir obtenu notre diplôme, mais Cécile et moi nous étions liés pendant nos études et avions convenu de rester à la Ville J ensemble et de n'aller nulle part.Cécile a dit d’un air complice :« Merde, elle a recherché cet appui. »…Je n'ai rien dit.Je me disais que Clémence avait un appui spécial.« Cédric aurait-il reçu un coup de pied d'âne dans la tête ? »Cécile a continué à critiquer Cédric pour se battre pour moi :« Pour quel motif ? Je n'ai jamais entendu parler d'une telle pers
Cédric a accepté presque d’un seul coup.Il n'y avait pas d'hésitation ou de réticence du tout.J'ai accroché son cou, les lèvres légèrement relevées, et je l'ai regardé avec un regard brûlant et a demandé : « Es-tu vraiment prêt à me donner dix pour cent des parts du Groupe des Baudet ? »Cédric a répondu, les yeux clairs : « C’est pour toi, et pas pour les étrangers. »À ce moment-là, je devais admettre que l'argent était vraiment une bonne chose pour exprimer la loyauté.Les émotions qui avaient été réprimées pendant un midi ont finalement été soulagées.Comme pour prouver quelque chose, j'ai souri et j'ai demandé : « Et si c'était Clémence, tu le donnerais ou pas ? »Cédric est resté silencieux pendant une fraction de seconde et a donné une réponse définitive : « Non. »« Vraiment ? »« Eh bien, la seule chose que je pourrais lui donner, c'est cette position. »Cédric m’a prise dans ses bras et a poursuivi d’une voix douce et sûre : « Quant à la convention de cession d'actions
Sachant très bien que Cédric m'attendait, Clémence s'était assise sur le siège passager.Je voulais faire demi-tour et partir, mais la raison m'a poussée à rester.J’ai tendu la main vers Cédric en disant : « Donne-moi la clé de la voiture. »Cédric n'a rien dit et m'a mis la clé dans la main.J'ai contourné l'avant de la voiture et je me suis installée directement sur le siège du conducteur.J’ai ricané devant l'expression surprise de Clémence et a répondu calmement : « Bien sûr. Tu es la grande sœur de Cédric, alors c'est normal de te conduire. »Et puis, j’ai lancé un regard à Cédric qui se tenait à l'extérieur de la voiture avant de dire :« Dépêche-toi de monter dans la voiture, grand-père doit déjà nous attendre. »Il y régnait un silence absolu dans la voiture sur le chemin.Clémence voulait parler à Cédric, mais cela ne semblait pas naturel, car elle devait sans cesse tourner la tête.Sentant peut-être que je n'étais pas à l'aise, Cédric a soudain ouvert une bouteille de bois
Je me sentais comme plongée dans une glacière.Tout mon sang dans mes veines semblait s'être figé.Pendant un instant, j'ai même douté d'avoir bien entendu.Il m'était déjà arrivé de me poser des questions sur leur relation, de soupçonner que quelque chose clochait, mais chaque fois, j'avais fini par me convaincre du contraire.Bien qu'il n'y ait aucun lien de sang entre eux, ils étaient tous les deux des enfants de la famille des Baudets : le fils et la fille. Aux yeux du monde, ils étaient frère et sœur.De plus, chacun d'eux était marié.Cédric Baudet, fils chéri du Ciel, ne pouvait pas se livrer à une chose aussi absurde.Mais là, à quelques mètres de moi, je voyais Cédric, les yeux injectés de sang, pousser Clémence Baudet contre le mur, et sa voix acérée et moqueuse résonnait clairement.« Divorcer pour moi ? C'est toi qui as choisi d'épouser un autre. Avec quel droit me demandes-tu cela maintenant ? ! »« Je... »Les questions incessantes laissaient Clémence sans voix. Les larme
À cet instant, une immense douceur a envahi mon cœur.Mes bras enroulés autour de sa taille, je me suis blottie contre lui, le laissant m’embrasser comme il le voulait, sans opposer la moindre résistance.Sans doute conscient de la présence de deux autres personnes dans la maison, l’une grande et l’autre petite, Clermont s’est retenu. Il a déposé un baiser léger avant de murmurer, les yeux emplis de profondeur :« On va chez moi ? »« … »Mes joues se sont enflammées, et je lui ai lancé un regard accusateur :« Cécile est ici pour te ramener ton neveu, non ? »« Juste cette fois, exceptionnellement. »« … »Quelle audace.Mais malgré son insistance, j’ai refusé :« Non, on vient juste de se mettre ensemble. Rien ne sert de se précipiter. »« Tu es du tofu, toi maintenant ? »Son regard s’est fait moqueur, et sa voix, claire et douce, a résonné :« Et puis, je voulais juste dormir avec toi dans mes bras. En plus, tu es en pleine période délicate, alors je ne vais pas… mener une bataille
Voici une version révisée avec un langage plus naturel et fluide, tout en conservant le sens original :« Hypocrite, tu oses prétendre que l’explosion du laboratoire n’a rien à voir avec toi ? »Joseph, toujours franc et direct, a lâché ses mots sans détour avant d’ajouter :« Ne crois pas que les affaires des Fremont te sont acquises. Tu n’es qu’un bâtard. Avec quoi comptes-tu t’imposer dans cette famille ? »Louis a esquissé un sourire froid, puis s’est tourné vers Clermont :« Pour l’instant, celui qui est dans la famille Fremont, c’est moi, non ? »Il a ensuite ajouté :« Le message de mon père, je te l’ai transmis. Que tu y répondes ou non, c’est ton problème. »Alors qu’il s’apprêtait à partir, il s’est arrêté un instant, un sourire moqueur aux lèvres :« Au fait, joyeux anniversaire. Qui aurait cru que tu serais encore là pour le fêter ? »Sur ces mots, il a quitté la pièce.Joseph, furieux, a explosé :« C’était quoi, cette remarque ? Il regrette que tu n’aies pas crevé dans l’
Après le dîner, d’autres amis de Clermont sont arrivés pour la suite de la soirée. Mais aussi… un invité inattendu.C’était la première fois que je voyais Louis, l’enfant illégitime de la famille Fremont.Habillé d’un costume noir impeccable, il a ouvert la porte du salon sans la moindre gêne et s’est appuyé contre l’encadrement. Son visage, avec une légère ressemblance à celui de Clermont, affichait un sourire narquois. Il a replié ses doigts et a frappé doucement sur le bois de la porte.Clermont n’a pas bougé, comme s’il ne l’avait même pas remarqué. D’un air détendu, il a posé une carte sur la table.Baptiste lui a jeté un regard, et a mis aussi une carte sur la table.Avec ses doigts longs et élégants, Clermont a révélé une autre carte, levant légèrement un sourcil avec un air satisfait.En regardant sa carte, Joseph a écarquillé les yeux.« Quoi ? »« Pourquoi t’énerves-tu ? » Clermont a tiré une nouvelle carte et, d’un ton toujours calme, il a poussé ses tuiles pour annoncer :«
Hier encore, en passant chez Clermont, personne n’a mentionné qu’il s’était remis avec Chloé.Après avoir rassemblé ses pensées, Joseph a secoué fermement la tête.« Impossible. Baptiste, tu ne connais vraiment pas bien Clermont… »Baptiste, l’air désabusé, est resté silencieux.Il connaissait parfaitement Clermont. Un homme capable d’attendre quelqu’un pendant plus de vingt ans, même sans aucun espoir, ne change pas de cible si facilement.Surtout maintenant que Cécile, la meilleure amie de Chloé, était arrivée à Ville Josier. Cela signifiait probablement que Chloé était là aussi.Et pourtant, hier, quand Clermont a appris que Cécile était à Ville Josier, il n’a montré aucun signe de surprise.Qu’est-ce que cela voulait dire ?Qu’il était déjà au courant.Qu’il persistait, coûte que coûte, sur le même chemin.Et que Joseph allait probablement en payer les frais.Cécile, amusée par l’innocence un peu naïve de Joseph, a lancé en riant :« Et si on faisait un pari ? »Joseph a répondu, i
Quand Joseph a raccroché, tout s’éclairait : Clermont était en couple !Avec qui ? Quelle femme avait réussi à lui faire oublier son « premier amour » pour se jeter dans une nouvelle histoire ?Mais au fond, peu importe.Depuis cette histoire, il y a deux ans, tous les potes de Clermont n’avaient qu’un souhait : voir Clermont tourner la page et se reconstruire.Et maintenant, c’était fait.Qu’importe l’identité de sa copine. Pour eux, séduire Clermont relevait déjà de l’exploit.Joseph était prêt à tout pour protéger cette relation naissante. Pas question que cette Chloé débarque et sème la zizanie entre Clermont et sa copine.En entendant ça, Cécile, encore plus abasourdie que Joseph, s’est écriée, les yeux ronds :« Quoi ? Il a une petite amie ?! »À peine une demi-heure plus tôt, Chloé lui avait demandé de l’attendre ici avec Jade pendant qu’elle partait seule retrouver Clermont à Marjila.Et maintenant, Joseph affirmait que Clermont avait une copine ?Mais qu’est-ce que ça voulait
Deux ans plus tôt, je ne l’avais jamais vu fumer. Jamais une seule fois je n’avais senti l’odeur de cigarette sur lui. Cela devait forcément signifier qu’il… qu’il avait traversé des moments particulièrement difficiles.Ses baisers étaient un mélange parfait de tendresse et de passion, comme s’il concentrait tout son amour naissant sur moi. Mon corps vacillait, et c’était seulement grâce à sa main, posée autour de ma taille, que je parvenais à rester debout.Sentant que je perdais l’équilibre, il m’a attirée doucement contre lui, reculant jusqu’au canapé. Une fois assis, il a glissé ses grandes mains, bien dessinées, sur mes jambes, m’installant à califourchon sur lui. Ensuite, il m’a serrée contre lui et m’a embrassée avec une intensité déconcertante.« Clermont… »Ma voix était à peine un souffle. J’avais du mal à respirer.« Hmm ? Ça te dérange ? »Il m’a laissé un moment pour reprendre mon souffle avant de recommencer. Sa main s’est glissée sous ma robe, remontant lentement, sa pau
« C’est Doriane qui m’a demandé de les acheter. »Clermont, avec ses yeux bruns profonds, m’a regardée avec un petit sourire malicieux avant d’ajouter :« Elle m’a dit que si je voulais te séduire, il fallait être prêt à cohabiter. Donc, prévoir tout le nécessaire, y compris ces trucs-là. »« … »Mes oreilles ont commencé à chauffer.« Qui parle de cohabitation avec toi ? Et on est juste amis, pour l’instant ! »« D’accord, d’accord. »Il m’a attirée dans ses bras et, avant que je ne puisse réagir, il a effleuré mes lèvres d’un baiser furtif. Un geste rapide, mais qui laissait une brillance subtile sur les siennes.« Amis qui peuvent s’embrasser et se tenir dans les bras, ça te va ? »« Espèce de voyou ! »Rougissante et un peu furieuse, je me suis dégagée pour me lever, mais il a gardé ma main dans la sienne.Il a levé les yeux vers moi, un sourire joueur sur les lèvres.« Alors, dis-moi, on est quoi ? »« Je ne dirai rien. »Je lui ai lancé un regard agacé. « Franchement, qui essaie
À peine avait-il terminé sa phrase que la porte de son bureau s’est brusquement ouverte.Yvette est entrée, le visage sombre, les yeux furieux, les dents serrées, fixant Tristan avec une intensité glaciale.Après un moment de silence gênant, Tristan a repris la parole :« Clermont, je vais devoir te laisser. Si tu as besoin de quoi que ce soit, appelle-moi. Je t’enverrai aussi les documents nécessaires par mail. »Clac !À peine avait-il raccroché que la gifle est tombée. Violente.Tristan a inspiré profondément, a essuyé du pouce le filet de sang au coin de sa lèvre, puis a esquissé un léger sourire :« On voit que tu es ceinture noire. Même une gifle devient un coup de maître. »« Tristan, tu es ignoble ! »Sous ses lunettes noires, les yeux d’Yvette lançaient des éclairs.« De quel droit as-tu raconté ça à Clermont ?! »« Du droit que c’est mon équipe qui a découvert ces informations. »Il a haussé les épaules. « Et du droit que Clermont m’a offert la vie que je mène aujourd’hui. To
En entendant cela, Clermont m’a de nouveau attirée contre lui, gardant volontairement un air sévère. « Et quoi encore, Chloé ? Dis-moi tout. »J’ai eu un léger moment d’hésitation. « Qu’est-ce que tu as découvert d’autre ? »« Qu’est-ce que je devrais avoir découvert ? »Mon regard a vacillé un instant, incertaine.J’ignorais jusqu’où s’étendaient réellement ses relations. Mais puisqu’il avait pu découvrir que l’appartement où je vivais appartenait à Janvier, il devait sans doute en savoir bien plus…Je l’ai serré dans mes bras, hésitante. « Clermont, ce n’est pas si grave… Et en plus, c’est déjà guéri. »Cette fois, c’était lui qui a été pris au dépourvu.« Guéri ? »« Oui. »J’ai hoché la tête. « Janvier m’a présenté une psychologue très compétente. Une femme douce et bienveillante, qui m’a beaucoup aidée. »« Une psychologue ? »D’un coup, il a attrapé mes épaules pour m’éloigner légèrement de lui, ses yeux reflétant une agitation intense.C’était là que j’ai réalisé : « Tu… tu n’en