Chapitre 2 : Appelle-moi Damon 

Damon 

- Damon .

- Qu'est ce que vous dites ?

- Appelle-moi Damon . 

 Elle se redresse , se retrouve face à moi, je la dépasse d' une bonne tête, je me rapproche plus d'elle, elle troublée, elle essaye de paraître professionnelle , mais je vois bien que c'est peine perdue, elle me veux autant que je la veux .

Amanda 

Il se rapproche plus de moi et je peux sentir son souffle au-dessus de ma tête , je suis troublée, mais j'essaie de ne rien laisser paraître. je soulève la tête avec un air de défi .

- Je ne comprends pas où vous voulez en venir .

- Hé bien je vais être très clair, je vous veux et je n'aime pas partager ce qui est à moi .

- Puisque vous êtes clair, moi aussi je vais l'être : je n'appartient à personne , je suis maître de moi .

- Tu en es sur ?

Il attrape ma nuque, force ma tête à se pencher , je me retrouve le menton en l'air, il se penche lentement, prenant tout son temps, et moi je reste là à attendre qu'il m'embrasse, au moment où je pense qu'il va poser ses lèvres sur les miennes , il dépose un bisou sur ma tempe.et il me dit comme rien n'était :

- Tu es libre qu'elle jour de la semaine pour que l'on puisse lire et signer le contrat ? 

- Vous, quelle jour vous conviendrait ?

- Honneur au femme .

- Aujourd'hui c'est mercredi donc , le vendredi matin me conviendrait .

- Et si on mettait ça à Vendredi soir pour être plus décontracté. Je viendrai tu chercher, à 20 h, et tu n'as pas répondu à ma question qu'est ce qu'il y a entre vous ?

- Que feriez-vous si je ne répond pas ? 

- Il se penche à mon oreille, l 'effleurant au passage :

- Je te donnerai des fessées .

Je ferme les yeux imaginant la scène, c'est un déluge dans ma petite culotte.

- Alors ?

- Il n'y a rien entre nous .

- Tant mieux, cela m'évitera de tuer quelqu'un .

- je vais prendre congés de vous et je préfère le vendredi matin au soir. Je ne sort pas avec mes clients.

- Nous ne sortons pas ensemble, c'est un dîner d'affaires. Alors à vendredi soir.

Au moment où je m'apprête à sortir il 

m' attrape par le bras, me colle à lui dans un baisé fougueux, il m'embrasse avec passion, sa langue trouve la mienne dans une danse endiablée. Quand on se sépare, nous sommes à bout de souffle.

- c'est pour que tu penses à moi jusqu'au vendredi , fais attention en rentrant.

Je le regarde, et pour enlever la honte de mettre laisser embrasser si facilement, je lève la main dans l'intention de le gifler, mais il saisit ma main et récupère l'autre bras, sans rien comprendre, je me retrouve les bras derrière le dos et moi coller encore à lui dans un baisé brute, il me punis pour avoir essayé de le gifler, quand il lâche mes lèvres c'est pour me dire d'une voix roque :

- Je déteste les menteurs, mais ce que je déteste plus que les menteurs c'est ceux qui se mentent à eux-même, qui refusent d'avouer leurs besoins , et je sais que tu me veux autant que moi, alors pas de faux semblant avec moi. Rentre maintenant.

Je sors de son bureau toute fâchée, il se prend pour qui ? pour l'embrasser comme ça, ce si beau baiser, j' effleure mes lèvres, en souriant. Il est si beau si grand avec son 1,92 m , ses larges épaules et ses cheveux châtains si soignés , avec un visage trop beau , comme un model , il est trop arrogant à mon goût.

Il se prend pour qui ?

je me dirige vers Patrick,pour qu'on y aille . Arrivé à l'entrée, près de la secrétaire je prends mon téléphone et demande à Patrick s'il a dans les dossiers le numéro du PDG, Il me répond par l'affirmatif, je prends le numéro et appelle :

- Pour une entreprise aussi grande que la vôtre, vos employés laissent à désirer, l'accueil est à revoir .

- vos désirs sont des ordres ma chérie.

- Je ne vous ai rien demandé, monsieur.

Je continue mon chemin quand j'entends le téléphone de la secrétaire sonnée, elle décroche et je vois le désespoir sur son visage, ses larmes coulent, je l'entends dire :

- Pardonnez-moi monsieur, cela ne se reproduira plus .

je la vois pleurer , et commencer à ranger ses affaires.

Nous montons dans notre véhicule pour le bureau.

- Je vois que tes lèvres sont rouges et gonflées, ne me dis pas que vous avez fait ce à quoi je pense ?

- Et tu penses à quoi là ?

- Que vous vous êtes embrassés . Non ...ne me dis pas que ? hooo my god.

Nous sommes dans la ville de New York , il y a toujours des embouteillages, nous quittons "Time Square " pour mon QG , pour continuer la préparation d' une soirée d'inauguration d'un nouveau restaurant.

Après le boulot, je rejoins mon meilleur ami " Drake" pour boire un verre.

- Bonsoir mon ange ? 

On se fait la bise.

- Bonsoir "Didi" ( il a horreur que je l'appelle ainsi);Alors, et le boulot ? 

- J'ai signé un nouveau contrat juteux.

- wahou, à nous la richesse...

On rigole ensemble ,on se connait depuis les bancs, c'était un de mes meilleurs amis, on est devenu plus proche quand ma sois disant 'meilleure' amies à couché avec mon copain de l'époque, celui à qui j'ai donné ma virginité. Il m'a beaucoup soutenu à l'époque . Depuis lors nous sommes inséparables. Mon portable sonne, un numéro inconnu ,je décroche : 

- Amanda Brown, bonsoir ?

- Qui est cet homme assis à côté de toi ?

Je reconnais la voix, mais fais comme je ne savais qui s'était.

- Qui êtes-vous ?

- Tu sais très bien qui , je suis, qui est ce bonhomme ? 

- Je ne vois pas en quoi ça vous regarde.

- Ne me pousse à bout, tu n'aimeras ce qui va en découdre.

- C'est mon meilleur ami.

- Dis-lui de ne plus te faire de bise .

Et il raccroche, what ? Mais c'était quoi ça ? Drake me regarde, aillant suivi la conversation, me demande :

- C'était qui ?

- Le PDG de 'Mendes' , il me demande qui tu es et de te faire dire de ne pas me faire des bises .

- Quoi, le milliardaire le plus recherché de tous les temps , tu vas tout me raconter .

- j'étais dans son bureau ce matin, pour un rendez-vous de travail qui va se conclure par la signature d'un contrat le vendredi . Dès que nous nous sommes vus,il y a eut une attraction entre à la quelle j'ai pas pu résister,lui non plus, on s'est embrassé. Et depuis lors, il pense que je lui appartient. 

- Je vois, et si on décidait de le rendre jaloux . J'appelle 'Franky' pour lui expliquer la situation ? on va trouver une solution pour le rendre plus jaloux.

Il faut qu'il connaisse la valeur de la femme qui est devant moi.

- hooo arrêt de me charrier. Je vais rentrer ,la journée à été longue.