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Chapitre 517

Penulis: Ursule Joly
« Janine, ça va ? » Janine est revenue à elle et a répondu en souriant : « Oui. » Bruno l'a regardée et a dit : « Tout à l'heure, il y aura une vente aux enchères caritative. Si tu veux quelque chose, prends-le sans t'inquiéter pour l'argent. » Janine le regardait avec un sourire en coin : « Ah, je me souviens que tu m'avais dit que tu travailles dans l'immobilier, non ? » Bruno a toussé légèrement : « J'ai juste dit que je travaillais dans l'immobilier, c'est toi qui as décidé que je suis vendeur de maisons. »

Janine a tourné ensuite son regard vers ses autres frères : « Deuxième frère, programmeur ? »

Franck a répondu sérieusement : « Janine, permets-moi de me présenter correctement, je suis le propriétaire de XX Technologie. »

« Oh mon Dieu, ce célèbre jeu en ligne, c'est ta société qui l'a développé, n'est-ce pas ? »

Janine s'est touchée légèrement la bouche, un peu incrédule.

Cyril est intervenu immédiatement pour clarifier : « L'histoire du vétérinaire, c'est une invention de gr
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    Sa belle-sœur a souri doucement : « Ce n’est pas grave, Janine, un numéro représente l’identité de chacun. Tu peux acheter six parts, et nous nous en chargeons. »« Mais moi … »« Prends-les, tes frères sont tellement pleins de remords qu’ils seraient prêts à te donner leur cœur. Si tu n’en choisis qu’un, tu crois qu’ils ne se disputeraient pas ? Pour l’harmonie de la famille, je te conseille d’en acheter six, c’est plus équitable ! »Janine, perplexe, se retrouvait avec des points d’interrogation plein la tête.Elle n’avait entendu parler que d’acheter un cadeau pour chaque personne afin d’être juste, mais là, il s’agissait de dépenser de l’argent … Et il fallait que chacun contribue pour que ce soit « équitable » ?Elle a jeté un coup d’œil à ses frères. Tous hochaient la tête avec approbation.Bruno, l’aîné, a fait un geste grandiloquent : « Janine, ton grand frère est plus riche, dépense un peu plus de mon argent. »Son deuxième cousin, Benjamin, a toussoté légèrement : « Janine, l

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    Les six frères de Janine se sont levés tous en même temps, dégageant une aura imposante.La suiveuse, en voyant cela, a affiché une expression légèrement mal à l’aise, mêlée de confusion. Ces hommes n’étaient-ils pas les frères de Carole ? Pourquoi Carole n’était-elle pas là, alors que Janine occupait maintenant cette place ? C’était vraiment étrange ! À ce moment-là, le directeur, voyant que la situation tournait mal, a envisagé d’intervenir en expliquant que Janine était l’épouse de Paulin, et que, en tant que femme de Paulin, elle n’avait aucun problème d’argent.Mais il a été immédiatement arrêté par un regard de la famille Leclerc.Le directeur a refermé la bouche, réalisant à quel point ces gens de la famille Leclerc étaient intimidants.« Janine, passe-moi le micro », a demandé l’aîné, Janine a jeté un coup d’œil à son grand frère et, obéissante, lui a tendu le micro.Bruno l'a pris et a regardé directement la fille qui avait cherché à provoquer : « L’argent de Janine vient de

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    Tout est fini, complètement fini.Janine a regardé la fille au visage livide, mais elle n'a ressenti aucune pitié. Après tout, si ce n’était pas son statut qui l’avait protégée aujourd’hui, celle qui aurait été harcelée et calomniée, c’était elle-même.Tout à coup, elle a aperçu Paulin entrer. Cet homme avait un bandage autour du bras, et son teint semblait aussi pâle.Elle ne s’attendait pas à ce que Paulin revienne si vite de l’hôpital. Non, en fait, vu la distance entre l’hôpital et l’école, c’était impossible qu’il soit revenu en si peu de temps. À moins qu’il ne soit jamais allé à l’hôpital et qu’il se soit rendu directement à l’infirmerie de l’école !Lorsque Paulin a apparu, ses traits remarquables et son apparence ont attiré immédiatement l’attention de nombreuses personnes. Il s'est dirigé directement vers la rangée des sièges réservés aux invités d’honneur et s’est assis à côté de ses frères aînés.Le directeur, en voyant cela, s'est dépêché de prendre la parole : « La vente

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    Les mots de Paulin ont mis instantanément le feu aux poudres dans le cœur des cinq frères !Denis s’est avancé et a attrapé violemment la cravate de Paulin : « Tu veux mourir ou quoi ? Janine n’est plus l’orpheline que tu pouvais maltraiter comme bon te semble ! Elle est maintenant la fille de la famille Leclerc ! »« Exactement ! Paulin, tu crois que parce que la famille Cordier est riche, la famille Leclerc ne l’est pas ? Crois-moi, je peux te noyer sous une pluie d’argent si nécessaire ! »Le visage de Paulin est resté impassible, mais la blessure à son bras fut tirée dans le mouvement, et du sang a commencé immédiatement à imbiber le bandage.L’assistant de l'homme, Lucien, en voyant cela, est devenu livide et s’est empressé de dire : « Monsieur Denis, notre patron est blessé au bras. Il s’est blessé en sauvant sa femme Janine … euh … Janine ! Ne le frappez pas, s’il vous plaît ! »Franck a haussé un sourcil et a rétorqué froidement : « Quelle “ femme ” ? Ferme-la ! Ils sont déjà d

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    Pour ne pas causer de problèmes à sa tante, Janine a décidé de ne rien dire pour le moment.Elle a sorti son téléphone et a envoyé un message à son amie proche, Madeleine : « Chérie, je suis déjà partie. Tout s’est passé si vite aujourd’hui, laisse-moi digérer tout ça, et je te proposerai de sortir manger un jour prochain. »Madeleine a répondu immédiatement : « Je comprends tout à fait. Aujourd’hui ressemblait à un rêve : ma meilleure amie est devenue une fille riche et élégante ! J’ai l’impression que je vais atteindre les sommets de ma vie rien qu’en étant à tes côtés ! »Voyant que son amie n’était pas contrariée, Janine a poussé un soupir de soulagement. Elle a réalisé qu’elle était partie si précipitamment qu’elle avait oublié que Madeleine était encore dans la grande salle.De retour à la maison, le groupe a commencé à discuter des préparatifs pour emmener sa tante dîner à l’extérieur.Cependant, en arrivant devant la maison, Janine a remarqué plusieurs grands sacs en toile pos

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    En voyant l’expression jalouse de la tante cadette, Janine a fait exprès de dire à sa grande tante : « Au fait, puisque nous sortons manger aujourd’hui, mets donc ton bracelet. On ne te voit jamais le porter. »La grande tante a souri : « Je travaille à l’épicerie tous les jours, il n’y a pas vraiment d’occasion pour le porter. Et si je l’abîme ou l’ébrèche, je serais vraiment triste. »« Justement, aujourd’hui tu sors pour dîner et tu n’as pas à travailler. Si ce n’est pas aujourd’hui, alors quand ? »La belle-sœur Donatienne a intervenu également : « Exactement, sortez-le et portez-le, qu’on admire le cadeau que Janine vous a acheté. »Finalement, la grande tante a cédé et est allée dans sa chambre chercher le bracelet.Janine a échangé un regard complice avec sa belle-sœur, qui avait compris son intention.Peu de temps après, la grande tante est sortie en portant le bracelet de jade. En le voyant, la tante cadette a senti un pincement au cœur :« C’est Janine qui l’a acheté ? Il es

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    « Janine, ton cousin travaille maintenant dans la livraison, il connaît bien ce domaine. »Ah, alors le cousin livre des colis, pas étonnant qu’il ait trouvé où vit la grande tante.Quelle erreur !Ces deux femmes, dans l’ascenseur tout à l’heure, n’essayaient-elles pas clairement de demander de l’argent à la grande tante ?Janine ne prêtait même pas attention à ces paroles. Sa grande tante, étant une personne honnête, ne comprenait pas les sous-entendus.Finalement, les deux femmes étaient obligées de se taire, frustrées.La tante cadette a jeté un regard furtif au bracelet porté par sa sœur aînée, une lueur d’envie dans les yeux.Ce bracelet valait cent mille euros, si seulement il lui appartenait ...Lorsque les portes de l’ascenseur se sont ouvertes, tout le groupe est sorti.Janine a accompagné sa grande tante, ignorant complètement les deux femmes derrière elles.Dehors, six voitures étaient garées.Les cinq frères, en les voyant sortir, sont descendus des voitures et se sont ava

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    Janine a baissé silencieusement les yeux, faisant semblant de ne rien savoir.Sa tante, qui se tenait à côté d'elle, ne s'attendait probablement pas à une réponse aussi directe et s'est retrouvée un peu embarrassée : « De nos jours, qui parle encore de mariages arrangés entre familles de même rang social ? En plus, notre famille a bien rendu service à Janine à l'époque. Maintenant qu'elle a retrouvé une famille riche, elle voudrait nous abandonner ? »« Si je ne me trompe pas, les seules personnes qui ont réellement aidé Janine sont sa grand-tante et son oncle, pas vous. D'ailleurs, mes frères cherchent une femme qui soit bien leur égale, et au moins issue d'une famille avec des moyens convenables ! »La belle-sœur, Donatienne, a répondu d'une manière particulièrement franche, avec une pointe d’ironie.La tante, se sentant humiliée, a rougi instantanément et les larmes lui sont montées aux yeux : « Vous insinuez qu’on est pauvres ? Et alors ? Être riche vous donne tous les droits ? »L

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    Après avoir mangé ce morceau de pâtisserie, Janine a bu une gorgée d’eau. Elle a alors remarqué que Paulin la fixait sans détour.Ses yeux, longs et profonds, étaient rivés sur elle.Il ne disait rien, mais sous la lumière tamisée, ses traits ciselés paraissaient encore plus marqués.Son regard la mettait mal à l’aise. Elle a baissé les yeux et a murmuré : « Il se fait tard, tu devrais rentrer. »Elle l’a littéralement chassé de chez elle, sans même lui accorder un dernier regard.Elle ne voyait pas pourquoi elle devrait être aimable avec lui. Après tout, ils étaient divorcés maintenant. Peu importe ce qu’il faisait, elle s’en fichait complètement.Paulin a fini par se lever du canapé. Sa silhouette imposante s’est dressée sous la lumière, projetant une ombre longue sur le sol.L’espace, déjà exigu, paraissait encore plus étroit à cause de sa présence, son corps obstruant la lumière devant elle.Son ombre l’enveloppait, et son regard était à la fois sombre et insondable.Elle a senti s

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    Sérieux ? Il choisissait ce moment pour venir la perturber ?Peu de temps après, elle a cru entendre la sonnerie de la porte d’entrée.Janine s’est redressée d’un coup dans son lit.Il n’aurait quand même pas osé monter, si ?Elle a réfléchi un instant. Elle devait sûrement avoir mal entendu. Paulin ne viendrait pas jusqu’ici pour la voir !Mais elle a ensuite entendu qu’on frappait à la porte.Sans perdre une seconde, elle a ouvert la porte de sa chambre, juste à temps pour voir sa tante se diriger vers l’entrée.« Il est tard... C’est qui ? »« Tante Solène... »Elle a voulu l’arrêter, mais c’était trop tard.La porte s’est ouverte, révélant Paulin sur le seuil. Il portait un ensemble sportif gris, bien loin de son allure stricte et impénétrable en costume. Il avait l’air... plus accessible, plus ancré dans la vie quotidienne.Janine a esquissé un sourire gêné, mais poli. Ce salaud était vraiment monté jusqu’ici !Solène, en reconnaissant Paulin, a ouvert de grands yeux, stupéfaite.

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    Deux hommes se sont croisés dans le couloir. L’un affichait une maturité froide et impitoyable, tandis que l’autre dégageait une distance glaciale et détachée.L’atmosphère semblait d’un calme absolu.Alors qu’ils allaient se croiser, Paulin n’a pas pu s’empêcher de prendre la parole : « Elle et toi, ça ne marchera pas. »Un léger sourire a effleuré les lèvres d’André : « En tant qu’ex-mari, tu te mêles un peu trop de ce qui ne te regarde pas. »« Arrête ! »Paulin a pivoté légèrement, son regard perçant et glacial : « C’est un avertissement. De toute façon, ta famille n’acceptera jamais les enfants qu’elle porte. Elle est têtue, elle ira jusqu’au bout pour les garder. »« Non. Ma famille sera ravie d’accepter les enfants qu’elle porte. Parce que moi, je suis stérile. Je n’aurai jamais d’enfant. Si je l’épouse, j’aurai à la fois une femme et des enfants. Et en plus, ce sont des jumeaux. Ma mère ne va pas en revenir de joie. »D’un ton léger, André a lâché ces mots avant de tourner les

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    Si les autres frères l'apprenaient, elle ne pourrait probablement pas les retenir.Alors qu'elle s'apprêtait à répondre, elle a soudain remarqué le reflet sur la bouteille de vin rouge derrière elle – l'homme debout à la porte n'était autre que Paulin.Quelle coïncidence, sa salle privée était juste à côté ?Depuis combien de temps cet homme odieux se tenait-il là ?Janine a hésité un instant, puis a regardé André en face d'elle : « Parce que l'enfant n'est pas de lui. »En entendant cette réponse, une lueur de surprise a traversé le regard d'André, comme s'il ne croyait pas tout à fait ses paroles.Après avoir parlé, Janine a continué à surveiller du coin de l'œil le reflet sur la bouteille de vin.Peu de temps après, la silhouette s'est éloignée et est retournée à l'intérieur.Janine a poussé un léger soupir de soulagement. Pour l'instant, elle ne voulait pas que Paulin sache que l'enfant était de lui, car elle était déterminée à emmener l'enfant avec elle.Le repas était à moitié te

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    Quand Janine a vu Paulin, elle a soudain réalisé à quel point le monde était petit. Comment pouvait-elle le croiser ici, de toutes les places ?Paulin se tenait au milieu d'un groupe, sa haute stature et sa démarche assurée le rendant particulièrement remarquable.Mais quand il a aperçu Janine en compagnie d'un homme, son pas s'est légèrement décalé, et son regard s'est fixé intensément sur elle.En tant que grand patron, quand Paulin regardait quelque part, les autres suivaient naturellement son regard.Ses lèvres minces se sont serrées en une ligne froide. Pour être honnête, il était surpris de la voir ici.Mais ce qui l'a encore plus surpris, c'était de la voir dîner avec un homme inconnu.Son regard s'est immédiatement assombri. Chaque fois qu'il voyait un homme à ses côtés, son humeur devenait exécrable.L'atmosphère dans le hall est devenue étrangement tendue.Janine ne s'attendait pas à croiser Cet homme odieux ici. Elle a ignoré Paulin et s'est tournée vers André : « Allons-y.

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    « Parler dans le dos des gens, ce n’est pas très bien non plus, n’est-ce pas ? » a déclaré André.Janine a immédiatement senti un frisson lui parcourir le dos. Elle s’est retournée et a vu le beau médecin debout à l’entrée, appuyé contre le cadre de la porte, le regard pénétrant fixé sur elle.Elle ne s’attendait pas à se faire prendre sur le fait.Elle a forcé un sourire : « Euh... ce n’est pas ce que je voulais dire. En général, plus un médecin est strict, meilleur il est. »« Janine, ne le prends pas trop à cœur, il est toujours comme ça », a dit son frèreCyril a tapoté son épaule : « À propos, Janine, on sort dîner ce soir ? C’est rare que certains viennent en mission à Paris pour une semaine. Il a fait le déplacement pour me voir, alors je dois au moins l’inviter à manger. »« Tu n’es pas si important que ça. J’ai entendu dire que tu avais retrouvé ta sœur, alors je suis venu spécialement pour voir à quoi elle ressemble », a ajouté André.Janine a cligné des yeux. Il était venu s

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    Janine a réfléchi attentivement avant de répondre : « Il ne devrait pas y avoir de problème, Mamie. Y a-t-il quelque chose que tu aimerais que je fasse pour toi ? »« Cette opération était une question de vie ou de mort, et après avoir finalement quitté l'hôpital et commencé à récupérer, j'ai décidé d'organiser une petite fête pour célébrer cela. Je voudrais t'inviter, ainsi que tes frères, à y participer. Penses-tu qu'ils auront du temps ? » a demandé la vieille dame NadineJanine ne s'attendait pas à ce que la grand-mère de Paulin invite également ses frères à la fête.Cette image était si indescriptible qu'elle osait à peine y croire !Elle a hésité un moment : « Euh, Mamie, je devrais en parler à mes frères d'abord. Je te répondrai plus tard. »Après avoir raccroché, Janine était distraite pendant son petit-déjeuner.Comment allait-elle aborder ce sujet avec ses frères ?À midi, Janine a commencé à sentir un certain inconfort dans son ventre, comme si quelque chose le frappait.Inq

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    Josiane s’est empressée de parler : « Janine, en tant qu’anciennes camarades de classe, je t’en prie, pardonne-moi cette fois. Je n’oserai plus jamais. L’entreprise de ma famille a fait faillite, mon père a été emmené par des hommes, et si cela continue, nous n’aurons vraiment plus aucun recours. »« Et quand tu harcelais les autres, quand tu répandais des rumeurs malveillantes pour nuire aux autres, tu n’as jamais pensé que tu en arriverais là un jour ? »En voyant Josiane rester sans voix, Janine lui a lancé un regard froid : « Je te le répète, je ne te pardonnerai pas. »Elle allait partir, mais Josiane s’est agenouillée soudainement : « Janine, pardonne-moi cette fois, je m’excuserai publiquement dans le groupe des anciens élèves et je publierai un message épinglé sur mon réseau social. Je n’oserai plus jamais ! »« Lâche-moi ! Pourquoi est-ce que tu penses que tu peux harceler les autres quand tu veux, et maintenant que tu t’excuses, les autres doivent forcément te pardonner ? Le

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    Janine se tenait au bord de la route animée, le regardant attentivement.Autour d’eux, les passants allaient et venaient, nombreux à se retourner pour admirer l’apparence exceptionnelle de Paulin.La lumière des réverbères n’était pas très vive, et le regard de Paulin est devenu légèrement mal à l’aise. Il a répondu instinctivement : « Janine, tu es si narcissique ? »Après avoir prononcé ces mots, Paulin a serré immédiatement ses lèvres minces, éprouvant un certain regret.Janine a hoché la tête : « Puisque tu ne m’aimes pas, alors ne te montre pas si souvent à mes côtés et ne faites pas toutes ces choses gentilles pour moi. Ça me donne l’impression que tu es tombé amoureux de moi. »Paulin a avalé difficilement : « Je fais tout cela parce que ... parce que je veux te compenser. Ces trois dernières années, je t’ai vraiment négligée. »Janine n’était pas le genre de fille visant l’argent qu’il avait imaginée.Les yeux de Janine ont picoté, et un goût amer lui est venu à la bouche. Elle

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