Share

Chapitre 477

Author: Ursule Joly
Janine était au bord du désespoir, mais elle ne s’attendait pas à ce que Paulin apparaisse soudainement et chasse les deux inconnus.

À cet instant, ses émotions étaient mêlées.

Paulin a détourné légèrement le regard, un air un peu gêné sur le visage :

« Si quelque chose t’était arrivé, je n’aurais pas pu l’expliquer à grand-mère. »

En entendant cela, Janine a baissé les yeux pour dissimuler ses sentiments. Elle a forcé rapidement un sourire :

« Merci pour tout à l’heure. »

« Après tout, ce chéri ne peut pas être appelé en vain. »

Janine : « ... »

En sortant de la petite forêt tranquille et isolée, Janine a aperçu une voiture de sécurité garée non loin.

Deux hommes étaient en train d’être embarqués dans le véhicule, sous la pression des agents.

En les regardant de plus près, elle a réalisé que leurs tenues lui semblaient familières. Pourtant, avec leurs visages tuméfiés et leurs allures boiteuses, ils étaient méconnaissables et n’avaient plus rien de leur arrogance précédente.

Janine a
Patuloy na basahin ang aklat na ito nang libre
I-scan ang code upang i-download ang App
Locked Chapter

Kaugnay na kabanata

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 478

    Paulin ne voulait pas divorcer maintenant uniquement à cause de sa Mamie, pas parce qu’il l’aimait vraiment.En plus, Madame Pascaline ne l’aimait pas, et elle aimerait encore moins son enfant. Un enfant qui grandirait dans un tel environnement familial ne pourrait jamais être heureux.Paulin a tiré sur sa cravate et a baissé la fenêtre de la voiture pour laisser entrer le vent.Il ne s’attendait pas à perdre finalement.Elle avait choisi Cyril.Janine lui a jeté un coup d’œil furtif. Le profil de l’homme, sous le jeu d’ombre et de lumière, était difficile à distinguer clairement, mais elle pouvait sentir son mécontentement.Après tout, pour Paulin, ce fils prodigue de la fortune, il n’y avait que lui qui refusait les autres, jamais l’inverse.Après un moment, Paulin a fini par parler d’une voix froide : « Puisque tu as pris ta décision, tu devras toi-même en parler à Mamie. »Janine a hoché la tête : « Je sais. »Paulin, agacé, a arraché complètement sa cravate : « Et comment compte

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 479

    Janine a hésité un instant.En réalité, elle savait déjà depuis la veille tout ce que Lucienne avait fait.Elle a dit avec un certain malaise : « Je sais déjà que la personne qui a fait ce signalement anonyme, c’est Lucienne. »« Si ce n’était que ça, pourquoi est-ce que je serais venue te voir ? Une camarade de classe m’a raconté qu’elle avait vu Lucienne traîner avec une fille riche, et qu’elle exhibait récemment des sacs de marque et des produits de maquillage dans la résidence universitaire. Elle est devenue assez ostentatoire. »Une fille riche ? Instinctivement, Janine a pensé à Carole. Elle se demandait pourquoi Lucienne aurait agi de la sorte sans raison.Sa meilleure amie, Madeleine, a sorti son téléphone : « J’ai même cherché des photos pour vérifier, et c’est bien cette femme, la fille de la famille Leclerc qui veut te voler ton mari. »« Alors c’est Carole, comme je le pensais. »Quand Janine a vu la photo, elle l'a reconnue immédiatement.Cependant, pendant tout ce temps,

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 480

    Bruno, avec un visage impassible, a jeté un regard à Carole : « Où est la personne que tu as trouvée ? »« Elle est chez moi. Je vais vous y emmener tout de suite », a-t-elle réponduLes yeux de Carole ont scintillé d’une lueur sombre, mais elle a fait semblant d’être très enthousiaste et a conduit Bruno et les autres hors de l’aéroport.Ils se sont séparés ensuite pour monter dans leurs propres voitures.L’épouse de son frère aîné, a jeté un coup d'œil à son mari : « J’ai l’impression que cette soudaine initiative de Carole cache quelque chose. Je me demande bien ce qu’elle mijote. »« Peu importe ses intentions, nous le découvrirons sur place. »« C’est dommage que Janine ait perdu la mémoire de son enfance. Sinon, elle aurait sûrement su ce que Carole avait fait pour que nous ne la retrouvions pas à l’époque », a dit Donatienne sa femmeLes sourcils de Bruno se sont froncés profondément, formant une ligne sombre sur son front. Il regrettait amèrement d’avoir ramené Carole de l’orphe

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 481

    Janine se montrait un peu curieuse : « C’est quoi ce cadeau ? Tu peux au moins me donner un indice ? »Son cousin a répondu en secouant la tête avec un sourire énigmatique : « Si je te le dis maintenant, ce ne sera plus une surprise. Mais je te promets que tout sera révélé avant ton départ de la ville du Nord. »Ses cousins ont échangé un regard complice.Parmi eux, Cyril, Denis et Franck semblaient particulièrement mal à l’aise. L’aîné avait interrogé Cyril dès son arrivée sur la relation entre Janine et Paulin.Impossible de garder ce secret plus longtemps. Cyril a fini par lui révéler que Janine et Paulin étaient mariés en secret depuis trois ans. Cependant, il n'a pas mentionné la grossesse de Janine, respectant la volonté de sa sœur et son propre devoir de médecin.Ils sont tous tombés d’accord : lors du banquet suivant la cérémonie de remise des diplômes, ils annonceraient publiquement que Janine était en réalité une héritière de la famille Leclerc.Bruno a pris la parole avec

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 482

    À ce moment-là, le manager du magasin s’est approché avec un sourire professionnel : « Mesdames, mademoiselle Louise, y a-t-il un problème que je puisse résoudre pour vous ? »Louise s'est précipitée pour répondre :« Il y a quelqu’un ici qui utilise une carte de membre super VIP volée. Vous n’allez pas vérifier son identité ? »Le manager a pris la carte et s'est tourné poliment vers Janine : « Madame, cette carte est-elle enregistrée à votre nom ? »Janine a secoué calmement la tête :« Non, ce n’est pas à mon nom. »À ces mots, Louise a éclaté de rire : « Je l’avais dit, n’est-ce pas ? Janine a forcément volé cette carte ou bien elle l’a ramassée par terre. Elle ne sait même pas d’où elle vient ! »Madame Pascaline a affiché un sourire méprisant et a ajouté avec dédain :« Janine, un moineau reste un moineau. Peu importe combien tu essaies, tu ne deviendras jamais un cygne. »« Qui traites-tu de moineau ? »La porte de la cabine d’essayage s’est ouverte brusquement, laissant apparaî

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 483

    Janine s'est retournée, ses yeux reflétant une expression d'incrédulité. Elle savait que ce téléphone appartenait à sa belle-sœur.Alors, sa belle-sœur serait la propriétaire de cette carte ?Mais tout à l'heure, Louise avait dit que cette carte nécessitait une dépense annuelle d'au moins dix millions, ainsi que des justificatifs prouvant un statut social élevé. Ce n'était pas une carte que l'on pouvait posséder facilement.La famille de sa belle-sœur serait donc si riche ?Louise a affiché immédiatement un sourire moqueur : « Janine, vous n'auriez pas volé la carte de quelqu'un dans cette boutique, n'est-ce pas ? Maintenant que vous êtes prises sur le fait, voyons comment vous allez vous justifier. Le gérant a jeté un coup d'œil au téléphone vibrant sur le canapé. »Puis, elle a regardé une vendeuse : — Où est la propriétaire de ce téléphone ? Est-elle dans une cabine d'essayage ?À ce moment-là, la belle-sœur, Donatienne, s'est avancée, a pris le téléphone et l'a secoué légèrement

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 484

    Louise, les mots coincés dans la gorge, a fini par les ravaler. Elle n’avait aucune envie de révéler à sa tante que Janine était enceinte.Et si, par chance, sa tante acceptait Janine à cause de l’enfant, Louise serait bien incapable de rester dans la famille Cordier à l’avenir.Madame Pascaline, tremblant de colère, s’est écriée : « Janine, tu montres enfin ta vraie nature ! Je te le dis tout de suite, arrête de rêver. Une femme comme toi, sans famille ni position, n’est absolument pas digne de mon fils ! »« Très bien dit ! En effet, vous n’êtes pas du même monde ! », a ajouté LouiseDonatienne s'est levée pour protéger Janine, lançant un sourire glacial : « Vous osez parler de statut alors que vous n’avez même pas une carte de membre ici ? Avec quelle audace jouez-vous aux riches ? Grâce à votre épaisse couche de peau, peut-être ? Sachez que Janine n’a aucune envie de s’abaisser à rester avec vous, la famille Cordier ! »Madame Pascaline, toujours aussi arrogante, a répliqué : « Mo

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 485

    Plus Madame Pascaline y pensait, plus elle était en colère. En tant que femme influente de la famille Cordier, qui n’était pas respectueuse envers elle à Paris ?Elle n’avait jamais subi un tel affront auparavant !Si ce n’était pas parce que sa belle-mère, la vieille Madame Nadine, ait insisté pour dire que cette carte de membre ultra-privilégiée était trop luxueuse et inutile, elle l’aurait sûrement eue elle aussi, et elle ne se serait pas retrouvée humiliée par Janine aujourd’hui !Louise, également énervée, a acquiescé vivement : « Tatie, tu dois absolument expliquer la situation à mon cousin. Après tout, ce centre commercial appartient à notre famille Cordier. Comment une petite boutique peut-elle oser nous chasser ? C’est une insolence totale ! Il faut absolument que mon cousin ferme cette boutique et expulse Janine avec cette femme détestable ! »Louise était furieuse. Elle ne supportait pas de voir Janine aussi arrogante.Madame Pascaline pensait de la même façon. Comment une

Pinakabagong kabanata

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 573

    Après avoir mangé ce morceau de pâtisserie, Janine a bu une gorgée d’eau. Elle a alors remarqué que Paulin la fixait sans détour.Ses yeux, longs et profonds, étaient rivés sur elle.Il ne disait rien, mais sous la lumière tamisée, ses traits ciselés paraissaient encore plus marqués.Son regard la mettait mal à l’aise. Elle a baissé les yeux et a murmuré : « Il se fait tard, tu devrais rentrer. »Elle l’a littéralement chassé de chez elle, sans même lui accorder un dernier regard.Elle ne voyait pas pourquoi elle devrait être aimable avec lui. Après tout, ils étaient divorcés maintenant. Peu importe ce qu’il faisait, elle s’en fichait complètement.Paulin a fini par se lever du canapé. Sa silhouette imposante s’est dressée sous la lumière, projetant une ombre longue sur le sol.L’espace, déjà exigu, paraissait encore plus étroit à cause de sa présence, son corps obstruant la lumière devant elle.Son ombre l’enveloppait, et son regard était à la fois sombre et insondable.Elle a senti s

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 572

    Sérieux ? Il choisissait ce moment pour venir la perturber ?Peu de temps après, elle a cru entendre la sonnerie de la porte d’entrée.Janine s’est redressée d’un coup dans son lit.Il n’aurait quand même pas osé monter, si ?Elle a réfléchi un instant. Elle devait sûrement avoir mal entendu. Paulin ne viendrait pas jusqu’ici pour la voir !Mais elle a ensuite entendu qu’on frappait à la porte.Sans perdre une seconde, elle a ouvert la porte de sa chambre, juste à temps pour voir sa tante se diriger vers l’entrée.« Il est tard... C’est qui ? »« Tante Solène... »Elle a voulu l’arrêter, mais c’était trop tard.La porte s’est ouverte, révélant Paulin sur le seuil. Il portait un ensemble sportif gris, bien loin de son allure stricte et impénétrable en costume. Il avait l’air... plus accessible, plus ancré dans la vie quotidienne.Janine a esquissé un sourire gêné, mais poli. Ce salaud était vraiment monté jusqu’ici !Solène, en reconnaissant Paulin, a ouvert de grands yeux, stupéfaite.

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 571

    Deux hommes se sont croisés dans le couloir. L’un affichait une maturité froide et impitoyable, tandis que l’autre dégageait une distance glaciale et détachée.L’atmosphère semblait d’un calme absolu.Alors qu’ils allaient se croiser, Paulin n’a pas pu s’empêcher de prendre la parole : « Elle et toi, ça ne marchera pas. »Un léger sourire a effleuré les lèvres d’André : « En tant qu’ex-mari, tu te mêles un peu trop de ce qui ne te regarde pas. »« Arrête ! »Paulin a pivoté légèrement, son regard perçant et glacial : « C’est un avertissement. De toute façon, ta famille n’acceptera jamais les enfants qu’elle porte. Elle est têtue, elle ira jusqu’au bout pour les garder. »« Non. Ma famille sera ravie d’accepter les enfants qu’elle porte. Parce que moi, je suis stérile. Je n’aurai jamais d’enfant. Si je l’épouse, j’aurai à la fois une femme et des enfants. Et en plus, ce sont des jumeaux. Ma mère ne va pas en revenir de joie. »D’un ton léger, André a lâché ces mots avant de tourner les

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 570

    Si les autres frères l'apprenaient, elle ne pourrait probablement pas les retenir.Alors qu'elle s'apprêtait à répondre, elle a soudain remarqué le reflet sur la bouteille de vin rouge derrière elle – l'homme debout à la porte n'était autre que Paulin.Quelle coïncidence, sa salle privée était juste à côté ?Depuis combien de temps cet homme odieux se tenait-il là ?Janine a hésité un instant, puis a regardé André en face d'elle : « Parce que l'enfant n'est pas de lui. »En entendant cette réponse, une lueur de surprise a traversé le regard d'André, comme s'il ne croyait pas tout à fait ses paroles.Après avoir parlé, Janine a continué à surveiller du coin de l'œil le reflet sur la bouteille de vin.Peu de temps après, la silhouette s'est éloignée et est retournée à l'intérieur.Janine a poussé un léger soupir de soulagement. Pour l'instant, elle ne voulait pas que Paulin sache que l'enfant était de lui, car elle était déterminée à emmener l'enfant avec elle.Le repas était à moitié te

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 569

    Quand Janine a vu Paulin, elle a soudain réalisé à quel point le monde était petit. Comment pouvait-elle le croiser ici, de toutes les places ?Paulin se tenait au milieu d'un groupe, sa haute stature et sa démarche assurée le rendant particulièrement remarquable.Mais quand il a aperçu Janine en compagnie d'un homme, son pas s'est légèrement décalé, et son regard s'est fixé intensément sur elle.En tant que grand patron, quand Paulin regardait quelque part, les autres suivaient naturellement son regard.Ses lèvres minces se sont serrées en une ligne froide. Pour être honnête, il était surpris de la voir ici.Mais ce qui l'a encore plus surpris, c'était de la voir dîner avec un homme inconnu.Son regard s'est immédiatement assombri. Chaque fois qu'il voyait un homme à ses côtés, son humeur devenait exécrable.L'atmosphère dans le hall est devenue étrangement tendue.Janine ne s'attendait pas à croiser Cet homme odieux ici. Elle a ignoré Paulin et s'est tournée vers André : « Allons-y.

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 568

    « Parler dans le dos des gens, ce n’est pas très bien non plus, n’est-ce pas ? » a déclaré André.Janine a immédiatement senti un frisson lui parcourir le dos. Elle s’est retournée et a vu le beau médecin debout à l’entrée, appuyé contre le cadre de la porte, le regard pénétrant fixé sur elle.Elle ne s’attendait pas à se faire prendre sur le fait.Elle a forcé un sourire : « Euh... ce n’est pas ce que je voulais dire. En général, plus un médecin est strict, meilleur il est. »« Janine, ne le prends pas trop à cœur, il est toujours comme ça », a dit son frèreCyril a tapoté son épaule : « À propos, Janine, on sort dîner ce soir ? C’est rare que certains viennent en mission à Paris pour une semaine. Il a fait le déplacement pour me voir, alors je dois au moins l’inviter à manger. »« Tu n’es pas si important que ça. J’ai entendu dire que tu avais retrouvé ta sœur, alors je suis venu spécialement pour voir à quoi elle ressemble », a ajouté André.Janine a cligné des yeux. Il était venu s

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 567

    Janine a réfléchi attentivement avant de répondre : « Il ne devrait pas y avoir de problème, Mamie. Y a-t-il quelque chose que tu aimerais que je fasse pour toi ? »« Cette opération était une question de vie ou de mort, et après avoir finalement quitté l'hôpital et commencé à récupérer, j'ai décidé d'organiser une petite fête pour célébrer cela. Je voudrais t'inviter, ainsi que tes frères, à y participer. Penses-tu qu'ils auront du temps ? » a demandé la vieille dame NadineJanine ne s'attendait pas à ce que la grand-mère de Paulin invite également ses frères à la fête.Cette image était si indescriptible qu'elle osait à peine y croire !Elle a hésité un moment : « Euh, Mamie, je devrais en parler à mes frères d'abord. Je te répondrai plus tard. »Après avoir raccroché, Janine était distraite pendant son petit-déjeuner.Comment allait-elle aborder ce sujet avec ses frères ?À midi, Janine a commencé à sentir un certain inconfort dans son ventre, comme si quelque chose le frappait.Inq

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 566

    Josiane s’est empressée de parler : « Janine, en tant qu’anciennes camarades de classe, je t’en prie, pardonne-moi cette fois. Je n’oserai plus jamais. L’entreprise de ma famille a fait faillite, mon père a été emmené par des hommes, et si cela continue, nous n’aurons vraiment plus aucun recours. »« Et quand tu harcelais les autres, quand tu répandais des rumeurs malveillantes pour nuire aux autres, tu n’as jamais pensé que tu en arriverais là un jour ? »En voyant Josiane rester sans voix, Janine lui a lancé un regard froid : « Je te le répète, je ne te pardonnerai pas. »Elle allait partir, mais Josiane s’est agenouillée soudainement : « Janine, pardonne-moi cette fois, je m’excuserai publiquement dans le groupe des anciens élèves et je publierai un message épinglé sur mon réseau social. Je n’oserai plus jamais ! »« Lâche-moi ! Pourquoi est-ce que tu penses que tu peux harceler les autres quand tu veux, et maintenant que tu t’excuses, les autres doivent forcément te pardonner ? Le

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 565

    Janine se tenait au bord de la route animée, le regardant attentivement.Autour d’eux, les passants allaient et venaient, nombreux à se retourner pour admirer l’apparence exceptionnelle de Paulin.La lumière des réverbères n’était pas très vive, et le regard de Paulin est devenu légèrement mal à l’aise. Il a répondu instinctivement : « Janine, tu es si narcissique ? »Après avoir prononcé ces mots, Paulin a serré immédiatement ses lèvres minces, éprouvant un certain regret.Janine a hoché la tête : « Puisque tu ne m’aimes pas, alors ne te montre pas si souvent à mes côtés et ne faites pas toutes ces choses gentilles pour moi. Ça me donne l’impression que tu es tombé amoureux de moi. »Paulin a avalé difficilement : « Je fais tout cela parce que ... parce que je veux te compenser. Ces trois dernières années, je t’ai vraiment négligée. »Janine n’était pas le genre de fille visant l’argent qu’il avait imaginée.Les yeux de Janine ont picoté, et un goût amer lui est venu à la bouche. Elle

Galugarin at basahin ang magagandang nobela
Libreng basahin ang magagandang nobela sa GoodNovel app. I-download ang mga librong gusto mo at basahin kahit saan at anumang oras.
Libreng basahin ang mga aklat sa app
I-scan ang code para mabasa sa App
DMCA.com Protection Status