Share

Chapitre 481

Auteur: Ursule Joly
Janine se montrait un peu curieuse : « C’est quoi ce cadeau ? Tu peux au moins me donner un indice ? »

Son cousin a répondu en secouant la tête avec un sourire énigmatique : « Si je te le dis maintenant, ce ne sera plus une surprise. Mais je te promets que tout sera révélé avant ton départ de la ville du Nord. »

Ses cousins ont échangé un regard complice.

Parmi eux, Cyril, Denis et Franck semblaient particulièrement mal à l’aise. L’aîné avait interrogé Cyril dès son arrivée sur la relation entre Janine et Paulin.

Impossible de garder ce secret plus longtemps.

Cyril a fini par lui révéler que Janine et Paulin étaient mariés en secret depuis trois ans.

Cependant, il n'a pas mentionné la grossesse de Janine, respectant la volonté de sa sœur et son propre devoir de médecin.

Ils sont tous tombés d’accord : lors du banquet suivant la cérémonie de remise des diplômes, ils annonceraient publiquement que Janine était en réalité une héritière de la famille Leclerc.

Bruno a pris la parole avec
Chapitre verrouillé
Continuer la lecture sur GoodNovel
Scanner le code pour télécharger l'application
Commentaires (2)
goodnovel comment avatar
Genevieve Boa
passionnant je ne peux même plus m'en passer.
goodnovel comment avatar
Rakotonomenjanahary Bakoliaritiana
roman très passionnant, vivement la suite
VOIR TOUS LES COMMENTAIRES

Related chapter

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 482

    À ce moment-là, le manager du magasin s’est approché avec un sourire professionnel : « Mesdames, mademoiselle Louise, y a-t-il un problème que je puisse résoudre pour vous ? »Louise s'est précipitée pour répondre :« Il y a quelqu’un ici qui utilise une carte de membre super VIP volée. Vous n’allez pas vérifier son identité ? »Le manager a pris la carte et s'est tourné poliment vers Janine : « Madame, cette carte est-elle enregistrée à votre nom ? »Janine a secoué calmement la tête :« Non, ce n’est pas à mon nom. »À ces mots, Louise a éclaté de rire : « Je l’avais dit, n’est-ce pas ? Janine a forcément volé cette carte ou bien elle l’a ramassée par terre. Elle ne sait même pas d’où elle vient ! »Madame Pascaline a affiché un sourire méprisant et a ajouté avec dédain :« Janine, un moineau reste un moineau. Peu importe combien tu essaies, tu ne deviendras jamais un cygne. »« Qui traites-tu de moineau ? »La porte de la cabine d’essayage s’est ouverte brusquement, laissant apparaî

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 483

    Janine s'est retournée, ses yeux reflétant une expression d'incrédulité. Elle savait que ce téléphone appartenait à sa belle-sœur.Alors, sa belle-sœur serait la propriétaire de cette carte ?Mais tout à l'heure, Louise avait dit que cette carte nécessitait une dépense annuelle d'au moins dix millions, ainsi que des justificatifs prouvant un statut social élevé. Ce n'était pas une carte que l'on pouvait posséder facilement.La famille de sa belle-sœur serait donc si riche ?Louise a affiché immédiatement un sourire moqueur : « Janine, vous n'auriez pas volé la carte de quelqu'un dans cette boutique, n'est-ce pas ? Maintenant que vous êtes prises sur le fait, voyons comment vous allez vous justifier. Le gérant a jeté un coup d'œil au téléphone vibrant sur le canapé. »Puis, elle a regardé une vendeuse : — Où est la propriétaire de ce téléphone ? Est-elle dans une cabine d'essayage ?À ce moment-là, la belle-sœur, Donatienne, s'est avancée, a pris le téléphone et l'a secoué légèrement

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 484

    Louise, les mots coincés dans la gorge, a fini par les ravaler. Elle n’avait aucune envie de révéler à sa tante que Janine était enceinte.Et si, par chance, sa tante acceptait Janine à cause de l’enfant, Louise serait bien incapable de rester dans la famille Cordier à l’avenir.Madame Pascaline, tremblant de colère, s’est écriée : « Janine, tu montres enfin ta vraie nature ! Je te le dis tout de suite, arrête de rêver. Une femme comme toi, sans famille ni position, n’est absolument pas digne de mon fils ! »« Très bien dit ! En effet, vous n’êtes pas du même monde ! », a ajouté LouiseDonatienne s'est levée pour protéger Janine, lançant un sourire glacial : « Vous osez parler de statut alors que vous n’avez même pas une carte de membre ici ? Avec quelle audace jouez-vous aux riches ? Grâce à votre épaisse couche de peau, peut-être ? Sachez que Janine n’a aucune envie de s’abaisser à rester avec vous, la famille Cordier ! »Madame Pascaline, toujours aussi arrogante, a répliqué : « Mo

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 485

    Plus Madame Pascaline y pensait, plus elle était en colère. En tant que femme influente de la famille Cordier, qui n’était pas respectueuse envers elle à Paris ?Elle n’avait jamais subi un tel affront auparavant !Si ce n’était pas parce que sa belle-mère, la vieille Madame Nadine, ait insisté pour dire que cette carte de membre ultra-privilégiée était trop luxueuse et inutile, elle l’aurait sûrement eue elle aussi, et elle ne se serait pas retrouvée humiliée par Janine aujourd’hui !Louise, également énervée, a acquiescé vivement : « Tatie, tu dois absolument expliquer la situation à mon cousin. Après tout, ce centre commercial appartient à notre famille Cordier. Comment une petite boutique peut-elle oser nous chasser ? C’est une insolence totale ! Il faut absolument que mon cousin ferme cette boutique et expulse Janine avec cette femme détestable ! »Louise était furieuse. Elle ne supportait pas de voir Janine aussi arrogante.Madame Pascaline pensait de la même façon. Comment une

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 486

    Et en plus, la famille de Janine a semblé posséder cette carte de super-membre. D'après ce que Louise a murmuré tout à l'heure, la sœur de Janine était bien la propriétaire de cette carte. Il n'y a pas de question de vol ou de carte trouvée.Cela signifie que la famille de Janine était vraiment très riche !C’était pour ça que cette femme semblait soudainement pleine de confiance, elle a retrouvé sa famille. Une si bonne nouvelle, pourquoi devait-elle la cacher ? Si la grand-mère savait cela, elle serait sûrement très heureuse.Paulin se sentait de plus en plus exclu, comme si quelque chose lui avait été caché.« Fils, tu m’écoutes ? Je t'ai dit de faire sortir Janine du centre commercial ! », a-t-elle demandé. Paulin s'est massé les tempes, agacé : « Maman, vous savez très bien comment fonctionnent les cartes de membres des grandes marques. Quand vous demandiez à expulser des clients de niveau inférieur, vous n'aviez jamais pensé à leur niveau de membre, n'est-ce pas ? »Madame Pas

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 487

    Janine regardait sa belle-sœur en face d'elle, elle avait l'impression que tout cela n'était pas réel.Surtout lorsque sa belle-sœur avait sorti cette carte de membre premium et avait donné une gifle, c'était tellement cool.Sa belle-sœur, Donatienne, a toussé légèrement : « Alors, tes frères, leur entreprise ne va-t-elle pas bien récemment ? Ils sont tous cotés en bourse maintenant. Avant, j'avais même utilisé ma dot pour les aider à démarrer, et maintenant qu'ils m'ont retourné un peu d'argent, c'est bien mérité. »« L'entreprise de mes frères va aussi bien ? »Janine sentait que quelque chose n'était pas tout à fait juste, mais elle ne pouvait pas mettre le doigt dessus.Sa belle-sœur Donatienne semblait ne pas tenir longtemps et allait bientôt tout avouer, mais au moment où elle allait parler, le téléphone de Janine a vibré. Elle l'a ouvert et vuque c'était un message de Paulin : 【Tu as acheté les vêtements ?】Janine, en voyant le message de Paulin, a deviné immédiatement que c'éta

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 488

    « Tu es vraiment trop gentille. Ça fait mal au cœur de te voir comme ça. Ne t'inquiète pas, lors du dîner de ce week-end, toute notre famille te soutiendra ! », a-t-elle dit. La grande sœur Donatienne a serré secrètement les dents, ayant entendu dire qu'il y aurait une vente aux enchères caritative pendant le dîner.C'était un événement organisé par la famille Cordier, et elle devait absolument montrer à la famille Cordier qui est le patron !Ce coup-là, son frère ne le supporterait pas, et encore moins sa belle-sœur.Janine pensait que la grande sœur avait abandonné, c'est pourquoi elle a soufflé enfin : « Les vêtements sont déjà achetés, rentrons. »« D'accord, allons payer ! »En même temps, Janine a vu que sa grande sœur avait acheté beaucoup de vêtements. Acheter ces grandes marques semblait aussi simple que d'acheter des choux, comme si cela n'avait rien d'exceptionnel.Elle a ressenti à nouveau cette étrange sensation, mais après tout, son grand frère et eux avaient gagné beau

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 489

Latest chapter

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 516

    Lorsque Janine a dit cela, elle a jeté un regard à ses frères devant elle : « Mais maintenant, je ne m'inquiète plus de ces choses, ce qui est passé est passé. Au moins, je sais que je n'ai pas été abandonnée, ma famille n'a jamais cessé de chercher mes traces. C'est suffisant pour moi. »Elle n'était pas seule, elle était aimée par sa famille.Vraiment, elle n'avait rien à regretter !Bruno a senti les larmes lui monter aux yeux et a dit d'une voix étranglée : « Janine, tu es vraiment trop gentille et raisonnable. »Il le savait, sa petite sœur était la personne la plus gentille, la plus adorable et la plus sage au monde !Janine a souri et répondu : « Allez, on y va, participons au dîner de fin d'année. Bien que je n'aie jamais eu de famille pour venir à mes réunions parents-professeurs quand j'étais petite, j'ai de la famille qui est venue à ma remise de diplôme, et ça me rend vraiment heureuse. »Les six hommes ont tous rougi, leur regard devenant légèrement humide. C'était bien sû

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 515

    Janine a entendu cela et a commencé à comprendre ce qui s'était réellement passé à l'orphelinat.Il semblerait que Carole, sachant que la personne que son frère cherchait c’était elle, avait choisi de mentir et de cacher la vérité, la remplaçant pour revenir dans la famille Leclerc en tant que fille adoptive, menant une vie de riche héritière.Bruno regrettait profondément.Il a fixé froidement Carole et a dit : « La famille Leclerc va poursuivre cette affaire. Prépare-toi à aller en prison. »Madame Pascaline, également furieuse, a ajouté : « Et concernant l'incident où mon fils a été blessé, je vais m'assurer que justice soit faite. Elle n'arrivait pas à croire que Carole ait osé sortir un couteau, blessant ainsi son fils.Madame Pascaline était convaincue que Carole était une folle.Heureusement que c'est Janine qui a épousé sa famille, et non cette femme folle qu'était Carole !Elle a commencé à crier, alternant entre rires et pleurs, se comportant comme une véritable folle.Bruno

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 514

    « Pas besoin, je vais juste passer à l’infirmerie de l’université pour un simple soin », a répondu Paulin d’un ton ferme, le visage impassible.« Je dois encore assister à un événement plus tard. »Ce qui comptait surtout, c’était que Janine devait monter sur scène aujourd’hui, et il ne voulait pas manquer ça.Il avait un pressentiment : si jamais il partait aujourd’hui, il deviendrait très difficile de revoir Janine à l’avenir.Jamais il n’aurait imaginé que Janine était la véritable fille de la famille Leclerc !Elle lui semblait de plus en plus distante.Janine a perçu une sorte de mélancolie dans le regard qu’il lui lançait, un sentiment de réticence à la laisser partir ?Elle a pensé immédiatement qu’elle devait se tromper. Comment Paulin pourrait-il ressentir de l’attachement envers elle ?Baissant les yeux, elle a murmuré :« Je pense aussi qu’aller à l’hôpital serait mieux. »« Oui, mon fils, tu vois, même Janine le dit ! Elle se soucie tellement de toi, alors va à l’hôpital,

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 513

    Janine a levé les yeux et a croisé le regard de Paulin. Soudain, elle a réalisé quelque chose.C’est vrai, Cet homme avait toujours mal compris la relation qu’elle entretenait avec son troisième frère, pensant que l’enfant qu’elle portait était celui de ce dernier.À l’époque, pour faciliter son divorce, elle n’avait pas démenti cette idée.Mais maintenant que Paulin savait que Cyril était son frère, il devait se rendre compte qu’elle avait menti, et commencerait probablement à se demander qui était le père de l’enfant qu’elle portait.Tout à coup, une bataille intérieure a fait rage dans l’esprit de Janine !Elle ne voulait pas révéler sa grossesse à ce moment précis, encore moins admettre que l’enfant qu’elle portait était celui de Paulin.Quelques jours plus tôt, pour obtenir son divorce, elle avait menti à la grand-mère de Paulin en disant qu’elle n’attendait pas d’enfant.Si la grand-mère venait à apprendre la vérité, elle serait certainement blessée.L’esprit de Janine s'est mis

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 512

    Puisque Janine est vraiment la fille aînée de la famille Leclerc, c’est une bonne nouvelle pour tout le monde !Louise a acquiescé également : « Oui, oui, Janine, oh pardon, ma belle-sœur ! »Janine a ressenti pour la première fois la différence apportée par son identité et son statut.La dernière fois qu’elle était allée au centre commercial, elle se souvenait encore très bien de l’expression hautaine de Madame Pascaline et de Louise ...C’est dommage qu’elle ne soit pas aussi mesquine !Elle a baissé les yeux et répondu avec un sourire qui n’en était pas vraiment un : « Désolée, mais je ne fais plus partie de la famille Cordier. Après tout, j’ai déjà divorcé de Paulin. »Après avoir dit cela, elle a senti le regard perçant de Paulin se poser sur elle.Elle a redressé son dos, désormais soutenue par sa propre famille, qu’avait-elle à craindre ?Madame Pascaline a semblé soudainement un peu paniquée : « Mon fils, tu as divorcé de Janine quand ? Vous n’aviez pas traîné pour régler les f

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 511

    En entendant les paroles de son sixième cousin, Janine a regardé immédiatement Carole avec un air surpris.Carole était une usurpatrice ?En entendant ces trois mots, elle est devenue instantanément furieuse, à tel point qu'elle en a perdu son sang-froid. Elle a répondu en criant : « Pourquoi n'aurais-je pas le droit d'avoir mon mot à dire ? Je fais aussi partie de la famille Leclerc, alors pourquoi je ne pourrais pas m'exprimer ? Pourquoi ai-je été la seule à être tenue dans l’ignorance ? Je ne suis pas une usurpatrice ! »Carole affichait une expression pleine de rancune. Si elle avait su plus tôt que Janine avait été retrouvée, elle aurait pu s’occuper d’elle avant et éviter de se retrouver dans cette position désavantageuse.Bruno, le visage sombre, a pris la parole :« Parce que tu n’as jamais fait partie de la famille Leclerc. C’est quelque chose que tu savais depuis que tu es sortie de l’orphelinat. Aujourd'hui, c'est ton avidité croissante qui te pousse à convoiter des choses

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 510

    C’est ça, cette explication était la seule logique !Carole s'est sentie comme plongée dans un bain de glace. Elle a tourné la tête pour regarder Janine, puis Madame Pascaline : « Qu’est-ce que vous voulez dire, la famille de Janine ? »« Tu n’arrêtais pas de demander qui avait accompagné Janine au centre commercial pour lui acheter une robe, n’est-ce pas ? Eh bien, c’était ta belle-sœur ! »Ces mots de Madame Pascaline ont éteint complètement la flamme de colère et de jalousie au fond du cœur de Carole.Elle a vacillé, incapable de rester debout : « Ce n’est pas possible, comment cela pourrait-il être vrai ? »Depuis quand la famille Leclerc avait-elle retrouvé Janine ? Pourquoi n’en avait-elle absolument rien su ?Et même que sa belle-sœur, Donatienne, a accompagné Janine faire du shopping, cela lui était complètement inconnu !À cet instant, Carole s’est avancé vers Janine avec un sourire : « Madame Pascaline, il n’y a jamais eu deux jeunes filles de grande lignée dans la famille

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 509

    Carole a eu soudain un mauvais pressentiment.Madame Pascaline a été visiblement surprise en disant : « Tu n’es pas au courant ? Janine a retrouvé sa famille. Ce jour-là, elle était au centre commercial avec eux pour acheter une robe. Sa famille possède même une carte VIP suprême de Dior, avec laquelle ils peuvent choisir n’importe quelle pièce en édition limitée. »En disant cela, Madame Pascaline a jeté un regard perplexe à Janine : « Pourquoi as-tu seulement acheté une robe, sans prendre un sac ? C’est un ensemble pourtant ! »Le visage de Janine s’est assombri légèrement. Elle a senti le regard de Paulin posé sur elle, mais a répondu calmement : « Parce que je n’aime pas. »Les sourcils de l'homme se sont froncés.Était-ce parce qu’elle n’aimait pas le sac ou parce qu’elle n’aimait pas ce qu’il lui avait offert ?À côté, Carole a poussé soudain un cri strident : « C’est impossible ! Ce n’est pas possible ! Janine, comment as-tu pu retrouver ta famille ? C’est forcément faux ! »Si

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 508

    « Pourquoi serai-je en colère ? », a-t-elle demandé« La robe de Janine … » a marmonné CaroleMadame Pascaline, légèrement impatiente, a interrompu : « Une robe, encore une robe. Mademoiselle Carole, tout ce qui vous intéresse, c’est de comparer ces choses ? »Carole ne s’attendait absolument pas à ce que Madame Pascaline dise une telle chose.Janine a esquissé un léger sourire : « Carole, sais-tu pourquoi ton coup n’a pas marché aujourd’hui ? Parce que le jour où j’ai acheté cette robe, Madame Pascaline était justement présente. »« Quoi ? »Le visage de Carole a changé plusieurs fois de couleur, comme si elle avait quelque chose de coincé dans la gorge qu’elle ne pouvait ni cracher ni avaler.Cela signifiait que la robe de Janine était bel et bien authentique !Janine a jeté un coup d’œil à Madame Pascaline, visiblement contrariée, et a poursuivi : « J’ai raison, n’est-ce pas, Madame Pascaline ? »Cette dernière, le visage sombre, a répondu : « Oui, et maintenant, tu es fière de toi,

Scanner le code pour lire sur l'application
DMCA.com Protection Status