Share

Chapitre 260

Auteur: Ursule Joly
Il avait tellement confiance en sa taille ?

Alors que Janine s'installait dans l'hélicoptère, ses pieds effleuraient encore l’air. Il semblait que l'entrée était un peu trop haute, rendant l'ascension difficile pour elle seule.

Une fois à bord, elle a remarqué plusieurs kidnappeurs allongés à terre.

« Et eux ? », a-t-elle demandé.

« Quelqu'un viendra les chercher. » En disant cela, Paulin a pris place à ses côtés, l'espace restreint les rapprochant davantage. Le bras contre le bras, Janine pouvait sentir la chaleur qui émanait de l’homme.

Il faisait vraiment froid dans les montagnes.

L’estomac de Janine a émis un grondement, signe de sa faim tenace. Bientôt, le bruit d'un emballage de nourriture a attiré son attention. Elle a tourné la tête et a découvert Paulin tenant des chocolats dans sa main. Elle a dégluti instinctivement.

« En veux-tu ? », a proposé Paulin en secouant le chocolat.

« Ouais ! », a-t-elle répondu avec sincérité, « Tu ne peux pas laisser mourir de faim ta femme dans
Chapitre verrouillé
Continuer la lecture sur GoodNovel
Scanner le code pour télécharger l'application

Related chapter

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 261

    Les poings de Cyril étaient crispés, laissant perler des gouttes de sueur à leur étreinte. Il ne pouvait plus retenir sa colère et a fini par s’écrier :« Lâche-la, bon sang ! Tu penses pouvoir la retenir aussi longtemps ? »Paulin a toisé Cyril d'un regard sévère. « Et toi, tu ne la touches pas non plus. »« Tu ne vas pas me dicter ma conduite, Paulin ? », a répliqué Cyril, sa voix empreinte d'agacement. Sans plus attendre, il est passé à l'action : « Lâche-la ! »« Non ! Va-t’en ! », a riposté Paulin, sa détermination transparaissant dans ses paroles.Ces deux hommes se faisaient face, l'atmosphère chargée d'une tension palpable.C'est alors que Janine a émergé de son sommeil, ses paupières s'ouvrant sur la vision de deux hommes faisant face. Prise entre eux, elle a ressenti un frisson lui parcourir l'échine.Elle a levé faiblement la main : « Est-ce que je peux dire quelque chose ? »Les deux hommes l’ont scrutée simultanément. « Tu es réveillée ? », ont-ils demandé d'une même voix

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 262

    Cyril bouillonnait de colère en repensant à la scène précédente. Il avait depuis longtemps pressenti les mauvaises intentions de Paulin envers Janine, et après cet incident, ses craintes se confirmaient.« Cyril, tu l’as mal compris », a toussé Janine, interrompant ses pensées.« Je l’ai mal compris ? Non, Janine, je te préviens, évite Paulin à l'avenir. C'est un vieux divorcé, marié pour la deuxième fois, et à part un peu d'argent, il n'y a rien à gagner. Ne tombe pas dans son piège. »Janine, impuissante, lui a répondu alors : « Ne t'en fais pas, je ne serai pas attirée par lui. »Elle avait déjà appris sa leçon, elle ne se laisserait pas piéger une seconde fois.« C'est bien », a soupiré Cyril, soulagé. Il craignait que sa sœur ne se laisse attendrir par le prétendu héroïsme de Paulin. Après tout, les femmes étaient souvent plus sensibles à ce genre de manipulation.L'examen s’est terminé bientôt et Janine a été admise dans le service général.Peu de temps après, un festin succulent

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 263

    Le souffle court, Janine est demeurée stupéfaite devant la scène qui se déployait devant ses yeux. Jamais elle n'avait imaginé que ses frères croiseraient le chemin de Paulin ici, à l'hôpital. Une onde de panique l’a traversée : elle n'avait nullement souhaité que ses frères soient témoins de sa relation avec Paulin. Après tout, connaissant le caractère impétueux de Bruno, il aurait très certainement fait preuve de violence envers Paulin. Non, non, non, il fallait absolument éviter cela à tout prix !Bruno fixait Paulin avec sévérité, son regard pénétrant semblait transpercer l'âme de ce dernier. D'un geste autoritaire, il a conduit ses frères à l'intérieur du service. L'espace semblait se rétrécir sous l'effet de leur présence. Paulin, quant à lui, a vu s'avancer les Leclerc, une lueur de perplexité traversant ses yeux. Que diable faisaient-ils ici ?Peu de temps après, Cyril est revenu avec des fruits, son visage s'est illuminé à la vue de son grand frère et des autres arrivants. C

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 264

    Une des femmes d'âge mûr a pris la parole avec une douceur teintée de reproche : « Janine, ton ingratitude est déconcertante. Sans la famille Bernard pour t'accueillir, aurais-tu trouvé la quiétude que tu connais aujourd'hui ? »Camille, accablée, s'est effondrée au sol et a laissé échapper des sanglots poignants : « J'ai pris la peine de t'organiser un mariage. Si tu n'étais pas d'accord, tu aurais simplement pu refuser. Mais pourquoi as-tu préféré appeler la police et les accuser d'enlèvement ? Tu te montres bien dure envers nous. »« C'est vrai ! Dans notre village, c'est ainsi que les mariages se concluent, sans qu'on évoque de tels crimes », a renchéri une autre femme d'âge mûr, s'approchant de Janine d'un pas résolu.« Ma fille et Antoine sont sur le point de se marier. Et voilà que tu envoies la police les arrêter. Comment pourrons-nous célébrer ce mariage désormais ? », a ajouté une autre femme avec un soupçon de désespoir dans la voix.La jeune fille aux côtés d'Antoine, les y

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 265

    Le regard de Janine était captivé par le spectacle des deux vieilles femmes s'affrontant, leurs silhouettes entremêlées dans une danse de colère et de mots acérés.Elle les observait, tandis que des éclats de rire s'échappaient de ses lèvres, entraînant des larmes de joie à perler au coin de ses yeux.C'était véritablement un juste châtiment.Son regard s’est posé ensuite sur Antoine : « Tu ferais mieux de restituer les cent mille euros. Sinon, toute ta famille en subira les conséquences. Cette somme sera la preuve irréfutable du trafic des femmes. »Antoine, visiblement choqué, peinait à accepter que l'enfant ne soit pas le sien. Tout cela à cause de cet enfant. Sans lui, il ne se sentirait pas si pressé de se marier.Il a interpellé Isabelle avec fermeté : « Où est l'argent ? Sors-le ! »C'est alors qu'un homme en uniforme a fait son entrée : « Qui est de la famille d'Antoine ici ? »Janine a pris la parole en premier : « C’est lui, Antoine. Mais c’est plutôt elles qui ont emporté le

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 266

    Janine s’est caressé le bas du dos tout en fixant Cyril. « Cyril, comment va Richard maintenant ? Il a été blessé en essayant de me protéger. »« Une entaille à la tête, une légère commotion cérébrale, mais rien de grave. Il est dans l'aile de l'hôpital. Il est pas mal. »« Notre relation n’est pas ce que tu crois. De plus, je suis enceinte maintenant. Aucun homme ne m'accepterait dans cette situation. »Sur ces mots, Cyril a froncé les sourcils : « Janine, ne laisse pas cet enfant te décourager. Avec nous, les frères, ce n'est rien pour toi. »Il en voulait même à Richard pour ses capacités moyennes.Sans contester Cyril, Janine a acheté des fruits et s’est dirigée vers le bâtiment voisin pour voir Richard. Cependant, une autre femme d'âge moyen se trouvait déjà à l'intérieur du service, apparemment la mère de Richard.Elle s’est sentie un peu coupable : « Comment te sens-tu maintenant ? »« Janine, ça va ? J'étais tellement inquiet. J'avais peur qu'il ne t'arrive quelque chose. »Mê

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 267

    Un léger sourire maladroit s'est étiré sur les lèvres de Janine : « Madame, je vais juste laver les fruits. » Elle cherchait désespérément une excuse pour échapper à la situation, se sentant submergée par les événements du moment.Richard, l'air impuissant, s’est tourné vers sa mère et lui a demandé : « Maman, pourquoi tant d'interrogations tout à l'heure ? Janine était timide ! »Sa mère, Mireille, la regardait avec sérieux : « Ne sois pas si innocent. Si je ne pose pas ces questions maintenant, comment pourrais-je envisager d'être sa belle-mère un jour ? Ne m'as-tu pas dit toi-même qu'elle était talentueuse et intelligente ? Si je ne l’intimide pas, elle pourrait bien te dominer à l'avenir. »Richard ne s’est senti que dépassé : « Maman, tu penses trop. Elle n'est pas comme ça. »Mireille a insisté : « Mon fils, c'est pour ton bien. Cette fois-ci, tu as été blessé pour elle. Je vois bien qu'elle ne montre pas trop de l'intérêt pour toi. Si nous ne prenons pas les devants, tu crois qu

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 268

    Les mots de Janine ont pénétré le cœur de Carole comme des flèches acérées.Furieuse, Carole a levé la main, prête à déverser sa colère : « Janine, qui traites-tu de maîtresse ? Permets-moi de te rappeler, mon frère travaille dans cet hôpital. Quand le moment sera venu, tu souffriras pour tes paroles ! J'ai rencontré beaucoup de femmes sans éducation comme toi. Tu es aussi mesquine que ta tante. »Janine a agrippé la main de Carole et lui a asséné une gifle cinglante, son regard devenant aussi froid que la glace : « Carole, garde ta langue sous contrôle. Si j'entends encore une fois une malédiction envers ma tante sortir de ta bouche, je te promets que tu le regretteras ! »Même si sa tante avait ses défauts, Janine ne tolérerait pas que quiconque la dénigre de la sorte.Carole a dévisagé Janine, incrédule : « Comment oses-tu me frapper ? »Janine lui a répliqué avec une froideur déterminée : « Si je veux te frapper, je le ferai. »Soudain, Janine a changé de ton et a saisi le couteau

Latest chapter

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 546

    Après avoir fini de parler, elle a remarqué que son amie rougissait rapidement. C’était aussi la raison pour laquelle elle était venue à cette réunion d’anciens élèves aujourd’hui : simplement pour accompagner son amie.À ce moment-là, Laurent a pris un verre de vin et a dit : « Tout le monde, je vous propose un toast. Je vous remercie de m’avoir fait l’honneur de venir à ce repas. J’espère aussi que vous aurez un avenir radieux et que vous ferez fortune ! »Janine n'a pas bu d’alcool. Elle s'est servi un verre d’eau citronnée.Josiane est intervenue immédiatement : « Janine, tout le monde boit de l’alcool, mais toi, tu bois de l’eau ? C’est quoi cette attitude ? Tu ne nous fais pas honneur ? »Janine a répondu calmement : « Je ne suis pas en très bonne santé en ce moment, je ne peux pas boire d’alcool, désolée. »En tant que femme enceinte, elle ne pouvait évidemment pas boire d’alcool.« Quoi ? Tu ne peux pas boire ? Tu fais exprès d’être différente pour attirer l’attention de qui ?

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 545

    Janine était un peu déconcertée, elle ne s'attendait pas à ce que le serveur soit aussi attentionné envers elle.Après tout, c'était Laurent qui invitait tout le monde !Elle a jeté un regard au serveur et a dit : « Je n'ai plus besoin de rien, merci. »Après avoir entendu cela, le serveur a tourné les talons et a quitté la salle privée sans même prêter attention à Laurent.Josiane s'est empressée de dire : « Quel genre de serveur est-ce ? Il est bête ou quoi ? Est-ce qu'il croit que c'est Janine qui invite aujourd'hui ? »Ses paroles ont déclenché des rires parmi les invités.Pour sauver la face, Laurent a intervenu rapidement : « C'est ce qu'on appelle la galanterie. Je suis venu ici plusieurs fois, et j'avais déjà prévu de vous laisser choisir les plats. Mais pour ce qui est de l'addition, c'est moi qui m'en charge. »« Laurent, tu es toujours aussi élégant et charmant, tu n'as pas changé du tout », a dit Josiane en le flattant, tout en essayant de créer une atmosphère ambiguë.Jani

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 544

    Janine regardait avec un regard froid : « C'est notre chauffeur. »« Un chauffeur ? Haha, Janine, est-ce que tu as un problème mental ? »Tout à l'heure, Janine disait avoir retrouvé sa famille et que sa famille était très riche ! Qui croirait ça ?Josiane ne croyait pas du tout ce que disait Janine, et ne croyait pas non plus que sa famille était riche !Madeleine a répliqué sans se laisser intimider : « Oh là là, Josiane, est-ce que le fait que Janine ait retrouvé ses parents biologiques et que sa famille soit riche te dérange tant que ça ? Peu importe à quel point c'est difficile pour toi d'accepter, c'est un fait ! »« Des preuves ? Tu dis que les parents biologiques de Janine sont riches, mais comment pouvons-nous te croire ? », a-t-elle demandéJanine a retenu son amie : « Laisse tomber, ce n'est pas la peine d'expliquer tout ça. Qu'elles croient ou non, peu importe ! »À ce moment, le chef de classe est intervenu pour calmer le jeu : « Vous devez avoir faim, commençons à comman

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 543

    Janine a affiché un sourire à la fois gêné et poli : « Tout cela est bien loin de ce que tu as accompli, Laurent. »Josiane, à côté, n'a pu s’empêcher d’intervenir : « Même si Janine a obtenu la première place, qu’est-ce que ça change ? J’ai entendu dire qu’elle a abandonné l’université pour un homme. Elle n’a probablement qu’un diplôme de lycée. Quelle entreprise cotée en bourse embaucherait quelqu’un avec seulement un diplôme de lycée ? »La petite acolyte de Josiane a enchaîné : « C’est vrai. De nos jours, le diplôme est la clé pour entrer sur le marché du travail. »Josiane a pris un ton faussement concerné : « Janine, je suis vraiment désolée pour toi. Tu avais de si bons résultats scolaires, tu as été admise dans une université prestigieuse, mais tu as tout abandonné pour un homme. C’est vraiment dommage. Si tu avais un diplôme universitaire aujourd’hui, avec ce prix, trouver un bon travail serait si simple. »« Qui a dit que Janine n’avait qu’un diplôme de lycée ? »Madeleine, l

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 542

    « Le fait que j’étais orpheline avant ne signifie pas que je le suis encore maintenant. J’ai aussi une famille ! »« Hum, ne mens pas. Tu veux dire que tu as retrouvé ta famille après toutes ces années, et qu’en plus, ta famille est riche ? Tu es passée d’orpheline à fille d’une famille riche, c’est ça ? »Janine a hoché la tête : « Pourquoi pas ? »« Hahaha, Janine, tu ne sais même pas mentir correctement. Tu as trop regardé de séries télévisées, c’est juste un scénario de drama. Ça n’arrive jamais dans la vraie vie. Réveille-toi. »À ce moment-là, une Porsche s’est arrêtée à côté d’elles.Un homme en costume élégant en est sorti, portant des lunettes à monture dorée, l’air d’un professionnel urbain accompli.Josiane, en voyant l’homme, a les yeux qui brillaient : « Laurent, par ici ! »Laurent, le « beau gosse », s’est approché d’elles avec un sourire chaleureux et charmant : « Pourquoi restez-vous debout à l’entrée ? Vous n’êtes pas fatiguées ? Vous auriez pu simplement mentionner m

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 541

    Janine a jeté un coup d'œil au nom du restaurant. C'était effectivement un établissement assez luxueux, et il paraissait même qu'il fallait être membre pour y avoir accès.« Janine, tu regardes quoi ? Il y a quelque chose d'important dans le groupe de la réunion ? »« Non, rien de spécial. Ils ont juste dit où on dînerait ce soir. »Denis, a levé les yeux du canapé : « Janine, où est-ce que vous allez dîner ce soir ? »« Au restaurant XX. »« Ah, ce restaurant ... Leur cuisine est plutôt moyenne. J'ai d'ailleurs une carte de membre, le propriétaire me l'a pratiquement forcée dans les mains. Tu n'as qu'à donner mon numéro de téléphone, et l'addition sera à mon nom ! »Janine a souri : « Pas besoin, de toute façon, quelqu'un d'autre régale. »Elle avait déjà vu dans le groupe que Josiane avait mentionné que le beau gosse de la classe offrait le dîner. Si elle se proposait de payer à sa place, cela attirerait sûrement l'attention de tout le monde et pourrait même créer des complications i

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 540

    Janine est restée silencieuse un instant. Était-ce donc cela, le pouvoir du capital ?Elle a pensé à l'annonce de sanction contre Lucienne et n'a pu s'empêcher de demander : « Aujourd'hui, j'ai vu l'annonce concernant Lucienne. Et pour Carole ? »Ces derniers jours, tout le monde avait tacitement évité de mentionner la présence de Carole.Johan a répondu avec indifférence : « La famille Cordier va poursuivre Carole pour blessures volontaires. Franck a donné un coup de pouce, alors elle est toujours en détention en attendant le procès. Elle ne sera pas libérée de sitôt. »Ses yeux se sont assombris.Maintenant, il était presque certain que c'était Carole qui avait tout manigancé délibérément, cachant la localisation de Janine, ce qui avait empêché la famille Leclerc de la retrouver pendant tant d'années.La simple idée de la voir enfermée et poursuivie en justice lui semblait bien trop clémente.Si cela s'était passé à Carole, il aurait fait en sorte qu'elle souffre le martyre, sans es

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 539

    Janine n'était pas vraiment intéressée par la réunion des anciens élèves du lycée, mais dès qu'elle a entendu les mots « chef de classe », elle a compris pourquoi son amie Madeleine voulait y aller.Après tout, cette dernière avait toujours eu un sentiment pour le chef de classe !Avec un sourire taquin, Janine a dit : « Madeleine, est-ce que tu veux aller à la réunion des anciens élèves, ou est-ce que tu veux juste voir le chef de classe ? »« Janine, ne dis pas ça comme ça ! C'est juste que si le chef de classe organise la réunion et que trop peu de gens viennent, ce ne serait pas très approprié. Mais je me sens un peu gênée d'y aller seule, tu peux m'accompagner ? »« Bien sûr que je peux. »Comment Janine aurait-elle pu refuser la demande de son amie ? D'autant plus que Madeleine et le chef de classe avaient déjà eu des histoires par le passé, et que récemment, elle avait commencé un stage dans la même entreprise que lui, ce qui avait augmenté leurs interactions.Elle espérait que

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 538

    Denis se tenait dehors, lançant un regard provocateur à Paulin. D’un ton désinvolte, il a dit : « À partir de maintenant, Janine aura toujours un chauffeur privé quand elle sortira. Et puis, la famille lui a même acheté pas mal de voitures de sport. Elle n’a vraiment aucune raison de conduire des voitures anciennes d’autres hommes. »Denis en a profité pour tacler les voitures de luxe de Paulin, en contraste frappant avec le modèle dernier cri qu'il vient d'acheter.Paulin est resté seul sur place, observant Denis emmener Janine dans sa voiture. Une fois qu'ils sont partis, il a sorti son téléphone et a appelé Gaston : « Tu as un moment ? Viens avec moi chez le concessionnaire automobile. »Trente minutes plus tard, ils se sont retrouvés devant un concessionnaire automobile.Gaston avait l’air de vouloir dire quelque chose mais n’osait pas. Il a fini par dire : « Hé, Paulin, j’ai entendu une rumeur récemment. Je ne sais pas si c’est vrai… »Paulin a deviné tout de suite ce qu’il allait

Scanner le code pour lire sur l'application
DMCA.com Protection Status