Share

Chapitre 173

Author: Ursule Joly
Janine a vu Carole marcher devant elle. Elle ne s’attendait pas à la rencontrer ici. Sa bonne humeur a été affectée.

Soudain, Carole s’est retournée pour voir Janine. Son air a instantanément changé.

Ce n’est qu’à ce moment-là que Carole a raccroché le téléphone, mettant fin à sa conversation avec Solange au téléphone. Carole venait d’apprendre ce qui s’était passé au studio. Elle n’avait pas pensé que Janine pouvait s’en sortir si facilement.

Comment Janine avait-elle pu trouver ces vidéos et ses photos ? Comment avait-elle pu laisser le cabinet d’avocats de son cinquième frère publier une annonce officielle ?

Carole, l’air jaloux, s’est retournée pour marcher vers Janine.

Janine a vu Carole s’approcher d’elle, elle a donc dit à Richard :

« J’ai rencontré une connaissance, je vais parler avec elle. Attends-moi là-bas, je viendrai te chercher dans un instant, d’accord ? »

Richard a acquiescé et s’est dirigé à la table, laissant Janine parler avec son amie.

Janine a jeté un coup d’œi
Continue to read this book for free
Scan code to download App
Locked Chapter

Related chapters

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 174

    Janine n’a jeté aucun coup d’œil à Paulin du début à la fin.Paulin est resté sur place, il a détourné son regard et s’est tourné vers l’autre ascenseur.Carole l’a suivi en lui disant :« Paulin, je veux inviter mes frères à nos fiançailles, qu’en penses-tu ? »Le ton de Paulin était indifférent :« Comme tu veux. »De toute façon, ce n’était qu’un marché.Carole a esquissé un large sourire et a demandé :« Paulin, tu viens dîner ? Puis-je manger avec toi ? »« Je dois parler d’une affaire, ne nous dérange pas ! »Paulin est entré dans l’ascenseur avec un visage sombre. Carole, n’ayant aucun moyen de le suivre, ne pouvait que regarder la porte de l’ascenseur se fermer.Carole était triste, mais pour l’instant, elle ne pouvait rien faire. En pensant que Paulin avait accepté d’inviter ses frères aux fiançailles, elle était de meilleure humeur. Elle s’est retournée joyeusement, puis a passé un appel à Bruno :« Grand frère, j’ai une bonne nouvelle à te dire. »Bruno, assis sur le canapé,

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 175

    Janine, après avoir senti son regard, a précipitamment levé la main pour ébouriffer ses cheveux. Elle a contourné Paulin, voulant passer devant lui.Cependant, Paulin s’est déplacé d’un pas, lui bloquant le chemin. Il lui a demandé d’un air condescendant : « Tu n’as rien à me dire ? »Janine a penché la tête en répondant :« Je ne pense pas qu’il y ait quoi que ce soit à dire. »« Tu as trouvé un autre homme. Cet homme est ordinaire, comment as-tu pu tomber amoureuse de lui ? »Janine a répondu avec un sourire forcé : « Ta fiancée est également banale, mais tu l’aimes, non ? »Paulin aimait une femme impudique et méchante, mais il se moquait d’elle. N’était-ce pas drôle ? « Janine, je ne m’attendais pas à ce que tu causes des ennuis fréquemment. Tu as eu l’habitude de faire semblant d’être sage pendant trois ans, c’est difficile, hein ? »« À ce propos, je voulais te demander de bien discipliner les membres de ta famille. Nous allons bientôt divorcer, tu ferais mieux de dire à ta co

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 176

    Bruno a demandé à sa femme, l’air inquiet : « Chérie, pouvons-nous laisser Janine revenir vivre avec nous à Marseille ? De cette façon, personne n’osera l’intimider. »Donatienne a répondu en soupirant : « Mais Janine a toujours vécu à Paris. Si nous la laissons venir, ne devrons-nous pas lui dire toutes les vérités ? Es-tu sûr que Janine nous a pleinement acceptés ? »« Carole a déjà décidé d’épouser Paulin, et à l’avenir, elle vivra à Paris. Janine et elle se rencontreront rarement si nous la ramenons à Marseille. De plus, Carole réalisera son rêve et vivra dans une famille riche, elle devrait être contente. »Bruno semblait avoir pris une décision : « Nous irons à Paris assister aux fiançailles de Carole. Au passage, nous lui parlerons de la dissolution de l’adoption. Sinon, Janine sera triste si elle sait que sa doublure mène une vie aisée dans notre famille. » Donatienne a haussé un sourcil et a demandé :« Carole sera-t-elle disposée à dissoudre l’adoption ? »Donatienne ne t

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 177

    Janine a envoyé ce message à Richard : « Richard, lis cette nouvelle. »La femme agenouillée a une fois de plus pris la parole : « Janine, pardonne-moi, j’ai eu tort. Je n’aurais pas dû te causer des ennuis, je n’aurais pas dû te calomnier. Pardonne-moi, s’il te plaît. »Janine, les sourcils froncés, trouvait étranges les excuses de cette femme. Elle ne croyait pas que cette femme présentait ses excuses seulement en raison de l'acquisition de son entreprise. Elle a demandé, l’air confus : « Quel est ton vrai but ? »La femme semblait également surprise. Elle s’est empressée de répondre : « Janine, j’ai eu tort, je te promets que je ne te viserai plus jamais. Pardonne-moi, je t’en supplie ! »« Lève-toi d’abord. »« Si tu ne pardonnes pas ma faute, je ne me lèverai pas. »La femme s’est agenouillée effrontément sur le sol, sans l’envie de se lever.Ce n’est que lorsque Janine a dit qu’elle se fichait de ce qui s’était passé que cette femme s’est finalement levée. L’air effrayé et la

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 178

    Janine, après avoir écouté les plaintes de Louise, a répondu avec un air calme : « Ce n’est pas moi qui ai bloqué ta carte de crédit. Va te plaindre à ton cousin ! »Janine a raccroché le téléphone après avoir fini de parler, mais Louise continuait de lui téléphoner. Janine a directement éteint son téléphone portable. Jusqu’à présent, toutes les rumeurs contre elle avaient disparu. Janine a poussé un soupir de soulagement. Elle n’avait même pas pensé que le problème serait résolu aussi facilement. Avec un sourire, elle a baissé la tête et a caressé son ventre. Elle attendait avec impatience la naissance du bébé. D’ici la fin du mois, lorsque l’opération de sa grand-mère serait terminée, elle pourrait complètement dissoudre toutes les relations entre Paulin et elle.Soudain, Janine s’est souvenue qu’elle devait se rendre à la maternité.Après avoir pris son téléphone portable et réservé un examen de maternité, elle a rangé ses affaires. Elle allait quitter le travail plus tôt que d’

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 179

    Carole a eu un sentiment de culpabilité dans les yeux, elle ne voulait pas être retrouvée par sa propre famille. Après tout, si elle avait été abandonnée, cela signifiait que ses parents ne voulaient pas d'elle, ou qu'ils étaient incapables de la garder à cause de la pauvreté.La famille Leclerc qui l'avait adoptée était si riche, pourquoi devrait-elle souffrir en retournant auprès de ses parents biologiques ? Les parents biologiques étaient-ils vraiment si importants ?Ayant souffert au foyer pour enfants, Carole savait à quel point l'argent et le statut étaient importants, c'était pourquoi elle ne voulait pas retrouver sa famille biologique.Elle a répondu avec réticence : « Le fait de retrouver ma famille ou non n'a aucun lien avec mes fiançailles, ma famille c'est vous maintenant. C'est pourquoi j'espère que vous assisterez à mes fiançailles avec Paulin. »Cyril l'a regardée avec suspicion : « Carole, tu as déjà atteint ton but, je suis maintenant d'accord pour opérer la grand-mè

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 180

    Janine a ouvert la bouche : « Cyril, puisque tu participeras à cette opération, informe-moi immédiatement de toute situation concernant l'opération de la vieille dame Nadine. »Elle se souciait également beaucoup de la santé de la vieille dame. En voyant la gentillesse de sa sœur, Cyril a soupiré et a dit : « Janine, ne t'inquiète pas, elle sera en bonne santé après l'opération, je te le garantis. »Il ferait tout son possible pour réussir cette opération et couper le lien de sa sœur avec la famille Cordier. Après le départ de Janine, Cyril a appelé son grand frère Bruno : « Grand frère, quand ai-je accepté d'assister à l'engagement de Carole ? »Bruno a répondu : « Euh, puisque je n'ai pas de temps, tu seras donc à ma place. »Cyril a refusé : « Grand frère, c'est toi qui lui as promis d'y participer, je n'ai jamais dit oui. »Cyril n'aimait pas que Carole utilise sa grand-mère comme prétexte pour le menacer. Si Carole était gentille et docile, mais en réalité, cette fille n'était

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 181

    Janine a jeté un coup d'œil à son téléphone, mais elle n'a pas décroché. Après tout, elle savait qu'il n’y aurait pas de bonne nouvelle et elle n'avait pas envie de lui répondre. Cependant, le téléphone n'arrêtait pas de sonner, sans interruption.Finalement, elle a dû décrocher, impuissante : « Allô ? »Une voix féminine s'est fait entendre : « Sale gosse, qu'est-ce que tu fais à ne pas répondre au téléphone ? Tu sais que je dois te parler d’une urgence. » L'air de Janine était froid, elle a demandé : « Qu'est-ce qu'il y a ? »De l'autre côté du téléphone, sa belle-mère Camille a hurlé à pleins poumons : « Janine, transfère-moi immédiatement cent mille euros. »Janine a répliqué : « Cent mille euros ? Tu plaisantes ou quoi ? »Elle savait que chaque fois que sa belle-mère l'appelait, ce n'était jamais pour de bonnes nouvelles, c'était toujours lié à de l'argent.Et elle demandait tout de suite cent mille euros !« Arrête de me raconter des mensonges, ton mari est riche et tu gères t

Latest chapter

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 573

    Après avoir mangé ce morceau de pâtisserie, Janine a bu une gorgée d’eau. Elle a alors remarqué que Paulin la fixait sans détour.Ses yeux, longs et profonds, étaient rivés sur elle.Il ne disait rien, mais sous la lumière tamisée, ses traits ciselés paraissaient encore plus marqués.Son regard la mettait mal à l’aise. Elle a baissé les yeux et a murmuré : « Il se fait tard, tu devrais rentrer. »Elle l’a littéralement chassé de chez elle, sans même lui accorder un dernier regard.Elle ne voyait pas pourquoi elle devrait être aimable avec lui. Après tout, ils étaient divorcés maintenant. Peu importe ce qu’il faisait, elle s’en fichait complètement.Paulin a fini par se lever du canapé. Sa silhouette imposante s’est dressée sous la lumière, projetant une ombre longue sur le sol.L’espace, déjà exigu, paraissait encore plus étroit à cause de sa présence, son corps obstruant la lumière devant elle.Son ombre l’enveloppait, et son regard était à la fois sombre et insondable.Elle a senti s

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 572

    Sérieux ? Il choisissait ce moment pour venir la perturber ?Peu de temps après, elle a cru entendre la sonnerie de la porte d’entrée.Janine s’est redressée d’un coup dans son lit.Il n’aurait quand même pas osé monter, si ?Elle a réfléchi un instant. Elle devait sûrement avoir mal entendu. Paulin ne viendrait pas jusqu’ici pour la voir !Mais elle a ensuite entendu qu’on frappait à la porte.Sans perdre une seconde, elle a ouvert la porte de sa chambre, juste à temps pour voir sa tante se diriger vers l’entrée.« Il est tard... C’est qui ? »« Tante Solène... »Elle a voulu l’arrêter, mais c’était trop tard.La porte s’est ouverte, révélant Paulin sur le seuil. Il portait un ensemble sportif gris, bien loin de son allure stricte et impénétrable en costume. Il avait l’air... plus accessible, plus ancré dans la vie quotidienne.Janine a esquissé un sourire gêné, mais poli. Ce salaud était vraiment monté jusqu’ici !Solène, en reconnaissant Paulin, a ouvert de grands yeux, stupéfaite.

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 571

    Deux hommes se sont croisés dans le couloir. L’un affichait une maturité froide et impitoyable, tandis que l’autre dégageait une distance glaciale et détachée.L’atmosphère semblait d’un calme absolu.Alors qu’ils allaient se croiser, Paulin n’a pas pu s’empêcher de prendre la parole : « Elle et toi, ça ne marchera pas. »Un léger sourire a effleuré les lèvres d’André : « En tant qu’ex-mari, tu te mêles un peu trop de ce qui ne te regarde pas. »« Arrête ! »Paulin a pivoté légèrement, son regard perçant et glacial : « C’est un avertissement. De toute façon, ta famille n’acceptera jamais les enfants qu’elle porte. Elle est têtue, elle ira jusqu’au bout pour les garder. »« Non. Ma famille sera ravie d’accepter les enfants qu’elle porte. Parce que moi, je suis stérile. Je n’aurai jamais d’enfant. Si je l’épouse, j’aurai à la fois une femme et des enfants. Et en plus, ce sont des jumeaux. Ma mère ne va pas en revenir de joie. »D’un ton léger, André a lâché ces mots avant de tourner les

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 570

    Si les autres frères l'apprenaient, elle ne pourrait probablement pas les retenir.Alors qu'elle s'apprêtait à répondre, elle a soudain remarqué le reflet sur la bouteille de vin rouge derrière elle – l'homme debout à la porte n'était autre que Paulin.Quelle coïncidence, sa salle privée était juste à côté ?Depuis combien de temps cet homme odieux se tenait-il là ?Janine a hésité un instant, puis a regardé André en face d'elle : « Parce que l'enfant n'est pas de lui. »En entendant cette réponse, une lueur de surprise a traversé le regard d'André, comme s'il ne croyait pas tout à fait ses paroles.Après avoir parlé, Janine a continué à surveiller du coin de l'œil le reflet sur la bouteille de vin.Peu de temps après, la silhouette s'est éloignée et est retournée à l'intérieur.Janine a poussé un léger soupir de soulagement. Pour l'instant, elle ne voulait pas que Paulin sache que l'enfant était de lui, car elle était déterminée à emmener l'enfant avec elle.Le repas était à moitié te

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 569

    Quand Janine a vu Paulin, elle a soudain réalisé à quel point le monde était petit. Comment pouvait-elle le croiser ici, de toutes les places ?Paulin se tenait au milieu d'un groupe, sa haute stature et sa démarche assurée le rendant particulièrement remarquable.Mais quand il a aperçu Janine en compagnie d'un homme, son pas s'est légèrement décalé, et son regard s'est fixé intensément sur elle.En tant que grand patron, quand Paulin regardait quelque part, les autres suivaient naturellement son regard.Ses lèvres minces se sont serrées en une ligne froide. Pour être honnête, il était surpris de la voir ici.Mais ce qui l'a encore plus surpris, c'était de la voir dîner avec un homme inconnu.Son regard s'est immédiatement assombri. Chaque fois qu'il voyait un homme à ses côtés, son humeur devenait exécrable.L'atmosphère dans le hall est devenue étrangement tendue.Janine ne s'attendait pas à croiser Cet homme odieux ici. Elle a ignoré Paulin et s'est tournée vers André : « Allons-y.

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 568

    « Parler dans le dos des gens, ce n’est pas très bien non plus, n’est-ce pas ? » a déclaré André.Janine a immédiatement senti un frisson lui parcourir le dos. Elle s’est retournée et a vu le beau médecin debout à l’entrée, appuyé contre le cadre de la porte, le regard pénétrant fixé sur elle.Elle ne s’attendait pas à se faire prendre sur le fait.Elle a forcé un sourire : « Euh... ce n’est pas ce que je voulais dire. En général, plus un médecin est strict, meilleur il est. »« Janine, ne le prends pas trop à cœur, il est toujours comme ça », a dit son frèreCyril a tapoté son épaule : « À propos, Janine, on sort dîner ce soir ? C’est rare que certains viennent en mission à Paris pour une semaine. Il a fait le déplacement pour me voir, alors je dois au moins l’inviter à manger. »« Tu n’es pas si important que ça. J’ai entendu dire que tu avais retrouvé ta sœur, alors je suis venu spécialement pour voir à quoi elle ressemble », a ajouté André.Janine a cligné des yeux. Il était venu s

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 567

    Janine a réfléchi attentivement avant de répondre : « Il ne devrait pas y avoir de problème, Mamie. Y a-t-il quelque chose que tu aimerais que je fasse pour toi ? »« Cette opération était une question de vie ou de mort, et après avoir finalement quitté l'hôpital et commencé à récupérer, j'ai décidé d'organiser une petite fête pour célébrer cela. Je voudrais t'inviter, ainsi que tes frères, à y participer. Penses-tu qu'ils auront du temps ? » a demandé la vieille dame NadineJanine ne s'attendait pas à ce que la grand-mère de Paulin invite également ses frères à la fête.Cette image était si indescriptible qu'elle osait à peine y croire !Elle a hésité un moment : « Euh, Mamie, je devrais en parler à mes frères d'abord. Je te répondrai plus tard. »Après avoir raccroché, Janine était distraite pendant son petit-déjeuner.Comment allait-elle aborder ce sujet avec ses frères ?À midi, Janine a commencé à sentir un certain inconfort dans son ventre, comme si quelque chose le frappait.Inq

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 566

    Josiane s’est empressée de parler : « Janine, en tant qu’anciennes camarades de classe, je t’en prie, pardonne-moi cette fois. Je n’oserai plus jamais. L’entreprise de ma famille a fait faillite, mon père a été emmené par des hommes, et si cela continue, nous n’aurons vraiment plus aucun recours. »« Et quand tu harcelais les autres, quand tu répandais des rumeurs malveillantes pour nuire aux autres, tu n’as jamais pensé que tu en arriverais là un jour ? »En voyant Josiane rester sans voix, Janine lui a lancé un regard froid : « Je te le répète, je ne te pardonnerai pas. »Elle allait partir, mais Josiane s’est agenouillée soudainement : « Janine, pardonne-moi cette fois, je m’excuserai publiquement dans le groupe des anciens élèves et je publierai un message épinglé sur mon réseau social. Je n’oserai plus jamais ! »« Lâche-moi ! Pourquoi est-ce que tu penses que tu peux harceler les autres quand tu veux, et maintenant que tu t’excuses, les autres doivent forcément te pardonner ? Le

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 565

    Janine se tenait au bord de la route animée, le regardant attentivement.Autour d’eux, les passants allaient et venaient, nombreux à se retourner pour admirer l’apparence exceptionnelle de Paulin.La lumière des réverbères n’était pas très vive, et le regard de Paulin est devenu légèrement mal à l’aise. Il a répondu instinctivement : « Janine, tu es si narcissique ? »Après avoir prononcé ces mots, Paulin a serré immédiatement ses lèvres minces, éprouvant un certain regret.Janine a hoché la tête : « Puisque tu ne m’aimes pas, alors ne te montre pas si souvent à mes côtés et ne faites pas toutes ces choses gentilles pour moi. Ça me donne l’impression que tu es tombé amoureux de moi. »Paulin a avalé difficilement : « Je fais tout cela parce que ... parce que je veux te compenser. Ces trois dernières années, je t’ai vraiment négligée. »Janine n’était pas le genre de fille visant l’argent qu’il avait imaginée.Les yeux de Janine ont picoté, et un goût amer lui est venu à la bouche. Elle

Explore and read good novels for free
Free access to a vast number of good novels on GoodNovel app. Download the books you like and read anywhere & anytime.
Read books for free on the app
SCAN CODE TO READ ON APP
DMCA.com Protection Status