Share

Chapitre 13

Auteur: Ursule Joly
« Tu es habituellement en charge de mes articles, Carole ne peut pas les trouver. »

Janine a montré le blanc de ses yeux. Elle pensait que Paulin n’avait simplement pas envie de demander à son premier amour de le servir. Néanmoins, elle n’avait pas envie de lui rendre servie maintenant non plus.

« Trouves-en une autre si elle ne peut pas trouver la cravate bleue. »

Janine a raccroché le téléphone après avoir dit cela. Son rythme cardiaque s’est accéléré un peu. Elle ne s’attendait pas à pouvoir raccrocher le téléphone de Paulin un jour.

Janine était un peu joyeuse.

La servante a prudemment demandé :

« Monsieur, voulez-vous changer de cravate ? »

Paulin s’est retourné et est allé au vestiaire, et bien sûr, il a trouvé la cravate dans le deuxième compartiment du tiroir. Merde ! Il l’avait cherchée pendant longtemps, mais il n’est pas arrivé à la trouver.

Hier soir, ses subalternes avaient suivi l’hélicoptère pendant un certain temps, mais finalement, ils n’avaient pas pu le rattraper
Chapitre verrouillé
Continuer la lecture sur GoodNovel
Scanner le code pour télécharger l'application
Commentaires (2)
goodnovel comment avatar
Marie Lourdes Viau
pouvez- vous m'aider? j'ai changé de téléphone, ce faisant j'était au chapitre 468, maintenant je suis revenue à la case départ. pouvez-vous m'aider en règlant ce problème . je vous en prie merci
goodnovel comment avatar
estelle fos
ça commence bien les frères son cousins Bruno deviens Pauline il faut suivre c est fatiguant
VOIR TOUS LES COMMENTAIRES

Related chapter

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 14

    Paulin avait l’air gêné. « En tant qu’assistant, tu es trop bavard. »Lucien s’est tu, l’air un peu perplexe. L’accord de divorce que son patron lui a fait rédiger plus tôt stipulait qu’il serait toujours responsable des frais médicaux de l’oncle de Janine. Pourquoi a-t-il soudainement changé d’avis ?Paulin a ajouté d’un ton froid :« Fais conformément à mon ordre ! »Après avoir dit cela, Paulin s’est dit :« Janine, est-ce parce que j’ai été trop gentil avec toi que tu as osé me cocufier ? »À ce moment-là, Janine est retournée à l’hôtel sept étoiles et a éternué.Elle a emporté le petit-déjeuner dans sa chambre et a découvert que Bruno était également présent, et que sur la table, il y avait beaucoup de plats exquis.Janine a jeté un coup d’œil au petit-déjeuner simple qu’elle tenait dans sa main, puis a regardé ceux qui se trouvaient sur la table, et elle était un peu embarrassée. « Je me suis levée tôt, et je suis sortie prendre un petit-déjeuner. Je voulais en apporter pour vo

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 15

    L’expression de Bruno est devenue un peu mécontente.« Tu parles de la grand-mère de Paulin Cordier, n’est-ce pas ? Cet homme est marié, pourquoi le harcèles-tu encore ? »« Il a récemment divorcé, parce qu’il n’aime pas du tout sa femme. Je pense qu’après trois années, Paulin doit avoir su que ce qu’il aime, c’est moi. »Carole était un peu anxieuse.« Cette opération est très facile pour mon troisième frère. Aide-moi à le persuader, d’accord ? Il t’écoute le plus. »Si Carole réussissait à donner un coup de main à la grand-mère de Paulin, elle aurait de la chance de l’épouser. « Non ! Je ne suis pas d’accord ! »Bruno a raccroché le téléphone. Bien que Carole soit adoptée, il ne voulait pas que sa sœur épouse un homme au sang-froid et sans cœur comme Paulin, sans parler du fait qu’il était divorcé.Bruno a envoyé un nouveau message à ses frères, en leur disant de ne pas dire à Carole que leur propre sœur a été retrouvée. Puis, il s’est retourné et est entré dans la chambre de Jani

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 16

    Face aux railleries de Louise Cordier, Janine restait indifférente. Pendant ces dernières années, Louise l’a toujours méprisée en disant qu’elle avait choisi d’épouser Paulin juste pour l’argent.Dans le passé, Janine avait l’habitude de retenir sa colère, mais maintenant qu’elle a divorcé de Paulin, elle n’a plus besoin de le faire.Louise a regardé Janine d’un air condescendant.« Ne reste plus immobile ! Dépêche-toi d’aller à la cuisine pour préparer les plats. N’oublie pas de préparer mon plat préféré. »Janine a détourné son regard et a répliqué sans expression :« Ma grand-mère m’a invitée à dîner. Je ne suis pas venue cuisiner. »« Janine, que veux-tu dire par là ? Tu es audacieuse maintenant ! Tu ne veux même pas cuisiner ? Bof ! Je dois le dire à ma tante ! »Janine a ignoré les mots de Louis en entrant dans le hall. Une fois entrée, elle a vu deux personnes assises sur le canapé.L’une était Pascaline Pichon, son ancienne belle-mère, et l’autre était Carole, la première amant

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 17

    Carole est entrée dans la cuisine. « Janine, penses-tu que Nadine te défend encore une fois ? J’ai demandé à un célèbre expert en chirurgie cardiaque de l’opérer. Tant que l’opération est réussie, elle ne m’empêchera certainement pas de me marier avec Paulin. »Bien que son grand frère et son troisième frère n’aient pas encore donné leur accord, Carole était sûre que son troisième frère accepterait d’opérer Nadine. Le moment venu, elle sauverait la vie de la chef de la famille Cordier, et tous les Cordier seraient d’accord avec son mariage avec Paulin.Janine sait que Nadine souffrait de maladies cardiaques et que personne n’osait faire l’opération pour elle. Après avoir cette nouvelle, Janine était soulagée. Finalement, Nadine pourrait se remettre. Janine s’est levée et a dit :« Alors, je vous souhaite une vie heureuse à l’avance. Laisse-moi passer, s’il te plaît. »Carole a froncé les sourcils, ne s’attendant pas à ce que Janine ose répliquer. Elle a tendu la main et a poussé le

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 18

    Bientôt, le médecin est arrivé.Paulin, en regardant les blessures sur le dos des mains de Janine, a froncé les sourcils. « Ne reste plus debout ! Va t’asseoir ! »Janine a baissé la tête et s’est dirigée vers le canapé, mais elle a été repoussée par Pascaline. « Ne t’assois pas ici ! Monsieur le Docteur, dépêchez-vous d’examiner Carole. J’ai peur qu’elle ait des cicatrices. »Carole s’est assise sur le canapé et a jeté un regard triomphant à Janine.Janine restait immobile et n’a pas bougé, comme si elle ne se souciait de rien. L’homme à côté d’elle lui a jeté un coup d’œil et n’a finalement dit rien.Après que le docteur a posé la trousse médicale, il a commencé à vérifier le poignet de Carole, et a constaté qu’il était juste un peu rouge, et il n’y avait même pas d’excoriation. Avec une expression compliquée, il a pris la parole :« Cela n’a pas besoin de traitement. »« Pourquoi n’a-t-elle pas besoin de traitement ? Si Carole a des cicatrices, tu en assumeras la responsabilité. »

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 19

    Janine s’est assise sur le canapé pendant que le médecin lui donnait des médicaments. Ensuite, le médecin lui a dit :« Vous ne pouvez pas vous laver les mains pour les jours prochains, et les blessures se guérissent lentement. »À ce moment-là, Nadine a demandé d’un ton inquiet :« Janine, dis-moi comment tu t’es blessée. »Janine a jeté un coup d’œil à Carole, cette dernière a laissé échapper une expression coupable. Pascaline a immédiatement pris la parole :« Janine, qu’est-ce que tu veux dire ? Il est évident que c’était un accident. N’accuse pas Carole à tort. Elle a justement voulu te donner un coup de main, et elle a également été blessée. »Nadine a hurlé de colère :« Tais-toi ! Je ne t’ai pas demandé ! »Pascaline s’est aussitôt tue, mais elle avait une expression mécontente, parce que Nadine ne l’aimait pas habituellement. Pascaline ne savait pas pourquoi sa belle-mère n’aimait que Janine. Janine a répondu d’un ton calme :« Grand-mère, c’était juste un accident, je me s

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 20

    Les cheveux et les vêtements de Carole et Louise étaient tous en désordre, et il y avait des blessures sur leurs corps à cause de la spatule. Carole a crié de douleur :« Pascaline me rendra justice ! »« Nous sommes dans la villa de Nadine. La personne qui a le dernier mot est Nadine. Pensez-vous que Nadine va-t-elle vous croire ? Je vous préviens de ne pas revenir me chercher des noises. Sinon, je ne vous laisserai pas tranquilles. »Louise a dégluti. Elle avait l’air désespérée, car ce que Janine disait était vrai : Nadine croirait définitivement Janine !Après que Janine avait terminé ses mots, elle a quitté la cuisine sans se retourner.Carole et Louise étaient assises sur le sol dans un état pitoyable. Carole était tellement en colère qu’elle a grincé des dents.« Je ne laisserai pas Janine tranquille ! Je vais certainement me venger d’elle ! »Dans le coin, Paulin a été témoin de tout cela. Il a levé un sourcil et a regardé dans la direction où Janine est partie. Il ne s’attenda

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 21

    Paulin a interrompu sa mère :« Mangeons d’abord. »Nadine a regardé Janine avec un sourire. « J’ai préparé ta soupe préférée. Paulin, dépêche-toi de servir de la soupe à ta femme. »Janine, nerveuse, a voulu prendre la cuillère elle-même, mais elle ne s’attendait pas à ce que l’homme à côté d’elle la devance. Il lui a servi la soupe avec sa main belle.Janine, en regardant la soupe au poisson qui était posée devant elle, a soudain perdu son appétit.Pascaline a murmuré d’un ton mécontent :« Mon fils t’a personnellement donné la soupe. Ne l’aimes-tu pas ? »Nadine la regardait avec inquiétude.« Janine, tu n’aimes pas cette soupe ? »« Non, je l’aime bien. »Janine a pris le bol, parce qu’il y avait un regard autour d’elle qui ne pouvait pas être ignoré. Lorsqu’elle a senti la soupe de poisson, elle a inconsciemment froncé les sourcils. Néanmoins, elle a tout de même pris une gorgée de la soupe, mais elle n’est pas arrivée à en prendre la deuxième bouchée.Quelques secondes plus tard

Latest chapter

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 509

    Carole a eu soudain un mauvais pressentiment.Madame Pascaline a été visiblement surprise en disant : « Tu n’es pas au courant ? Janine a retrouvé sa famille. Ce jour-là, elle était au centre commercial avec eux pour acheter une robe. Sa famille possède même une carte VIP suprême de Dior, avec laquelle ils peuvent choisir n’importe quelle pièce en édition limitée. »En disant cela, Madame Pascaline a jeté un regard perplexe à Janine : « Pourquoi as-tu seulement acheté une robe, sans prendre un sac ? C’est un ensemble pourtant ! »Le visage de Janine s’est assombri légèrement. Elle a senti le regard de Paulin posé sur elle, mais a répondu calmement : « Parce que je n’aime pas. »Les sourcils de l'homme se sont froncés.Était-ce parce qu’elle n’aimait pas le sac ou parce qu’elle n’aimait pas ce qu’il lui avait offert ?À côté, Carole a poussé soudain un cri strident : « C’est impossible ! Ce n’est pas possible ! Janine, comment as-tu pu retrouver ta famille ? C’est forcément faux ! »Si

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 508

    « Pourquoi serai-je en colère ? », a-t-elle demandé« La robe de Janine … » a marmonné CaroleMadame Pascaline, légèrement impatiente, a interrompu : « Une robe, encore une robe. Mademoiselle Carole, tout ce qui vous intéresse, c’est de comparer ces choses ? »Carole ne s’attendait absolument pas à ce que Madame Pascaline dise une telle chose.Janine a esquissé un léger sourire : « Carole, sais-tu pourquoi ton coup n’a pas marché aujourd’hui ? Parce que le jour où j’ai acheté cette robe, Madame Pascaline était justement présente. »« Quoi ? »Le visage de Carole a changé plusieurs fois de couleur, comme si elle avait quelque chose de coincé dans la gorge qu’elle ne pouvait ni cracher ni avaler.Cela signifiait que la robe de Janine était bel et bien authentique !Janine a jeté un coup d’œil à Madame Pascaline, visiblement contrariée, et a poursuivi : « J’ai raison, n’est-ce pas, Madame Pascaline ? »Cette dernière, le visage sombre, a répondu : « Oui, et maintenant, tu es fière de toi,

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 507

    Janine a regardé Carole calmement et a dit :« Puisque cette robe a été achetée par un membre de ma famille, je ne peux pas te laisser dire n’importe quoi et salir son authenticité. »Carole a éclaté de rire sarcastiquement : « Ta famille ? Tu penses vraiment que ta famille a les moyens d’acheter cette robe ? »Carole ne croyait pas un mot de ce que Janine disait. Elle avait déjà enquêté sur son passé et savait que la famille adoptive de Janine était pauvre, incapable de se permettre de tels articles de luxe.« Crois ce que tu veux. Mais ce qui m’étonne, Carole, c’est que toi, tu oses porter une contrefaçon ? Et ton sac, il est aussi faux ? », a ajouté JanineLe mot contrefaçon a piqué Carole au vif.Elle s’est écriée d’une voix aiguë : « C’est toi qui portes du faux ! Mon sac est absolument authentique ! »Madeleine est intervenue en riant : « Peut-être, mais ta robe, elle, est bien une contrefaçon. »Le visage de Carole s'est déformé de colère.« Janine ! Arrête de jouer la sainte. J

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 506

    La meilleure amie de Janine, Madeleine, s’est avancée et a lancé un regard méprisant à Carole : « Tout le monde à l’école parle maintenant de la relation entre Janine et Paulin. La dernière fois, lorsque Janine a été faussement accusée et insultée anonymement, Paulin s’est rendu personnellement au bureau du directeur pour clarifier publiquement leur statut de couple. »Carole a serré les dents de rage. Elle avait effectivement entendu parler de cet incident, mais heureusement, les rumeurs n’avaient pas encore été largement diffusées, restant confinées à un cercle restreint à l’école.La petite acolyte de Carole a rétorqué immédiatement : « Tout le monde sait que les grandes familles aiment faire semblant. Janine sera bientôt mise à la porte. Ce n’est qu’une femme déchue, alors pourquoi se donne-t-elle autant d’importance ? »Madeleine a explosé de colère en entendant cela : « Tu racontes n’importe quoi ! Tu es en train d’insulter qui, là ? »« Est-ce que je mens ? Si Janine était vraim

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 505

    Janine a aperçu Carole entrer avec une fille qu’elle a reconnu immédiatement : c’était celle qui était très proche de Carole au conservatoire de musique.Son regard se posait sur Carole, et elle a remarqué que leurs robes n’étaient pas simplement similaires, mais identiques !N’avait-on pas dit que cette robe était unique dans toute la ville de Paris ?Mais Janine était certaine d’avoir acheté l’originale. Alors, la robe que portait Carole, serait-ce une contrefaçon ?À ce moment-là, Carole a remarqué aussi la robe de soirée de Janine.La coupe impeccable, le tissu de haute qualité … Tout cela respirait le luxe. Les yeux de Carole se sont emplis aussitôt de jalousie.Se pourrait-il que cette robe unique ait été achetée par Janine ?Impossible ! Comment une personne comme Janine aurait-elle les moyens d’acquérir une telle pièce ?Dès l’entrée de Carole, tous les regards ont convergé vers elles, ou plus précisément, vers leurs robes.Une voix basse s’est élevée dans la salle : « Mais

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 504

    Carole a affiché une expression un peu gênée : « J’avais un peu de travail à faire tout à l’heure, alors je n’ai pas vu le message que mon grand frère m’a envoyé sur Whatsapp. »Louise s’est avancée avec enthousiasme et a pris son bras : « Carole, allons-y ensemble. Tu ne sais pas, mais la scène où tes cousins et tes frères sont descendus de la voiture tout à l’heure était incroyable ! Je te garantis que toutes les filles présentes ont été séduites sur le champ. »Elle avait les yeux pétillants d’admiration, ne sachant pas lequel choisir comme potentiel petit ami, car ils étaient tous incroyablement beaux.Carole a affiché un sourire fier, jetant un coup d’œil à Louise, et a retiré doucement son bras :« Louise, j’aimerais discuter seule avec ma famille. Plus tard, je te présenterai mes frères, d’accord ? »Le sourire de Louise a disparu instantanément, remplacé par une expression embarrassée. Elle a hoché la tête :« Carole, qu’est-ce que tu veux dire ? Tu m’avais promis que je pourrai

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 503

    Carole, voyant l’expression arrogante de Lucienne, a levé à nouveau la main et lui a asséné une gifle : « Pour qui te prends-tu, pour oser me remettre en question ? »Après avoir reçu deux gifles, Lucienne a levé les yeux et fixait Carole : « Quoi, j’ai touché un point sensible ? Il s’est passé quelque chose quand tu as rencontré Janine, pas vrai ? J’ai entendu dire que la fille de la famille Leclerc s’était perdue et avait été retrouvée plus tard dans un orphelinat. Tu as rencontré Janine à cette époque, dans le même orphelinat, non ? »Le visage de Carole a changé immédiatement de couleur à ces mots :« Comment tu … Lucienne, tu crois vraiment que quelqu’un va croire tes suppositions absurdes ? »Cette dernière a esquissé un sourire :« Mademoiselle Carole, ou devrais-je dire autre chose ? Tu veux savoir comment je le sais, n’est-ce pas ? C’est simple : j’ai pris ta photo et je l’ai montrée à l’ancien directeur de l’orphelinat. Elle se souvient encore de toi, surtout parce que tu res

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 502

    Carole a montré un peu d’impatience :« Je te l’ai déjà dit très clairement. Si tu fais ce que je te demande, tu n’auras jamais à te soucier d’argent. L’université, pour nous qui avons de l’argent, ça ne représente rien du tout. »Tant que Lucienne prenait l’identité de Janine pour devenir la fille de la famille Leclerc, comment pourrait-elle manquer d’argent ? Aller à l’université ou non ne faisait aucune différence. Bien sûr, Carole préférait que Lucienne n’y aille pas ; ce serait plus facile de la contrôler ainsi.Lucienne a protesté avec un peu de rancune : « Mais pour quelqu’un comme moi, aller à l’université, c’est très important. »Voyant que Lucienne refusait d’accepter, Carole a fait immédiatement une grimace et a répondu d’un ton glacial : « Très bien, puisque tu refuses, je vais appeler le directeur pour lui dire que tu es encore à l’école ! »« Non, je vous en supplie, mademoiselle Carole ! », a-t-elle dit.Affolée, Lucienne a attrapé Carole par le bras. Par accident, se

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 501

    Janine a descendu les escaliers quand elle a aperçu Carole, accompagnée de son secrétaire, prenant l'ascenseur. Elle semblait savoir que Lucienne était ici.Cependant, Janine a remarqué un sac à main que Carole tenait, qu'elle trouvait un peu familier.Elle s'est figée un instant en pensant : Ce sac, c'était celui que Paulin lui avait fait livrer il y a quelques jours, un sac de luxe en édition limitée qu'elle n'avait pas voulu accepter. Comment cela se faisait-il que ce sac soit maintenant entre les mains de Carole ? Est-ce que Paulin l'avait offert à Carole ? Un léger sourire sarcastique est passé dans les yeux de Janine. Oui, maintenant qu'elle était divorcée de Paulin, il n'était pas surprenant que ce dernier offre un sac de luxe à Carole.Après tout, aux yeux de Madame Pascaline, Carole et Paulin formaient un couple parfaitement assorti.Cependant, Janine ressentait une légère gêne au fond d'elle.Elle a détourné rapidement le regard et a repris ses esprits. Après tout, elle a

Scanner le code pour lire sur l'application
DMCA.com Protection Status