Share

Chapitre 112

Penulis: Ursule Joly
Lorsque Janine est sortie du restaurant et a aperçu une voiture de luxe noire garée sur le côté de la route, ses paupières ont tressailli. Paulin était-il venu ?

Elle a marqué une pause, puis, s'est retournée et a dit à Madeleine : « Partez d'abord, je vais aux toilettes. »

Janine a fait demi-tour et est retournée dans le restaurant, se cachant à l'intérieur pendant une dizaine de minutes, attendant que ses camarades soient tous partis avant de sortir.

Soudain, son téléphone a sonné.

Janine a décroché et a entendu une voix d'homme grave à l'autre bout : « Sors. »

« Bon, j'arrive », a-t-elle répondu.

Après avoir raccroché, Janine est sortie lentement du restaurant, a vu que ses camarades s'étaient dispersés, puis s'est dirigée vers la voiture de luxe noire.

Elle a rapidement ouvert la portière de la voiture et y est montée précipitamment, comme si elle fuyait le roi des enfers.

L'homme a plissé les yeux et s’est dit : « Est-ce que les étudiants doivent aussi remplir des obligations s
Bab Terkunci
Lanjutkan Membaca di GoodNovel
Pindai kode untuk mengunduh Aplikasi

Bab terkait

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 113

    Après avoir entendu les paroles du directeur, Janine a tout à coup commencé à se sentir mal à l'aise. Elle a fixé Paulin qui se tenait là-bas, ses yeux pleins de refus. Finalement, il a simplement répondu : « Ce n'est pas nécessaire. »Sur ces mots, Janine s’est soulagée, voyant le directeur emmener Paulin s'asseoir au premier rang au milieu, ce qui a montré sa position et son statut particuliers.Franchement, elle ne comprenait pas pourquoi Paulin, cet homme très occupé, était venu ici. Cependant, elle a bientôt compris la raison.Lorsqu'elle était sur scène, Paulin, en tant que sponsor de la bourse, est monté sur scène pour remettre personnellement les prix aux étudiants lauréats. Janine a dévisagé l'homme bien habillé qui se dirigeait vers elle. Paulin tenait le certificat de récompense, la regardant du haut de sa position : « Continue comme ça. »Janine : « ... »Son sourire était un peu crispé alors qu'elle prenait le certificat des mains de celui-ci, ayant vraiment envie de

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 114

    L'appel terminé, Janine a également reçu un bonus du café de son frère.Elle a été un peu perplexe, elle était maintenant enceinte et ne pouvait pas boire de café ! Dix minutes plus tard, Janine a reçu les informations envoyées par son frère Benjamin, et le nom associé à l'adresse IP était bien celui de la déléguée de classe. Il a dit d'un air froid : « Janine, veux-tu que j'expose les informations de cette personne ? »« Non, je sais comment régler cette affaire », a-t-elle répondu.Les rumeurs sur le forum de l’université se sont répandues rapidement, la plupart des étudiants étaient au courant de l'affaire. Janine n'avait pas de cours l'après-midi, elle est donc directement allée au studio. Elle venait de s'asseoir quand Richard est sorti du bureau : « Janine, j'ai entendu parler de l'affaire du forum de l’université, ne t'inquiète pas, la vérité finira par éclater. » « Je sais », a-t-elle répondu.Elle savait qui était derrière tout ça, et elle savait aussi comment régler la si

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 115

    Une voix froide et sombre a retenti, brisant l'atmosphère glaciale du bureau. Janine s'est retournée pour voir l'homme se tenant à l'entrée, sa haute silhouette bloquant la lumière extérieure, son cœur a tressailli. Puis, elle a vu Paulin entrer, dégageant une aura imposante. Le directeur s'est empressé de le saluer : « Bonjour, Monsieur Paulin, que faites-vous ici ? »« Bonjour, je suis venu pour vous clarifier une affaire ». a-t-il répondu.Paulin l'a regardé fixement : « En fait, la voiture sur la photo est la mienne. »Le directeur est resté figé, incapable de reprendre ses esprits pendant un moment, n'ayant jamais imaginé que cette voiture appartenait à Paulin Cordier. Bientôt, il a répondu avec hésitation : « Désolé, Monsieur Paulin, nous n'enquêtons que sur cette affaire, nous n'avons aucune autre intention. »L'homme s'est assis sur le canapé à côté : « Ce n'est pas grave, continuez. »Janine a regardé à nouveau le directeur, lui tendant les preuves qu'elle tenait : « À pro

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 116

    Janine n'a pas non plus eu de sympathie pour la cheffe de classe, car si quelqu'un essayait de manipuler les autres, il devrait aussi être prêt à en assumer les conséquences. Une fois que la crise a été résolue, Janine s'est directement rendue à l'hôpital après les cours pour rendre visite à la vieille dame Nadine.Après tout, l'opération était prévue pour ce week-end. En sortant de l'ascenseur à l'hôpital, elle a rencontré Madame Pascaline, la mère de Paulin, qui a pris la parole avec arrogance : « Tiens, Janine, tu as l'air de bonne humeur, crois-tu vraiment que tu es capable d'apaiser cette tendance toute seule à l'école ? C'est grâce au soutien de notre famille Cordier ! »Sur ces mots, l'expression de Janine s'est légèrement assombrie en ripostant : « Mais je peux aussi la régler par moi-même. »« Hmm, arrête de jouer ce jeu, Janine. Mais qu'as-tu dit à mon fils pour qu'il accepte d'aller expliquer à l'école pour toi, refuse même de se fiancer avec Mademoiselle Caroline juste po

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 117

    Sur ces mots, l'homme a posé ses baguettes et l'a regardée droit dans les yeux avec un regard calme et puissant. Janine a pris une profonde inspiration : « Pourquoi as-tu décidé de remplacer le médecin de grand-mère ? J'entends dire que le frère de Carole est en effet le meilleur médecin dans ce domaine, il aurait pu opérer grand-mère. »Le regard de l'homme s'est assombri, il a légèrement bougé sa gorge : « Qui t'a dit tout ça ? »« Quand je suis allée rendre visite à grand-mère à l'hôpital aujourd'hui, j'ai rencontré ta mère », a-t-elle expliqué.Paulin s'est légèrement reculé, ses lèvres fines se serrant froidement : « Et alors ? C'est ça ce que tu voulais me dire ? »« Paulin, je pense que tu devrais accepter les conditions du frère de Carole, après tout cela ne te causerait aucun tort. »Après avoir dit cela, une atmosphère tendue a envahi la salle à manger. Elle regardait l'homme en face d'elle, se sentant soudain un peu perdue.Paulin a esquissé un sourire énigmatique : « Vrai

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 118

    Janine a hoché la tête : « C'est vrai, tu es vétérinaire, tu es aussi dans le domaine médical. Connais-tu des amis ou des camarades qui sont des chirurgiens cardiaques renommés ? »« Oui, je connais justement un chirurgien cardiaque, mais il est originaire de Marseille. Je peux lui demander de te donner un coup de main », a répondu Cyril. Il était un chirurgien cardiaque renommé, si c'était pour aider l'amie de sa sœur, il pouvait toujours trouver du temps pour une opération. Cela permettrait à sa sœur de ne pas s'inquiéter autant, alors cela lui faisait plaisir de l’aider. « Vraiment ? C'est génial », a dit Janine.Une lueur de joie est apparue dans les yeux de Janine. Si Paulin ne voulait pas être forcé à se fiancer à Carole, elle pourrait lui proposer le médecin recommandé par son frère. Si elle ne trouvait pas de médecin approprié dans la ville de Paris, peut-être qu'il y en aurait un dans le sud du pays. Le soir, Janine a dormi chez elle, sans sortir nulle part. Elle prévoy

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 119

    Après avoir aperçu ce document, Janine a rapidement compris ce que c’était.Elle ne l'a pas signé et a dit : « Je t'ai dit, je ne veux rien de tout ça. »Janine n'avait pas besoin de ses biens. L'homme a froncé les sourcils et a répondu : « Je n'ai pas le temps de te voir jouer des tours. »« Paulin, je n'ai jamais compté jouer des tours avec toi, je suis sincère », a-t-elle riposté.Janine s'est tournée vers lui : « Tu as dit que tu détestais être manipulé, et c'est vrai que j’ai été égoïste au début, ma présence pendant ces trois ans a dû te dégoûter. Alors considère cela comme une compensation pour ta perte morale, tu n'as pas à me donner d'argent. J'ai décidé de partir les mains vides. » Paulin a posé sa main sur son front, s'est tourné pour la fixer et a dit : « Ce n'est pas nécessaire, c'est ce que je dois faire. Je ne suis pas assez mesquin pour une femme qui a partagé ma vie. »Elle a jeté un coup d'œil au document et l'a déchiré en deux : « Oui, je sais que Monsieur Paulin es

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 120

    « Madame Marie, ne vous inquiétez pas, je vais bien, je le comprends », a répondu Janine. Elle faisait comme si rien ne s'était passé, et après le dîner, elle étudiait quelques connaissances sur les femmes enceintes, ce qu’elle avait besoin d'apprendre actuellement.Elle souhaitait également oublier rapidement ce qui la dérangeait... Le lendemain, en lisant les actualités sur les réseaux sociaux, Janine est tombée sur une nouvelle : Carole et son petit ami dînent ensemble avant de faire du shopping dans une bijouterie pour acheter une bague.En voyant cette nouvelle, elle s'est sentie étouffée. Même si on ne pouvait pas voir clairement leur visage sur la photo, il était évident que c'était Paulin et Carole. Ils venaient de demander le divorce à la mairie la veille, et le soir même cet homme était allé dans une bijouterie avec Carole pour acheter leur bague de fiançailles...Quelle ironie !Cependant, Janine a rapidement éteint son téléphone et s'est concentrée sur ce qu’elle devait a

Bab terbaru

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 532

    La femme d’âge mûr, voyant que la situation tournait mal, s’est aussitôt mise à pleurnicher :« Oh, Mme Lejeune ! Venez voir, vous qui êtes si juste ! On a appris que vous étiez sortie de l’hôpital, alors on a spécialement acheté un cadeau et nous sommes venues vous voir, et voilà qu’on nous met à la porte ! »Janine a froncé les sourcils :« Tais-toi, tu vas réveiller ma grand-mère ! »Elles ne savaient donc pas que Mme Lejeune se reposait ?« Bon, ça suffit, qu’est-ce que c’est que tout ce bazar ? »Les portes de l’ascenseur se sont ouvertes, et Mme Lejeune est sortie. Lorsqu’elle a aperçu Janine, un sourire est aussitôt apparu sur son visage :« Gamine, viens par ici que je te voie. »Janine venait à peine de se lever quand la femme refaite s’est jetée sur la vieille dame en sanglotant :« Mme Lejeune ! »Mais celle-ci s’est écartée légèrement et a laissé la femme tomber lourdement par terre avec un cri de douleur.Rien qu’en entendant le bruit, Janine en a eu mal pour elle.Mme Lej

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 531

    En voyant le comportement de cette mère et de sa fille, Janine n'a pu s'empêcher de soupirer intérieurement : elles n’avaient vraiment pas changé.Le majordome, d’un ton froid, a déclaré :« Ces fruits sont préparés pour la jeune maîtresse. »La femme d’âge moyen a rétorqué immédiatement : « Elle n’est plus la femme de Paulin, en quoi serait-elle encore une jeune maîtresse ? Si on ne la met pas dehors, elle devrait déjà s'estimer heureuse, et elle voudrait encore manger des fruits ? »La jeune femme au visage refait a ajouté d’un air méprisant : « Exactement, ce sont des fruits importés, très chers. Une certaine personne, pauvre comme elle est, ne doit sûrement pas avoir les moyens d’en manger depuis qu’elle a quitté la famille Cordier. »Janine ne voulait pas perdre de temps à argumenter avec elles. Elle s'est tournée vers le majordome et a dit calmement :« Apportez-leur un autre plateau de fruits. »Le majordome a obtempéré immédiatement et est revenu avec un autre plateau qu’il a d

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 530

    Maintenant qu'elle avait de l'argent, elle pouvait dépenser sans compter.Elle a choisi plusieurs foulards en soie, pensant qu'ils mettraient bien en valeur le teint de sa grand-mère.Au moment de passer à la caisse, une carte bancaire fut tendue derrière elle : « C'est sur ma carte. »Janine a posé sa main sur la carte et s'est retournée pour regarder Paulin : « Tu fais quoi ? »« Je n'ai pas l'habitude de laisser une femme dépenser son argent. »« Oh, et quand je dépensais mon argent pour acheter des courses et cuisiner, je n'ai pas vu que ça te gênait. Maintenant qu'on est divorcés, et que je ne manque pas d'argent, tu viens me dire que tu n'as pas l'habitude ? Tu ne trouves pas que c'est un peu tard pour ça ? »Après ces mots, l'employée à la caisse a hoché la tête vigoureusement : « Exactement ! Les femmes doivent être indépendantes financièrement ! »« C'est ça. Utilisez ma carte. »Janine a sorti sa propre carte, l'a tendue pour régler, puis a pris les boîtes contenant les foula

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 529

    Janine a froncé les sourcils. Que voulait vraiment Paulin ?Elle avait déjà assez attiré l'attention à l'école aujourd'hui et n'avait pas envie de continuer dans cette direction. De toute façon, elle était maintenant une véritable héritière de la famille Leclerc, et ce type ne devrait pas oser lui faire quoi que ce soit.Après tout, elle avait six frères pour la protéger !Elle a pris son sac et a descendu les escaliers, se glissant rapidement dans la voiture, de peur d’être vue par d’autres.Paulin a baissé les yeux vers elle : « Les femmes enceintes courent comme ça ? »Janine s'est sentie légèrement gênée : « Qu’est-ce que tu veux dire ? Allez, dis-le vite, j’ai des choses à faire. »« Conduis. »Janine a remarqué que la voiture roulait lentement, et soudainement, une pointe de panique l'a saisie : « Paulin, tu comptes m’emmener où ? »« T’inquiète, je ne vais pas te manger. »« Je te préviens, si tu oses faire quoi que ce soit, mon frère ne te le pardonnera pas ! »Janine n’avait

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 528

    La grand-mère s'est mise immédiatement à jouer la carte de la victime : « Mes jambes me font tellement mal ... Mon vieux problème doit être de retour. »« Maman, dors dans ma chambre, », a répondu la grand-tante, incapable de laisser sa mère dormir dans le salon.Finalement, Janine n'avait d’autre choix que de partager sa chambre avec sa tante, laissant cette mère et cette fille s’installer dans la chambre de la tante.Après s’être lavée et mise au lit, Janine a eu l’impression de vivre un rêve étrange.Elle était devenue la véritable fille de la riche famille Leclerc !Mais elle savait qu’elle ne pouvait pas encore en parler à sa tante. Si ces deux femmes profiteuses venaient à l’apprendre, elles ne manqueraient pas de se jeter sur elle. Elle préférait attendre d’être partie pour Marseille avec ses frères avant de tout révéler à sa tante.Un léger sourire est apparu sur ses lèvres, et un sentiment de soulagement a envahi son cœur. Cela signifiait-il qu’elle pouvait enfin vivre la vi

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 527

    Janine connaissait trop bien cette mère et cette fille.« Parler d’un prêt ? En réalité, elles veulent juste de l’argent gratuit. »Au fil des années, elles avaient emprunté pas mal d’argent à sa tante paternelle sans jamais le rembourser. Elle n’avait pas oublié qu’à l’époque où son oncle était gravement malade et hospitalisé, nécessitant de l’argent pour sauver sa vie, elles avaient regardé la situation avec froideur et indifférence.Pas question pour elle de jouer à la sainte.Mais sa petite tante, face à elle, refusait encore obstinément d’écrire la reconnaissance de dette. Pendant ce temps, la belle femme, exaspérée, s’impatientait :« Alors, vous payez ou pas ? Si vous ne payez pas, j’appelle la police. Je n’ai pas de temps à perdre avec vos petits drames. »Voyant la femme sortir son téléphone pour appeler la police, la petite tante, finalement acculée, a pris le stylo et a rédigé une reconnaissance de dette.Janine a esquissé un léger sourire : « Parfait. Par Applepay ou Alipa

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 526

    Elle a dit calmement : « Tu veux que je t’aide comment ? »Cette belle femme a répondu : « Ma robe n’est pas si chère, cinq mille euros. »« Janine, tu es tellement riche, ça ne doit pas te manquer, non ? Le plus important, c’est que cette femme est insupportable, elle a osé nous mépriser. Une robe à cinq mille, ce n’est rien pour toi, n’est-ce pas ? Ta robe est bien plus chère que ça. »Janine, visiblement exaspérée, a répondu : « Ce n’est pas moi qu’elle méprise, c’est toi. »La tante s'est tordue le visage : « Mais on est de la même famille, non ? »« Moi, je suis de la famille de ma tante paternelle. »D’une voix glaciale, Janine a lancé un regard à sa tante paternelle : « Vous devriez aller aux toilettes, je vous attends dehors. »« Grande sœur ! Tu ne peux pas m’abandonner ! Si tu ne m’aides pas, je vais être arrêtée aujourd’hui ! Aide-moi à payer, je t’en supplie. »La grand-mère, en larmes, a attrapé la main de la tante paternelle et a sangloté : « Ma fille, quand tu n’étais pa

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 525

    Janine a baissé silencieusement les yeux, faisant semblant de ne rien savoir.Sa tante, qui se tenait à côté d'elle, ne s'attendait probablement pas à une réponse aussi directe et s'est retrouvée un peu embarrassée : « De nos jours, qui parle encore de mariages arrangés entre familles de même rang social ? En plus, notre famille a bien rendu service à Janine à l'époque. Maintenant qu'elle a retrouvé une famille riche, elle voudrait nous abandonner ? »« Si je ne me trompe pas, les seules personnes qui ont réellement aidé Janine sont sa grand-tante et son oncle, pas vous. D'ailleurs, mes frères cherchent une femme qui soit bien leur égale, et au moins issue d'une famille avec des moyens convenables ! »La belle-sœur, Donatienne, a répondu d'une manière particulièrement franche, avec une pointe d’ironie.La tante, se sentant humiliée, a rougi instantanément et les larmes lui sont montées aux yeux : « Vous insinuez qu’on est pauvres ? Et alors ? Être riche vous donne tous les droits ? »L

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 524

    « Janine, ton cousin travaille maintenant dans la livraison, il connaît bien ce domaine. »Ah, alors le cousin livre des colis, pas étonnant qu’il ait trouvé où vit la grande tante.Quelle erreur !Ces deux femmes, dans l’ascenseur tout à l’heure, n’essayaient-elles pas clairement de demander de l’argent à la grande tante ?Janine ne prêtait même pas attention à ces paroles. Sa grande tante, étant une personne honnête, ne comprenait pas les sous-entendus.Finalement, les deux femmes étaient obligées de se taire, frustrées.La tante cadette a jeté un regard furtif au bracelet porté par sa sœur aînée, une lueur d’envie dans les yeux.Ce bracelet valait cent mille euros, si seulement il lui appartenait ...Lorsque les portes de l’ascenseur se sont ouvertes, tout le groupe est sorti.Janine a accompagné sa grande tante, ignorant complètement les deux femmes derrière elles.Dehors, six voitures étaient garées.Les cinq frères, en les voyant sortir, sont descendus des voitures et se sont ava

Pindai kode untuk membaca di Aplikasi
DMCA.com Protection Status