Share

Chapitre 102

Author: Ursule Joly
Carole suivait Madame Pascaline de près, apercevant Janine assise là-bas, un soupçon d'obscurité est passé dans ses yeux.

Janine a aussi senti le regard hostile de Carole, mais elle s'en foutait, puis Madame Pascaline était déjà en train de lui parler sans ménagement : « Janine, lève-toi et cède ta place à Mademoiselle Carole, elle est mon invitée de marque ! »

« Reste assise ! », a interrompu la vieille dame

« Ce n'est pas nécessaire », a dit Paulin

Janine s'était déjà levée d'instinct, mais a été retenue par la vieille dame, tout en entendant la voix de l'homme à côté d'elle.

Madame Pascaline a aussitôt réprimandé son fils : « Paulin, que fais-tu, il y a un problème si Janine se lève un instant ? Mademoiselle Carole est venue spécialement pour voir Mamie, si on ne lui donne pas une chaise, ce serait une blague ! »

Carole a dit hypocritement : « Merci, Madame Pascaline, mais ce n'est pas grave, je peux rester debout. »

La vieille dame Nadine a reniflé en disant : « Maintenant, c'es
Locked Chapter
Continue Reading on GoodNovel
Scan code to download App

Related chapters

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 103

    À ce moment-là, un certain espoir brillait dans les yeux de Janine.Et Paulin a également remarqué sa démarche maladroite, ses yeux ronds d'un noir profond, exprimant une touche d'incertitude et d'espoir. Ce simple regard l'a fait momentanément fléchir.Il s'est approché d'elle à toute vitesse et a attrapé la main de Janine, la stabilisant. Et Janine pensait déjà qu'elle allait tomber cette fois-ci, elle s'y était mentalement préparée, sachant qu'entre elle et Carole, Paulin choisirait forcément cette dernière ! Mais elle ne s'attendait pas à ce que l'homme la choisisse cette fois-ci ! Elle s'est blottie contre lui, le regardant incrédule, son cœur battant plus vite, avec un peu de peur.Si elle était tombée tout à l'heure, elle n'osait même pas imaginer les conséquences pour son fœtus. À ce moment-là, la voix de Carole, l'air misérable, s'est faite entendre : « Paulin ! »Janine s'est tournée finalement pour voir Carole assise par terre, les yeux rouges, sur le point de pleurer, c

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 104

    Et s'il lui demandait d'avorter ? Didi—Une voiture de luxe s'est arrêtée sur le côté de la route et a klaxonné. Janine a reconnu que c'était la voiture de Paulin, elle a vu la vitre s'abaisser et un homme assis sur le siège du passager, son profil beau et élégant caché à l'intérieur de la voiture, ses yeux fins et perçants. Les lèvres fines de l'homme ont légèrement bougé : « Monte. »En réalité, Janine ne voulait pas du tout monter dans sa voiture, mais l'homme ne lui a pas laissé l'opportunité de refuser.Elle a remarqué que beaucoup de gens les regardaient, alors elle s'est penchée pour monter dans la voiture. La portière s'est refermée, les séparant de tout ce qui se passait à l'extérieur. Janine s'est assise près de la portière, même ainsi, elle pouvait toujours sentir la présence puissante et imposante de l'homme à côté d'elle.Elle retenait son souffle et n'a rien dit, comme si elle attendait son jugement final. Après un moment, sa voix grave et tranchante a résonné à ses

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 105

    Paulin lui demandait si elle savait comment jouer le rôle d'une femme enceinte ?Janine a eu une pause dans son expression, avait-elle besoin de jouer ce rôle ? Après tout, c'était déjà son état.Elle pouvait bien jouer ce rôle !Janine a demandé : « T'inquiète, je vais le bien jouer. »Paulin a ajouté : « Tu as raison, ton jeu d'acteur a toujours été excellent. Ne te prends pas trop la tête, car Madame Marie viendra s'occuper de toi comme une femme enceinte, je souhaite que tu ne sois pas démasquée par elle. »« Monsieur Paulin, ne t'inquiète pas, je jouerai parfaitement mon rôle, mais tu devras te dépêcher de planifier l'opération pour Mamie », a-t-elle ditElle ne voulait pas avoir à faire face à Carole, il suffisait que Paulin s'en occupe directement. Cette pute était une actrice exceptionnelle et continuerait de jouer des tours devant Paulin, donc il ne serait pas question de retarder l'opération. Janine est descendue de la voiture et est entrée dans le hall, l'homme l'a suivie

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 106

    Cependant, certains plats étaient un peu loin d'elle, elle les a regardés brièvement puis a abandonné. À la seconde suivante, la fourchette de Paulin est tombée devant elle, son regard s'est figé un instant, puis elle a dit calmement : « Merci mon amour, tu dois en manger aussi. »Janine a souri en lui servant un plat qu'il n'aimait pas, qu'elle a déposé dans son assiette.L'homme a jeté un coup d'œil, a repris sa fourchette sans changer d'expression.À côté, Madame Marie a hoché la tête de manière satisfaite, elle devait faire un rapport détaillé à la vieille dame. Après le repas, Janine s'est massé le ventre : « J'ai un peu trop mangé. »« Monsieur, accompagnez Madame pour une promenade, c'est bon pour la femme enceinte », a ajouté Madame Marie En l'entendant, la main de Janine s'est arrêtée : « Euh, ce n'est pas nécessaire. » Elle préférait sortir se promener toute seule plutôt que d'être accompagnée par Paulin.Une voix calme s'est faite entendre à ses côtés : « D'accord. »Jan

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 107

    Janine ne s'attendait pas à ce qu'il lui pose cette question, c'était un peu difficile d’y répondre. L'homme, dominant, a fixé son expression embarrassée : « C'est si difficile d’y répondre ? »« Hmm, ça dépend », a-t-elle réponduAprès un instant d'hésitation, elle l'a regardé droit dans les yeux : « Alors, tu veux entendre la vérité ou un mensonge ? » « ... Je pense que tu ferais mieux de te taire », a-t-il lancéÀ ces mots, Paulin s'est retourné et est parti.Puis, Janine a aussi fait un pas en avant, remarquant que le grand chien à côté d'elle se levait, agitant sa queue en la regardant.Elle s'est arrêtée immédiatement, reculant instinctivement de quelques pas : « Ne t'approche pas de moi, s'il te plaît. »En regardant le chien devant elle, Janine n'avait aucune animosité envers les chiens, en raison des traumatismes psychologiques de son enfance, elle ressentait une certaine peur lorsque les chiens s'approchaient d'elle. « Viens ici. » - Alors que Janine s'apprêtait à détaler

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 108

    Janine est retournée dans la chambre à l'étage et a constaté que Paulin n'était toujours pas rentré. Était-il dans le bureau ?En effet, elle était déjà habituée à leur mode de vie, de toute façon Paulin dormait dans le bureau.Elle s'est dirigée vers le dressing et a remarqué que mis à part les vêtements de Paulin, il n'y avait que les siens. Rien n'avait changé ici, c'était comme si elle n'était jamais partie. Elle pensait trouver les vêtements de Carole ici, mais après avoir fouillé toute la pièce, elle n'a trouvé aucune trace d'autres femmes. Cela ne semblait étrange. Janine s'est appuyée contre la porte du dressing, il n'y avait aucune trace de Carole qu'elle ne pourrait trouver. Soudain, elle s'est souvenue que la domestique Charlotte avait dit que Carole n'avait jamais séjourné ici. Est-ce que Paulin, malgré tous ses défauts, était en fait un homme de principe ? Après un moment de réflexion, elle s'est rendu compte que son attention avait de nouveau été détournée par Paul

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 109

    À cette nouvelle, Paulin s'est levé d'un coup, sa voix glaciale : « Quoi ? Que se passe-t-il ? »Il avait enfin trouvé un médecin approprié et, en toute logique, une fois qu'il est arrivé ici, il aurait pu rapidement organiser l'opération de sa grand-mère. « Le médecin a eu un accident de voiture sur le chemin, il est actuellement à l'hôpital en train d'être secouru », a répondu Lucien.« Bon, j’arrive immédiatement », a dit Paulin.Il a soulevé la couverture et s'est dirigé vers le dressing. À côté, Janine a été également réveillée par le bruit. Avait-il des problèmes à l’entreprise ? Très vite, l'homme bien habillé est sorti du dressing, le visage sombre.Elle a frotté ses yeux et a demandé : « Qu'est-il arrivé ? » Paulin a marqué un temps : « Ne t’inquiète pas, rien de grave. »Il n'a pas mentionné l'accident du médecin et a quitté leur villa de mariage.Bientôt, il est arrivé à l'hôpital en voiture, son assistant personnel l'attendait à l'extérieur de la salle d'urgence et lui a

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 110

    Cependant, la seconde suivante, il a reçu un message de Carole sur Instagram, et après avoir lu le contenu, il s’est immédiatement tourné et a quitté la chambre. Janine a aussi remarqué son départ et a lentement ouvert les yeux, avec une pointe d'ironie dans le regard.Elle caressait son ventre, a ajusté son état d'esprit et s'est bientôt endormie.Le lendemain, Janine est rentrée chez elle pour faire ses bagages, prête à s'inscrire à l'école.Sa tante l'a retenue par la main, un peu inquiète : « Veux-tu vraiment vivre à l'internat ? Je peux te préparer de bons repas tous les jours si tu rentres à la maison. » « Tata, je ne suis plus une enfant, ne t'inquiète pas, je peux prendre soin de moi-même », a-t-elle répondu.Janine voulait vivre à l'internat, sinon sa tante s'inquiéterait si elle savait qu'elle passait la nuit chez la famille Cordier, cela pourrait causer des ennuis. Elle ne voulait pas compliquer les choses, surtout avec l'opération de sa grand-mère prévue dans une semain

Latest chapter

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 532

    La femme d’âge mûr, voyant que la situation tournait mal, s’est aussitôt mise à pleurnicher :« Oh, Mme Lejeune ! Venez voir, vous qui êtes si juste ! On a appris que vous étiez sortie de l’hôpital, alors on a spécialement acheté un cadeau et nous sommes venues vous voir, et voilà qu’on nous met à la porte ! »Janine a froncé les sourcils :« Tais-toi, tu vas réveiller ma grand-mère ! »Elles ne savaient donc pas que Mme Lejeune se reposait ?« Bon, ça suffit, qu’est-ce que c’est que tout ce bazar ? »Les portes de l’ascenseur se sont ouvertes, et Mme Lejeune est sortie. Lorsqu’elle a aperçu Janine, un sourire est aussitôt apparu sur son visage :« Gamine, viens par ici que je te voie. »Janine venait à peine de se lever quand la femme refaite s’est jetée sur la vieille dame en sanglotant :« Mme Lejeune ! »Mais celle-ci s’est écartée légèrement et a laissé la femme tomber lourdement par terre avec un cri de douleur.Rien qu’en entendant le bruit, Janine en a eu mal pour elle.Mme Lej

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 531

    En voyant le comportement de cette mère et de sa fille, Janine n'a pu s'empêcher de soupirer intérieurement : elles n’avaient vraiment pas changé.Le majordome, d’un ton froid, a déclaré :« Ces fruits sont préparés pour la jeune maîtresse. »La femme d’âge moyen a rétorqué immédiatement : « Elle n’est plus la femme de Paulin, en quoi serait-elle encore une jeune maîtresse ? Si on ne la met pas dehors, elle devrait déjà s'estimer heureuse, et elle voudrait encore manger des fruits ? »La jeune femme au visage refait a ajouté d’un air méprisant : « Exactement, ce sont des fruits importés, très chers. Une certaine personne, pauvre comme elle est, ne doit sûrement pas avoir les moyens d’en manger depuis qu’elle a quitté la famille Cordier. »Janine ne voulait pas perdre de temps à argumenter avec elles. Elle s'est tournée vers le majordome et a dit calmement :« Apportez-leur un autre plateau de fruits. »Le majordome a obtempéré immédiatement et est revenu avec un autre plateau qu’il a d

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 530

    Maintenant qu'elle avait de l'argent, elle pouvait dépenser sans compter.Elle a choisi plusieurs foulards en soie, pensant qu'ils mettraient bien en valeur le teint de sa grand-mère.Au moment de passer à la caisse, une carte bancaire fut tendue derrière elle : « C'est sur ma carte. »Janine a posé sa main sur la carte et s'est retournée pour regarder Paulin : « Tu fais quoi ? »« Je n'ai pas l'habitude de laisser une femme dépenser son argent. »« Oh, et quand je dépensais mon argent pour acheter des courses et cuisiner, je n'ai pas vu que ça te gênait. Maintenant qu'on est divorcés, et que je ne manque pas d'argent, tu viens me dire que tu n'as pas l'habitude ? Tu ne trouves pas que c'est un peu tard pour ça ? »Après ces mots, l'employée à la caisse a hoché la tête vigoureusement : « Exactement ! Les femmes doivent être indépendantes financièrement ! »« C'est ça. Utilisez ma carte. »Janine a sorti sa propre carte, l'a tendue pour régler, puis a pris les boîtes contenant les foula

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 529

    Janine a froncé les sourcils. Que voulait vraiment Paulin ?Elle avait déjà assez attiré l'attention à l'école aujourd'hui et n'avait pas envie de continuer dans cette direction. De toute façon, elle était maintenant une véritable héritière de la famille Leclerc, et ce type ne devrait pas oser lui faire quoi que ce soit.Après tout, elle avait six frères pour la protéger !Elle a pris son sac et a descendu les escaliers, se glissant rapidement dans la voiture, de peur d’être vue par d’autres.Paulin a baissé les yeux vers elle : « Les femmes enceintes courent comme ça ? »Janine s'est sentie légèrement gênée : « Qu’est-ce que tu veux dire ? Allez, dis-le vite, j’ai des choses à faire. »« Conduis. »Janine a remarqué que la voiture roulait lentement, et soudainement, une pointe de panique l'a saisie : « Paulin, tu comptes m’emmener où ? »« T’inquiète, je ne vais pas te manger. »« Je te préviens, si tu oses faire quoi que ce soit, mon frère ne te le pardonnera pas ! »Janine n’avait

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 528

    La grand-mère s'est mise immédiatement à jouer la carte de la victime : « Mes jambes me font tellement mal ... Mon vieux problème doit être de retour. »« Maman, dors dans ma chambre, », a répondu la grand-tante, incapable de laisser sa mère dormir dans le salon.Finalement, Janine n'avait d’autre choix que de partager sa chambre avec sa tante, laissant cette mère et cette fille s’installer dans la chambre de la tante.Après s’être lavée et mise au lit, Janine a eu l’impression de vivre un rêve étrange.Elle était devenue la véritable fille de la riche famille Leclerc !Mais elle savait qu’elle ne pouvait pas encore en parler à sa tante. Si ces deux femmes profiteuses venaient à l’apprendre, elles ne manqueraient pas de se jeter sur elle. Elle préférait attendre d’être partie pour Marseille avec ses frères avant de tout révéler à sa tante.Un léger sourire est apparu sur ses lèvres, et un sentiment de soulagement a envahi son cœur. Cela signifiait-il qu’elle pouvait enfin vivre la vi

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 527

    Janine connaissait trop bien cette mère et cette fille.« Parler d’un prêt ? En réalité, elles veulent juste de l’argent gratuit. »Au fil des années, elles avaient emprunté pas mal d’argent à sa tante paternelle sans jamais le rembourser. Elle n’avait pas oublié qu’à l’époque où son oncle était gravement malade et hospitalisé, nécessitant de l’argent pour sauver sa vie, elles avaient regardé la situation avec froideur et indifférence.Pas question pour elle de jouer à la sainte.Mais sa petite tante, face à elle, refusait encore obstinément d’écrire la reconnaissance de dette. Pendant ce temps, la belle femme, exaspérée, s’impatientait :« Alors, vous payez ou pas ? Si vous ne payez pas, j’appelle la police. Je n’ai pas de temps à perdre avec vos petits drames. »Voyant la femme sortir son téléphone pour appeler la police, la petite tante, finalement acculée, a pris le stylo et a rédigé une reconnaissance de dette.Janine a esquissé un léger sourire : « Parfait. Par Applepay ou Alipa

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 526

    Elle a dit calmement : « Tu veux que je t’aide comment ? »Cette belle femme a répondu : « Ma robe n’est pas si chère, cinq mille euros. »« Janine, tu es tellement riche, ça ne doit pas te manquer, non ? Le plus important, c’est que cette femme est insupportable, elle a osé nous mépriser. Une robe à cinq mille, ce n’est rien pour toi, n’est-ce pas ? Ta robe est bien plus chère que ça. »Janine, visiblement exaspérée, a répondu : « Ce n’est pas moi qu’elle méprise, c’est toi. »La tante s'est tordue le visage : « Mais on est de la même famille, non ? »« Moi, je suis de la famille de ma tante paternelle. »D’une voix glaciale, Janine a lancé un regard à sa tante paternelle : « Vous devriez aller aux toilettes, je vous attends dehors. »« Grande sœur ! Tu ne peux pas m’abandonner ! Si tu ne m’aides pas, je vais être arrêtée aujourd’hui ! Aide-moi à payer, je t’en supplie. »La grand-mère, en larmes, a attrapé la main de la tante paternelle et a sangloté : « Ma fille, quand tu n’étais pa

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 525

    Janine a baissé silencieusement les yeux, faisant semblant de ne rien savoir.Sa tante, qui se tenait à côté d'elle, ne s'attendait probablement pas à une réponse aussi directe et s'est retrouvée un peu embarrassée : « De nos jours, qui parle encore de mariages arrangés entre familles de même rang social ? En plus, notre famille a bien rendu service à Janine à l'époque. Maintenant qu'elle a retrouvé une famille riche, elle voudrait nous abandonner ? »« Si je ne me trompe pas, les seules personnes qui ont réellement aidé Janine sont sa grand-tante et son oncle, pas vous. D'ailleurs, mes frères cherchent une femme qui soit bien leur égale, et au moins issue d'une famille avec des moyens convenables ! »La belle-sœur, Donatienne, a répondu d'une manière particulièrement franche, avec une pointe d’ironie.La tante, se sentant humiliée, a rougi instantanément et les larmes lui sont montées aux yeux : « Vous insinuez qu’on est pauvres ? Et alors ? Être riche vous donne tous les droits ? »L

  • Monsieur, les dix frères de votre femme vous pressent de divorcer.   Chapitre 524

    « Janine, ton cousin travaille maintenant dans la livraison, il connaît bien ce domaine. »Ah, alors le cousin livre des colis, pas étonnant qu’il ait trouvé où vit la grande tante.Quelle erreur !Ces deux femmes, dans l’ascenseur tout à l’heure, n’essayaient-elles pas clairement de demander de l’argent à la grande tante ?Janine ne prêtait même pas attention à ces paroles. Sa grande tante, étant une personne honnête, ne comprenait pas les sous-entendus.Finalement, les deux femmes étaient obligées de se taire, frustrées.La tante cadette a jeté un regard furtif au bracelet porté par sa sœur aînée, une lueur d’envie dans les yeux.Ce bracelet valait cent mille euros, si seulement il lui appartenait ...Lorsque les portes de l’ascenseur se sont ouvertes, tout le groupe est sorti.Janine a accompagné sa grande tante, ignorant complètement les deux femmes derrière elles.Dehors, six voitures étaient garées.Les cinq frères, en les voyant sortir, sont descendus des voitures et se sont ava

Scan code to read on App
DMCA.com Protection Status