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Chapitre 176
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Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 177
Ayant achevé ces mots, Léo avait les regards un peu embarrassés. Le boxeur que Louis venait de vaincre jouissait en effet de certaine réputation dans ce ring souterrain. Il avait gagné dix parties de suite. Bien qu’il ne s’agisse pas du boxeur le plus fort, il était sûrement du niveau intermédiaire de l’échelle supérieure.C’était quelque peu épineux de trouver le boxeur qui pouvait l’écraser dans le combat.« Mademoiselle de Nolan, le boxeur que je vais désigner n’est pas ordinaire du tout. Vous voulez me dire quelque chose à l’avance ? » Léo a jeté un coup d’oeil à Florence avec la mine changeante.Florence était toute pâle, mais elle a dit les dents serrées : « Monsieur Berman, votre boxeur était vaincu... »« C’est vrai, mon homme a perdu une partie. Pourtant, afin de vous permettre un spectacle fabuleux, je ne pourrais pas vous décevoir. » Léo a dit en souriant : « Alors, si vous voulez demander l’arrêt du combat, n’hésitez pas à me dire immédiatement. Sinon, je ne sais pas ce qui
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 178
« Ce n’est pas tout à fait impossible. J’ai été témoin des spectacles semblables dans la capitale du pays. Les vrais maîtres de combat ont fait des exercices sur l’art martial depuis des années. Bien qu’ils ne soient pas capables de faire de la voltige sur les toits et sur les murs, comme on décrit dans les romans ou films, ils arrivent à vaincre cent adversaires par une seule personne. Ce n’est pas simplement la légende. »À ses mots, Léo avait la mine encore plus grise. Plus d’intérêt duquel François faisait preuve, plus de honte qu’il éprouvait.Florence négligeait totalement leur dialogue. Elle se sentait incroyable dans l’esprit.Cet homme était génial, hors l’imagination ! Les deux boxeurs redoutables n’étaient pas en mesure de se défendre devant lui. Un tel personnage ne serait pas un soliveau, certainement. Pourtant, il préférait être un gendre matrilocal, un propre-à-rien dont tout le monde à N se moquait ! Pourquoi ça ?C’était en raison d’une femme ? Néanmoins, pendant ses t
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 179
En général, Canif ne se présentait que deux ou trois fois par semaine. C’était une chance de le voir sur l’estrade. Beaucoup de monde venait tous les jours pour ça.C’était parce que les mouvements de Canif étaient non seulement sanglants et violents, mais aussi somptueux. Ils donnaient l’impression des matchs amicaux, mais il s’agit du combat opérationnel en effet, ce qui était attirant.« Ce serait Canif qui l’affrontera ? »« Ce n’est pas le grand jour et il n’y a pas beaucoup de spectateurs. Pourquoi le ring organise comme ça ? »« C’est possible ? Ce type n’est pas envoyé par le ring ? Il cherche à y créer des troubles ? »« S’il n’était pas du ring, il finirait mal en affrontant Canif. Il se dit que la dernière fois, Canif a cassé tous les doigts à son adversaire. Celui-ci est estropié ! »« Incroyable qu’il y ait des spectacles fabuleux aujourd’hui ! Ça vaut le coût d’y venir ! »Les spectateurs se frottaient les mains et serraient les poings. Ils étaient tous excités et ardents
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 180
En moins d’une seconde, Canif, qui n’a pas encore bien enroulé les bandes, a bougé tout à coup ! Il s’est élancé vers Louis à toute vitesse, comme dans une course de cent mètres, pendant que Louis frappait l’estrade du pied gauche, en s’élançant vers Canif.Les spectateurs qui les entouraient ont retenu la respiration malgré soi. Dans le salon d’honneur, François plissait les yeux, tant que Florence avait le teint inquiet. Même Léo, qui avait été souriant, avait l’air sérieux.Il s’agissait d’un combat entre deux vrais maîtres. C’était vraisemblablement la première fois que Canif a rencontré un adversaire à forces égales, depuis qu’il avait travaillé au ring souterrain.Un combat tel que ça était destiné à une magnificence par excellence.Boum !Les deux parties ont donné un coup de poing en même temps. Elles se passaient de mouvement extravagant, en employant le direct toutes les deux.Une seconde plus tard, Louis a ressenti un tremblement léger à la main droite. Il a éprouvé une do
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 181
« C’est intéressant. Canif devrait devenir champion du monde de boxe car ses gestes contiennent beaucoup de force... » a déclaré François en se caressant la barbe.« Monsieur de Nolan, vous avez raison. » Léo l’a flatté. » Après ce coup de poing, une personne ordinaire aurait pu se casser plusieurs côtes et rester au lit pendant deux semaines, mais ce type est aussi très courageux. Il utilise seulement ses deux bras pour lutter contre Canif, si je ne me trompe pas, ses mains sont cassées maintenant ! » Léo l'a pris pour acquis mais, l'instant d'après, son expression a soudainement changé. Sur le ring, les bras de Louis se sont lentement rétractés. Bien qu'il tremblait violemment, il était évident que ses bras n'avaient pas de problème.À ce moment-là, le visage de Léo était extrêmement défiguré.François a fait un demi-sourire et a dit : « Monsieur Berman, il semble que votre jugement soit erroné. Nous avons légèrement sous-estimé ce jeune homme. Il ne faisait pas le poids contre Can
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 182
« Vous avez perdu », a déclaré Louis avec désinvolture. Bien que Canif se tienne bien droit, les deux combattants savaient qu’il avait déjà perdu.Le coup de pied le plus fort de Canif n'a pas pu forcer Louis à reculer d'un demi-pas, mais celui de Louis a fait reculer Canif de trois pas : Le résultat était évident.Canif semblait indifférent, et l'instant d'après, il s'est retourné et a dit à l'arbitre : « J'ai perdu, je ne veux pas d'argent pour ce match. » Le visage de l'arbitre était pâle et interrogatif : Canif a-t-il effectivement concédé sa défaite ? Sur le ring, qui d'autre pouvait arrêter Louis ?Louis avait l'air détendu. Tout en secouant ses mains, il a légèrement dit : « Y en a-t-il un plus fort ? Sinon, laissez Léo venir me voir... » « Vous... » Les coins des yeux de l'arbitre se sont contractés, ce type était trop arrogant. Bien sûr, il venait de se qualifier et pouvait donc se permettre de l’être.« Boom ! » Dans la salle VIP, Léo s'est brusquement levé. Il a explos
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 183
Tout en parlant, Léo a agité la main et on a vu les hommes derrière lui portant des tuyaux d'acier. « Monsieur, la dernière fois que quelqu'un qui avait remporté dix victoires consécutives sur notre ring ne nous prenait pas comme son rival, il était vraiment compétent. Une chose est sûre : deux poings ne peuvent pas battre quatre hommes, un héros ne peut pas tenir tête à un groupe de gens. Quand nous l'avons battu au sol, il pensait toujours être génial ! » « Avez-vous entendu cela ? J'avoue que vous êtes très doué pour gagner Canif, vous l’êtes également pour faire en sorte que Téo se tienne derrière vous. La question est : pourquoi vous causez des ennuis dans ma zone ? » a ricané Léo.Louis n'a pas pris la peine de tourner autour du pot, mais a directement répondu :« J'ai entendu dire que vous souteniez la famille Hubert ? » En entendant cela, Léo a légèrement froncé les sourcils, puis a dit avec un sourire : « Mon pote, est-il nécessaire de nous provoquer juste à cause de ces de
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 184
Tout en parlant, Léo a applaudi et on a vu une image apparaître sur la télévision dans le hall. François et Florence étaient attachés à des chaises, à ce moment-là, on n’entendait pas ce que François disait, mais l’un des hommes de Léo a frappé sa tête avec un tuyau en acier.« Monsieur de Nolan appartient à la famille Nolan, comment osez-vous l’attaquer ? » Louis a regardé cette scène avec un regard incrédule. Ce Léo n'était-il pas trop courageux ? Qui était François, ne le saurait-il pas ? Si quelqu’un osait offenser François, la famille de Nolan le mettrait à mort, n’était-ce pas ?« Pourquoi pas ? Non seulement je veux tuer ce vieil homme, mais je veux aussi profiter de cette jeune femme. Quand je me serais assez amusé, je la jetterai dans n'importe quelle ruelle. Qui sait ce que je ferai ? » Léo a dit en ricanant. « Maintenant, je vais vous donner une chance. Si vous voulez qu'ils vivent, vous m’obéissez sagement. Sinon, vous ne pouvez que les regarder mourir. C'est votre maître
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