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Chapitre 156
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« Louis, vous n’avez toujours pas lâché le téléphone de Mme de Nolan !« Vous voulez toujours vous disputer avec M. de Nolan, êtes-vous fou ! ? » « Nous sommes vraiment stupides de vous croire ? »À ce moment-là, toutes les personnes présentes pointaient Louis, l'accusant constamment.Mais à ce moment-là, François, de l'autre côté de la vidéo, a soudainement haleté, puis a dit avec un visage surpris : « Est-ce la technique utilisée par Jean Baptiste Camille Corot ? Pourquoi cette fausse peinture montre le style unique de grand maître ? Dans ce monde, personne ne peut copier son style, c’est impossible, impossible... » À ce moment-là, François avait l'air perplexe.« Monsieur, d'après vous, pensez-vous que ce tableau est authentique ? Alors pouvez-vous expliquer, qu'est-il arrivé à ses pièces dans les musées ? Je les ai vues de mes propres yeux, mais il semble que ce tableau ne devrait pas être faux, c'est vraiment étrange... » Quoi ? Les deux tableaux divisés dans les musées étaient
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 158
Elle ne faisait peut-être pas confiance au jugement de Louis, mais elle croyait à son grand-père cent pour cent. Parce que son grand-père était le patriarche du monde des trésors, il n'y avait vraiment pas beaucoup de gens dans ce pays qui pouvait se comparer à lui.« Jeune homme, si vous êtes libre ces jours-ci, vous pouvez venir chez nous pour en discuter un peu. Je vous accueille à tout moment. » François, qui était de l'autre côté de la vidéo, a souri et a raccroché le téléphone.Louis a jeté le téléphone à Florence avec désinvolture et a dit avec un demi-sourire : « Mme de Nolan, vous souvenez-vous encore de notre pari ? » « Je... » Florence était momentanément à court de mots, voulait-il vraiment l'appeler papa ?August d'un côté était furieux et a maudit : « Louis, es-tu toujours un homme ? Mme de Nolan plaisantez avec toi, le prends-tu vraiment au sérieux ? Si tu ne peux pas t'entendre avec les femmes, va-t-en ! » « Tais-toi ! » a dit soudainement Florence. Elle a regardé Lo
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 159
Christina était également un peu anxieuse et s'est excusée : « Mme de Nolan, je suis vraiment désolée, pour ce que Louis a dit, ne le prenez pas à cœur, ne vous embêtez pas avec lui. » August a dit calmement : « Christina, bien que ce soit ton mari, tu ne peux pas le protéger comme ça. Tu n’as vraiment pas besoin de faire cela pour un bon à rien. » Florence a froncé les sourcils et son visage devenait de plus en plus laid. À l'origine, cette affaire était terminée, mais maintenant que la situation devenait plus pire, elle n’avait que plus honte.En pensant à cela, son ton est devenu un peu froid : « Louis, la réputation de notre famille ne peut pas être plaisantée. Vous feriez mieux de l'expliquer clairement, sinon cette affaire ne finira jamais. » Louis admirait encore plus Florence, maintenant peu de gens ont un tempérament aussi directe.En pensant à cela, Louis a souri lentement: « Mme de Nolan, ne vous inquiétez pas, écoutez simplement mon explication. » « Vous avez dit que le
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 160
Inutile de dire que August, Jérome, Sandra et d'autres, ils voulaient tous que Louis meure, comment pourraient-ils parler pour Louis en ce moment ?D'autres étaient impatients de faire récupérer cette peinture, car il y avait trop de gens qui le voulaient.À ce moment-là, un jeune homme en costume est rapidement sorti des coulisses avec plusieurs gardes du corps.« M. Brunet... » En voyant ce jeune homme, la commissaire-priseur a poussé un soupir de soulagement. C'est Michel de la famille Brunet, le responsable de cette enchère, et il était au courant de ce qui s'était passé.À ce moment-là, les yeux de Michel étaient un peu froids, mais il est resté calme, ses yeux ont balayé le champ, puis sont tombés sur Louis et ont dit avec un sourire : « Monsieur, j'ai entendu dire que vous aviez identifié ce tableau pour nous. Afin d'exprimer notre gratitude, nous vous offrirons des frais d'évaluation, un million d’euros, s'il vous plaît, ne le refusez pas. »Louis a légèrement froncé les sourci
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 161
Florence sur le côté ne savait pas quoi penser et a dit : « Michel, tu vas trop loin. » « Florence... » Michel a froncé légèrement les sourcils, il n’a pas prêté du tout attention à Christina, et même toute la famille Royer n'était rien pour leur famille. Mais la famille de Nolan était différente. La famille de Nolan était aussi une grande famille dans la capitale provinciale. Maintenant que Florence a pris la parole, il ne pouvait pas l’ignorer.En pensant à cela, Michel a souri et a dit : « Depuis que Mme de Nolan a parlé, je ne dirai pas de bêtises, mais il faut être un peu conscient de soi-même, de savoir ce qui lui appartient vraiment, je pense que l’histoire peut nous enseigner quelques choses ! » Après ses paroles, Michel a jeté un regard sur Louis, puis s'est retourné et est parti. Quoi qu'il en soit, tant qu'il savait que la peinture était entre les mains de Louis, ne serait-il pas facile de le récupérer ?En regardant les yeux de Michel, Louis a froncé légèrement les sourci
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 162
En ce moment, Christina, Florence, Natalie, les trois beautés se sont rassemblées autour de Louis, faisant de Louis également le centre de cette salle. On ne savait pas combien d'hommes étaient envieux et jaloux.Natalie ne se souciait pas des yeux des autres, mais a regardé Louis avec un sourire et a dit : « M. Boucher, je suis vraiment intéressée par votre peinture. Je me demande si vous êtes prêt pour vendre ? »Dès que Natalie a dit cela, le public s'est tu et après quelques secondes, beaucoup de gens ont haleté.Si la famille Brunet était le géant de la Région L, alors la famille Boucher était le géant de la famille Brunet. Si cette femme pouvait représenter la famille Boucher et si ce gendre matrilocal osait refuser, il ne savait peut-être même pas pourquoi il serrait mort dans un moment, non ?Beaucoup de gens ont regardé Louis avec un demi-sourire, voulant voir ce que ce type allait faire.Louis a dit avec beaucoup d'intérêt : « Alors je ne sais pas quel prix Mme Masson veut of
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 163
Christina sur le côté était légèrement choquée. Elle ne s'attendait pas à ce que Louis refuse de prendre l'argent, mais à échanger contre le Stella Aeterna. Vous savez, s'il demande de l’argent, il ne devrait pas être un gros problème pour obtenir quelques centaines de millions, non ? Mais cet homme n'avait que sa femme dans son cœur, même dans une telle situation, il pensait à elle et voulait se faire plaisir.En pensant à cela, Christina a regardé Louis à côté d'elle, s’est inconsciemment mordu les lèvres et une émotion étrange s’est levée dans son cœur.« Mme Masson, vous ne pouvez pas être d'accord ! Cette peinture n'est peut-être pas authentique ! » a soudainement dit Jérome qui était à côté de lui.Quoi ? Pourquoi a-t-il dit ça tout d'un coup ? Tous les regards ont tombé sur lui en un instant.Natalie a regardé, avec une expression froide sur son visage, d'où venait ce type ? Qu'essayait-il de faire en faisant interrompre leur plan tout d'un coup ?Mais en ce moment, Natalie n’av
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Les yeux de Louis se sont illuminés, il est possible qu’il puisse enfin entrer dans la chambre, en ce moment, il avait hâte de rentrer chez lui.Quant au divorce, il l'a totalement oublié.Jérome sur le côté a serré les dents et ne pouvait pas s'empêcher de regarder Sandra.Sandra a hoché la tête et a dit froidement : « Christina, ne te laisse pas tromper par lui. Ce type n'est qu'une mauviette. Il a juste eu de la chance et a pris cent euros pour prendre une bonne peinture. Il ne faut pas accepter son cadeau, sinon, si Mme Boucher découvre un jour que le tableau est faux, alors... » Sandra n'avait pas fini ses mots quand elle a vu Natalie marcher vers elle, et Natalie lui a donné une grande gifle.« Tu...tu...tu... » Sandra a couvert son visage, elle ne pouvait pas dire un mot pendant longtemps.« Quoi ? » Le visage de Natalie était froid. « Je me fiche de votre identité, et je me fiche de savoir si vous plaisantez ou pas, mais je ne permets à personne d'insulter notre famille. Nous
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