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Chapitre 152

« Bien sûr, il semble que ce soit authentique. Je pense que ce devrait être un travail contrefait par quelqu’un, et il n’a pas une longue histoire ou même c’est juste un produit acheté en ligne. Cela ne dépasse pas cent euros... » August a interrompu.

En même temps, il a jeté un coup d'œil à la commissaire-priseur et a dit : « Mademoiselle, je ne veux pas vous déranger, mais c’est la vérité, s'il vous plaît, ne le prenez au cœur. »

La commissaire-priseur a dit avec un sourire : « Même notre expert ne peut pas évaluer sa valeur. Je n'ai jamais su la raison. Mais la vérité est que la vraie peinture est déjà détruite en deux pièces. Donc, notre expert ne peut pas donner son évaluation, car c’est évidemment une contrefaçon. Il n’a pas besoin de faire une évaluation. »

« Maintenant, c’est compris ? Cette peinture ne vaut même pas cent euros » a déclaré August avec un visage moqueur.

Dès que la voix est tombée, il a gagné beaucoup d’admiration.

Maître ! C'était définitivement un maître !

C
Chapitre verrouillé
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