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Chapitre 128
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Cette carte noire !Ce qui apparaissait devant elle à ce moment-là était la légendaire carte noire ! Il n'y avait pas plus de cinq dans toute la Cité N. Et tous les propriétaires de cette carte étaient incroyable.Mais en pensant à cela, Cécile s'est soudainement calmé. Il n'y avait que quelques clients possédant cette carte, et il y avait des employés spéciaux au siège social pour les accueillir en privé. Comment de tels clients pourraient-ils venir en personne juste à cause d'une affaire aussi insignifiante ? De plus, ces clients étaient tous issus de la classe supérieure, et ils portaient tous des vêtements de haute qualité, alors comment pourraient-ils venir à ce petit comptoir pour faire la queue.En pensant à cela, Cécile était convaincue que la carte noire devant elle était soit fausse, peut-être que cet homme l'a volée quelque part !Les gens sont devenus de plus en plus sans cœur. Cécile n'arrêtait pas de secouer la tête, et maintenant elle regardait Louis avec plus de mépris
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 130
Cécile a dit en ricanant dans son cœur, l'apparence, Natalie était beaucoup plus belle qu’elle. En ce moment, elle se sentait un peu jalouse, mais elle n'osait pas l'admettre, elle se sentait juste très mal à l'aise. Ce voleur était aussi agile. Avec cette carte noir, il a en fait menti aux autres qu'il était le président ? Natalie a regardé Cécile et a dit sérieusement : « Madame, soyez prudente en paroles. C'est le président de notre société. Si vous êtes si irrespectueux, cela ne dérange pas notre société de changer la banque. C'est vrai que votre banque nous offert certaines bénéfices, mais vous n’êtes pas la seule banque de la Cité N. »Le président pouvait investir des centaines de millions d’euros sans sourciller. Comment pourrait-il être un menteur ? C'était tout simplement la meilleure blague du monde.Cécile a regardé Natalie de haut en bas et a dit sarcastiquement : « Vous avez dit qu'il n'était pas un voleur ? Il ne l'est pas ? Comprenez-vous ce qu'est cette carte noire ?
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 131
« Président, je vais bien, mais vous... » Natalie avait l'air inquiet, comment son président pouvait -il souffrir de tels griefs dans un si petit endroit ?Louis a dit légèrement : « Je vais bien, laissez leur directeur général entrer plus tard. Nous ne coopérons plus avec cette banque. » « Oui ! » Natalie a hoché rapidement la tête, regardant Louis avec des yeux pleins d'admiration. C’était son président. Une simple phrase a déjà décidé de la vie de cette banque. On a craint que cela ne serve à rien même si leur président venait bientôt.« C'est dommage que vous ne vouliez pas être acteurs ! » a maudit Cécile, « toi, va chercher ta carte bancaire ! » Un garde de sécurité s'est rapidement avancé et a saisi la carte noire dans la main de Louis.Louis a souri froidement et n'avait pas l'intention de résister, mais les a laissé emporter la carte....Au bureau de la banque, Cécile a remis la carte noire au directeur avec un visage respectueux.Le président a tapoté son ventre et a dit a
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 132
Cependant, Louis était assez retenu, à l'exception du garde de sécurité qui voulait attaquer Natalie, il n'a frappé personne durement.À ce moment-là, ce garde de sécurité gravement blessé tremblait de douleur. Ce voleur était trop puissant et agile, non ?Bien que ces agents manquaient d’exercices toutes ces années, mais ils ne s'attendaient pas à perdre d’une manière aussi blessante.Cécile, d'autre part, a regardé cette scène abasourdie, incapable de réagir du tout pendant un moment, si Dieu lui donnait une autre opportunité, elle n'oserait plus arracher le téléphone de Louis.Louis n'avait pas l'intention de s'arrêter, mais a donné un coup de pied au mollet de l'agent de sécurité, l'a fait s'agenouiller, puis a dit légèrement : « En tant qu'homme, vous ne devez pas frapper une femme. C'est le principe. Vous feriez mieux de vous excuser, sinon, vous savez les conséquences. » « Ah ! Salaud ! Savez-vous ce qu'est cet endroit ? Vous voulez la mort ? ! » Cet agent de sécurité avait été
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 133
« Boom » À ce moment-là, un autre groupe de personnes s'est présenté à la porte de la salle de sécurité, et une dizaine d'agents de sécurité sont entrés, entourés du directeur.Le directeur a regardé la scène devant lui, et les coins de ses yeux se sont légèrement contractés. Il ne s'attendait pas à ce qu'une si grande chose se produise pendant qu’il est passé un appel, mais maintenant le président était sur le point d’arriver. Donc il n’avait pas peur.« Monsieur, si vous volez une carte bancaire, même si vous êtes envoyé au poste de police, vous ne seriez enfermé que quelques jours. Maintenant, ce n'est pas si facile à résoudre » a déclaré le président avec un le sourire.Louis l’a regardé et a dit avec un sourire : « Le président est de retour ? Je veux voir comment vous vous excusez devant moi quand votre président révèle la vérité. » Le directeur a souri légèrement et a dit : « Monsieur, j'avoue que vous avez un peu de talent, et vous êtes aussi très bon au combat... » « Cepend
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 134
Cela signifiait que le propriétaire de ce téléphone était un super VIP de la banque.Avec la carte noir et ce numéro de téléphone, même si l'homme devant lui avait toujours l'air extrêmement pauvre, le directeur avait peur de lui.Il y avait bien des coïncidences dans ce monde, la carte noir pouvait apparaître entre les mains d'un pauvre, et le service privé pouvait se tromper de numéro, mais le problème était que lorsque les deux se passait en même temps, certaines choses devenaient inévitables.Des sueurs froides ont éclaté à ce moment-là, le directeur, qui était si arrogant tout à l'heure, transpirait abondamment, et sa chemise blanche était directement collée à son corps.Il a levé les yeux vers Louis avec beaucoup de difficulté, mais il a vu que Louis avait jeté l’agent de sécurité de côté, puis s'est assis sur une chaise avec un visage calme.Louis s'est versé un verre d'eau avec désinvolture : « Quoi? Pourquoi ne répondez-vous pas au téléphone ? Ayez une bonne conversation ! »
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 135
Le directeur a dit à la hâte : « Président, je ne l'ai pas fait exprès. Je l'ai fait pour protéger les actifs du client. Je ne savais pas qu'un super VIP viendrait à la réception pour ce genre de service. Je pensais que quelqu'un avait volé sa carte quoi ! » Le visage d'Henri était sombre, et il s’est avancé et a donné un coup de pied à la poitrine du directeur, puis s’est retourné et a dit avec un sourire : « M. Boucher, vous voyez, ces gens font de mauvaises choses avec de bonnes intentions, alors ne vous en faites pas, d’accord ? » « Cela n'a pas d'importance » Louis a haussé les épaules. « C’est normal que les employés intimident les clients. Est-il possible que j'obtiens la justice ? » « M. le Président, pouvez-vous me rendre un service ? »« Dites, tant que j’en suis capable, je ferai de mon mieux ! » Le visage d'Henri était sérieux. C'était une bonne chose qu'un si gros client soit prêt à faire une demande, ce qui signifiait une occasion de rattraper cette erreur.Si Louis n
Mon époux matrilocal fabuleux Chapitre 136
Henri attendait que tout le monde prenne le départ, s’est mis à parler en souriant : « Monsieur Boucher, si vous voulez, je les renverrai l’après-midi... »Louis lui a répondu avec indifférence : « C’est votre banque qui doit s’en occuper. Qu’est-ce que ça m’importe ? »« Oui, oui, c’est ça... » Henri a changé d’entretien. « De plus, je me permets de vous solliciter une grâce. Pourriez-vous vous passer du transfert de fonds... »Henri était couvert de sueurs froides tout en parlant. La Société d’investissement de la famille Boucher ne déposait pas beaucoup d’argent dans la banque, soit quelques milliards au plus. Mais ce n’était pas le cas pour Louis. Le montant dans le compte de Louis était considérable. S’il en déplaçait son compte privé, Henri ne serait plus le président général de la banque.« Monsieur Robert, ce n’est pas que je ne vous accorde pas la grâce, mais je n’aime pas que ça arrive souvent. »« Non, absolument non, » a dit Henri en se levant. « On va créer une équipe prof
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