Chapitre 125

« M. Berman, c’est pas bien de créer des problèmes maintenant ! »

« C'est vrai ! Personne ne fait des affaires comme ça ! »

« La nuit dernière, vous êtes venu ici sans y être invités. Vous nous avez donné des cadeaux, puis vous avez proposé de coopérer avec nous. Maintenant, vous avez changé d'avis en un jour ! Vous agissez comme un méchant ! »

Face aux accusations des membres de la famille Royer, Jean et les autres argumentaient durement.

M. Royer était si en colère que son cœur lui faisait mal, et finalement il a frappé violemment la table et a crié : « D'accord, arrêtez de vous disputer ! »

Après que les deux parties se taisaient, il a regardé Jean et a dit sincèrement : « M. Berman, M. Hubert, puisque vous venez aujourd’hui pour ce genre de chose, je n'ai pas grand-chose à dire, mais pour le bien de notre amitié depuis tant d'années, donnez-moi trois jours, si je ne peux pas gagner la coopération avec la Société d'investissement de la famille Boucher dans les trois jours, nous a