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Chapitre 120

Chrétien Boyer a froncé les sourcils, il ne voulait pas du tout que sa femme se fatigue.

Il lui a conseillé doucement, « Chérie, laisse les domestiques laver ce mouchoir. Ne t’inquiète pas, ils seront très prudents et ne l’abîmeront pas. »

Estelle Fritz était de mauvaise humeur, « Si je pouvais, je ne voudrais pas le laver moi-même non plus. »

C’était la vérité, Estelle ne voulait absolument pas se mouiller les mains.

Quel inconfortable !

Après tout, elle était quelqu’un de très paresseux en dehors du travail.

Mais une promesse est une promesse, et elle devait tenir parole.

Chrétien ne comprenait encore pas pourquoi elle insistait tant. Son instinct jaloux s’était dissipé après le discours de sa femme tout à l'heure.

Malgré sa lenteur, il avait récemment développé une bonne habitude, influencé par Estelle : quand il ne comprenait pas, il demandait.

Alors il a posé la question : « Pourquoi tiens-tu tant à laver ce mouchoir toi-même, chérie ? »

Estelle a soupiré, « Chris, as-tu oublié ?
Chapitre verrouillé
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